248 résultats pour "productivité"

• FRANCE: Fiche de révision Une exception française ?

  FRANCE Fiche de révision Une exception française ? Poids des héritages. Modernisation.Difficultés. De l’espoir dans l’avenir à la sourde inquiétude. I – Dynamiques contradictoires A – Les trente glorieuses, « paradis perdu » 1- le temps d’une forte croissance Partir du bilan de la WWII. Effondrement de la production industrielle à cause des combats et surtout du pillage allemand (indemnités de guerre). Destruction des infrastructures (ponts, port...

• Le film Les Misérables de Claude Lelouch est une adaptation contemporaine de l'oeuvre de Victor Hugo. Êtes-vous pour ou contre ce type de production cinématographique. Vous exposerez votre point de vue dans un développement organisé d'au moins une trentaine de lignes.

• Etats-Unis: LE PREMIER CONSOMMATEUR MONDIAL D'ÉNERGIE

  LE P REMIER CONSOMMATEUR M ONDIAL D'�NERGIE Introduction Les États-Unis consomment le quart de l'énergie mondiale. Leur posi­ tion s'affaiblit régulièrement par les menaces d'épuisement et l' app a­ rition de déficits dans la production des hydrocarbures : leur taux de couverture approche 90 %. Par leur politique et leurs puissantes sociétés, ils pèsent lourdement sur le marché mondial de l'énergie. 0 LA REPRISE DE L'EXTRACTION CHARBONNlif:RE Depuis le...

• Lors d'une émission télévisée « Quel contrôle sur les programmes télévisées, les films et les sites Internet ? », deux participants s'affrontent : l'un réclame une liberté totale, l'autre souhaite la création d'un comité chargé de contrôler les productions pour éviter les dérives. Ils échangent leurs arguments qu'ils appuient sur des exemples précis. Retranscrivez leur dialogue.

  Corrigé disponible

• Jean Peyrelevade constatait en France que pour une transaction commerciale, on enregistre trente transactions financières. Alors que le CAC 40 a battu plusieurs fois ses propres records en 1998, peut-on y voir un signe de reprise de l’économie française ou plutôt la preuve d’une déconnexion de la sphère financière par rapport à la réalité de la sphère de production ?

• Cours sur la Production de l'ordre culturel (sociologie)

  Chapitre 4 : La production de l’ordre culturel Introduction : → Rappelle Chap1 , différents courants (Holisme, Individualisme Méthodo, et Interactionnisme ) Donc logiquement en socio on estime que : Tout comportement humain pourrait s’expliquer ou se comprendre par son environnement social. Toute ses façons d’agir de penser de sentir s’explique par des influences sociales. Influences sociales qu'il faudrait définir, et comment et par quels mécanismes influencent-t-elles les individus...

• LES ÉCHANGES

  entre les hommes (cf. sujet précédent) ou le thème de la pitié, défini chez Rousseau comme répugnance à voir souffrir autrui, ou encore le « Projet de paix perpétuelle » de Kant, où se trouve explicitée et développée l'idée de communauté humaine universelle. Une référence aux analyses de Marx. d'autre part, constituerait un point de vue complémentaire utile pour la réflexion : il ne s'agit pas de valoriser l'altruisme contre l'égoïsme, ou l'égoïsme cont...

• Bourdieu, Pierre - Ce que parler veut dire

  I. L 'É C O NOM IE D ES É C H ANGES LIN GUIS T IQ UES La sociologie ne peut échapper à toutes les formes de dominati on que la linguistique et ses concept s exercent encore aujourd'hui sur les sciences sociales qu'à condition de porter au jour les opérations de construction d'objet par lesquelles cette science s'est fondé e, et les conditions sociales de la production et de la circulation de ses concepts fondamentaux. Si le modèle linguistique s'est aussi facile...

• La bourgeoisie au XIXe siècle

  La bourgeoisie au XIX e siècle Texte n° 1 : L'industrie de la soierie lyonnaise Aynard: Lyon en 1889. Introduction au rapport de la Section d' Economie Social du Comité départemental du Rhône pour l' Exposition Universelle de r889. ( Lyon Mougin-Rusand, r889, I vol.). cc La fabrique lyonnaise 1 de la soierie est au point de vue de l'excellence et de la variété des produits, de l'importance de la fabrication, comme de l'anti­ quité de l'origine, la pl...

• Sommes-nous entrés dans une période de déflation ?

  Sujet. Sommes-nous entrés dans une période de déflation ? Concours d'attaché des services déconcentrés, ministère de la Défense, 1995 Analyse des expressions et termes-clés L'unique terme-clé : déflation L'énoncé ne comprend qu'un seul terme-clé : déflation. Ce concept peut s'interpréter de deux manières. Il s'agit d'un mouvement de réajustement des prix, des revenus et de la demande -réajustement accidentel suite à une crise ou volontaire du fait d'une politi...

• L’art et la technique

  F. KAUSCH 3 COURS : 1) Mêler art et pouvoir / esthétique et politique Bibliographie : - Walter Benjamin « l’œuvre d'art à l'époque de la reproductibilité technique » 1939 Gallimard Œuvres, III (→ 3ème volume) PR LA RENTREE 2) Politique : cours sur la punition et le châtiment 3) Les sciences humaines à partir de Rousseau, entre autres. Concernant les lectures : travail « non scolaire » → toujours un livre ouvert INTRODUCTION sur le texte de Benjamin Avec le photographe Wa...

• SOCIOLOGIE DU TRAVAIL

  SOCIOLOGIE DU TRAVAIL 1 Qu'est-ce que, le travail? LE TRAVAIL, UNE ACTIVITÉ SOCIALE Une activité sociale qui génére une production" Le travail, au sens large, est toute activité humaine générant une production. Ainsi un homme ou une femme renonçant à un em­ ploi salarié pour s'occuper de ses enfants et avoir une activité ménagère productive (élaboration de repas, bricolage ... ) peut être considéré comme effectuant un travail (travail domestique)....

• oral ses: Sujets sur le chapitre : « Quels sont les fondements du commerce international et de l’internationalisation de la production ? »

  Sujets sur le chapitre : « Quels sont les fondements du commerce international et de l’internationalisation de la production ? » EC1  Comment les avantages comparatifs peuvent-ils expliquer le commerce international ?  À l’aide d’un exemple, vous montrerez comment les avantages comparatifs expliquent la spécialisation internationale.  Vous montrerez comment les dotations factorielles peuvent expliquer la spécialisation internationale.  Présentez deux raisons expliquant le comm...

• ANTHONY MANN

  Les Fiches de Monsieur Cinéma His t oire Illus trée du C in é ma Mo ndial ANTHONY MANN Anton Bundsmann est né le 30 juin 1906 à San Diego (Californie, USA). Dès l'âge de dix ans, s'intéresse au théâtre . Est succes­ sivement figurant, assistant et directeur de production, constructeur de décors et acteur. En 1925 , joue dans la pièce «The Dybbuk >>; en 1926 dans «The Little Clay Cart >>. Direc ­ teur de production au Théâtre Guild. Fond...

• AMÈRE VICTOIRE

  AMÈRE VICTOIRE Réalisation Scénario D'après le roman de Dialogues français Directeur de la photographie Décors Musique Production Distribution Durée Nicholas RA Y (1957) René HARDY, Nicholas RA Y et Gavin LAMBERT René HARDY Raymond QUENEAU Michel KELBER Jean d'EAUBONNE Maurice LE ROUX PaulGRAETZ (Transcontinental Films Robert Laffont Productions) Columbia Films 97 minutes INTERPRÉTATION Capitaine Leith Major Brand Jane Brand Mokrane Lie...

• RACHEL, RACHEL

  1 / 2 LesFichesdeMongeurCinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mondial RACHEL, RACHEL Réalisation Scénario ....................................... . Paul NEWMAN (1968) Steward STERN Margaret LAUREN D'après le roman «A Jest of God » de .............. . Directeur de la photographie ....................... . Gayne RESCHER (Technicolor) Jérôme MOROSS Musique ....................................... . Production ..................................... . P. NEWMA...

• LA MARSEILLAISE

  1 / 2 Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mqndial LA MARSEILLAISE Réalisation ....................... . Jean RENOIR (1937) Scénario ......................... . Opérateurs ...................... . Effets spéciaux ................... . Musique (d'époque) ............... . J.RENOIR, C.KOCH, N. MARTEL-DREYFUS Jean-Serge BOURGOIN, Alain DOUARINOU Lotte REINIGER (Théâtre d'ombres) Arrangement de Joseph KOSMA Production ............

• piero SRAFFA

  piero SRAFFA L'approche marginale requiert que l'attention soit bra­ quée sur le changement car sans changement ... il ne peut y avoir ni produit marginal, ni coût marginal. La production de marchandises par des marchandises, 1960 Piero Sraffa est né à Turin en 1898. Il a contribué à la publica­ tion des écrits du philosophe marxiste italien A. Gramsci. En 1921, au cours d'un séjour en Angleterre, il rencontre Keynes. Sraffa a d'abord enseigné à l'U...

• françois QUESNAY

  français QUESNAY ui nation est réduite à trois classes de citoyens: la classe productive, la classe des propriétaires et la classe stérile. ui classe productive est celle qui fait re­ naître par la culture du territoire les richesses annuel­ les de la nation. Tableau économique, 1758 François Quesnay est né à Méré en 1694 et mort à Versailles en 1774. Médecin de Louis XV, il est le plus célèbre des économistes de l'école physiocratique dont fon...

• LE NEW DEAL (1933-1939)

  LE NEW DEAL (1933 -1939) Introduction : La crise é conomique a é té le drame le plu s douloureux de l'histoire des U.S .A. depuis l a guerre de Sécession et a frappé l es Américains p lus q ue la Prem ière et même plus que la Seconde Guerre m ondiale. De 19 33 à 1939 , la lutte contre la cris e p ar la p olitique du " New D eal" a absorbé t outes les énergies amé­r ic aines. 1 . L 'élection de F ranklin Roosevelt et le retour d...

• Hegel, Esthétique, commentaire

  Hegel L'idée essentielle qu'il nous faut noter est que, même si le talent et le génie de l'artiste comportent un moment naturel, ce moment n'en demande pas moins essentiellement à être formé et éduqué par la pensée, de même qu'il nécessite une réflexion sur le mode de sa production ainsi s qu'un savoir-faire exercé et assuré dans l'exécution. Car l'un des aspects principaux de cette production est malgré tout un travail extérieur, dès lors que l' œu...

• jean-baptisteSAY

  jean-baptiste SAY Un produit terminé offre, dès cet instant, un débouché à d'autres produits pour tout le montant de sa valeur. Traité d'économie politique, 1803 Jean-Baptiste Say est né à Lyon en 1767, il est mort à Paris en 1832. Enthousiasmé par les idées de la Révolution de 1789, il de­ vient rédacteur en chef d'un nouveau journal, "La décade philoso­ phique, littéraire et politique". Après avoir occupé des fonctions politiques, il enseigne l'é...

• LE MODELE PATHE, INDUSTRIALISATION ET INSTITUTIONALISATION DU CINEMA

  Trois opérations décrivent le processus de l'institutionnalisation (forme de langage spécifique et légitime, dont les caractéristiques propres au cinéma seraient partagées et reconnues par l'ensemble d'une communauté) :  - La stabilisation  - La spécification - La légitimation   L'institutionnalisation du cinéma aurait trouvé son accomplissement dans l'industrialisation, on étudiera deux modèles d'industrialisation : les productions Pathé, ainsi que la naissance d'Hollywood.  La firme Pathé es...

• Selon vous, l'intellectuel , l'artiste ont-il un rôle à jouer dans la vie publique ?

  Introduction : è Bien définir les termes du sujet :- « Selon vous » : contrairement à ce qu'il pourrait sembler, le sujet ne vous demande pas votre avis, autrement dit, il ne faut pasdonner votre opinion, mais étudier les différents points de vue et fournir une réponse argumentée.- « L'intellectuel » : Désigne celui qui met l'intelligence au dessus des autres facultés, et s'adonne de préférence à la seulerecherche du vrai. C'est celui qui a un goût prononcé pour les choses de l'intelligence, de...

• LA LONDON FILMS

  LA LONDON FILMS La Lond on Film s fut une pui ssante co m­ p ag nie de producti on angl ais e fond ée en 193 1 par Alexander Korda. Son gé né rique repr é ­ se ntait le Big Ben n a tional en légè re co ntr e­ plongée. L 'app e llation London Films n'e st p as une inventi on d e Kord a, pui squ 'e lle ex is ta it déjà d epui s 1913 p o ur dés ign er une import ant e maison de produ c tion d e l'é poqu e du mu et. Les film s de cett e ancienn e...

• De quoi dépendent les régimes politiques

  De qu01 dépendent les régimes politiques? L'auteur, dans le passage précédent, a montré la corrélation qui existe entre les régimes politi ques et les systÙnes de propriété des moyens de production. La corrélation entre les régimes politiques et le niveau technico-économique paraît aussi forte -sinon plus forte -que la corrélation entre les régimes politiques et les systèmes de propriété des moyens de production. La démo­ cratie pluraliste correspond à un...

• Le totalitarisme de la société industrielle avancée

  Le totalitarisme de la société industrielle avancée De la manière dont elle a organisé sa base technologi�r5 la société indus­ trielle contemporaine tend au totalitarisme. Le totalitarisme n'est pas seulement une uniformisation politi�r5 terroriste, c'est aussi une uniformi­ sation économico-techni�r5 non terroriste �rH fonctionne en manipulant les besoins au nom d'un faux intérêt général. Une opposition efficace au système ne peut pas se produire dans ces co...

• L'automation

  L'automation I.Un point est acquis : sous le terme d'automation on peut désormais grouper de très nombreux phénomènes qui convergent vers une fin unique : concourir au fonctionnement autonome des cycles productifs complets et de plus en plus étendus à très haut rendement. Ce n'est là, dira-t-on, que l'aboutissement d'une longue genèse, la conclusion logique d'une évolution dont la mécanisation simple a marqué les premières étapes. Soit. Mais cette conclusion...

• FANNY

  Histoire Illustrée du Cinéma Mondial ./ FANNY Réalisation ... .... ........ .... ...... ... ..... ..... . Marc ALLÉGRET (1932) Marcel PAGNOL, d'après sa pièce Scénario et dialogues ............................ .. . Directeur de la photographie ................ ...... . Nicolas TOPORKOFF Gabriel SCOGNAMILLO «Bouchon » GOURDJI (Françoise Giroud) Vincent SCOTTO (arrangt Georges Sellers) Raymond LAMY Décors ... . .................................. ........

• Bossuet considérait le genre romanesque comme « dangereux » pour les moeurs. Le roman contemporain justifie-t-il encore ce jugement

  INTRODUCTION Il ne manque pas de censeurs, parmi nos contemporains, pour se dresser à la manière de Caton contre la dépravation des moeurs. Etbeaucoup y voient le triste fruit d'une littérature immorale. C'est le roman qui est en butte aux critiques les plus sévères. Bossuet déjà,effrayé de sa vogue, en dénonçait la malfaisance ; il est aujourd'hui le genre littéraire le plus répandu, et ses ennemis n'en sont que plusacharnés. Tout un aspect de la production romanesque semble justifier les repro...

• Deux conceptions de Karl Marx

  Deux conce ptions de Karl Marx J. LA BOURGEOISIE DANS L'HISTOIRE Conquête économique et conquête politique Des serfs du Moyen Age naquirent les éléments des prem1eres villes; de cette population municipale sortirent les éléments constitutifs de la bour­ ge01s1e. La découverte de l'Amérique, la circumnavigation de l'Afrique, offrirent à la bourgeoisie naissante un nouveau champ d'action. Les marchés de l'Inde et de la Chine, la colonisation de l' Amérique,...

• PETER PAN

  1 / 2 Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mondial PETER PAN Réalisation ........................................ . Hamilton LUSKE, Clyde GERONIMI et Wilfred JACKSON (technicolor-1953) Sir James BARRIE D'après l'œuvre de ................................. . Direction de l'animation ............................ . Milt KAHL, Wolfgang REITHERMAN et Ward KIMBALL Musique .......................................... . Oliver WALLACE...

• Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Télérama qu'en tant que critique il était « gavé de confidences autobiographiques dont il n'avait que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur le marché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions de lecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique.

  Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Télérama qu'en tant que critique il était « gavé de confidencesautobiographiques dont il n'avait que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur lemarché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions delecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique. Introduction Si l'on en croit le succès obten...

• L'ouverture internationale laisse-t-elle une marge d'autonomie aux politiques économiques ?

  Les politiques économiques fa ce à l'ouverture inter n ationale Sujet. L'ouverture internationale laisse-t-elle une marge d'autonomie aux politiques économiques ? Concours de secrétaire adjoint des Affaires étrangères, 1995 Analyse des expressions et termes-clés - Premier terme-clé : ouverture internationale En théorie, c'est l'application de la doctrine du libre-échange avec tous les partenaires. Implicitement, cela revient à accepter la concurrence étrangère...

• LE JAPON

  LE JAPON Le japon étonne. Petit pays par sa population et sa superficie, défavorisé en matJëre de ressources naturelles, il s'est hissé au l rang du palmarès économique mondial. DE REMARQUABLES SUCCÈS Présenté comme le « troisième grand» après les États-Unis et l'Union soviétique, le Japon a une situation singulière. Son rôle dans le monde est limité au plan militaire et stratégique par des traités internationaux et par sa propre constitution. C'est en...

• Masaccio

  Il n'y a pas équilibre entre la vie et l'oeuvre de Masaccio, entre le temps qu'il passa sur terre et la production picturale qu'il y accomplit : tandis queson existence a été, parmi les vies des peintres anciens, la plus courte que nous connaissions, son oeuvre est peut-être la plus considérable qui aitjamais existé. Comme talonné par le pressentiment d'une mort prématurée qui devait en effet l'emporter à la fleur de l'âge, Masaccio brûla les étapesde sa carrière. Noviciat, études, assimilation,...

• L'oral

  I-définitions du dictionnaire  Selon le petit Larousse illustr é, l’oral signifie « fait de vivre voix transmis par la voix (par opposition à écrit). Témoignage oral, tradition oral ; qui appartient à la langue parlée» 1  Selon le dictionnaire talque le dictionnaire HACHETTE encyclopédique, définit l’oral comme « transmis ou exprimé pour la bouche. La voix (par opposition écrit), qui a rapport à la bouche » 2  Le petit Robert donne aussi une définition de l’oral comme « mot qui vient de...

• Doit-on toujours attendre d'une oeuvre littéraire qu'elle nous donne une leçon ?

  L'expression « doit-on toujours ? » signifie qu'une action est nécessaire en toutes circonstances, de telle sorte qu'iln'y a aucune exception au caractère obligatoire de sa réalisation. Par œuvre littéraire, nous entendons dans un sens général une production de l'esprit humain qui s'incarne dans lelangage, quelque soit la forme de celui-ci (vers ou prose, notamment) et qui se distingue des autres productionslangagières par différents critères. Nous pouvons en retenir deux principaux : la plurivo...

• CENDRILLON

  1 / 2 CENDRILLON Réalisation Metteurs en scène de l'animation ... Scénario D'après le conte de Animateurs d'effets spéciaux Direction musicale Production Durée Wilfred JACKSON, Hamilton LUSKE, Clyde GERONIMI (1950) Eric LARSON, Milt KAHL, Frank THOMAS, Ward KIMBALL, OllieJOHNSTON, Marc DA VIS, John LOUNSBERY, Lu CLARK, Norm FERGUSON, Wolfgang REITHERMAN Bill PEET, Ted SEARS, Erdman PENNER, W. HIBLER, H. REEVES, J. RINALDI, Homer BRIGHTMA...

• SANG POUR SANG

  Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mondial SANG POUR SANG Réalisation Joel COEN (1983 ) Scénario ...... .......... ....................... . Joel et E than COEN Barry SONNENFELD Carter BURWELL River Ro ad Production l.D . F ilm s -Parafrance 97 minutes Directeur de la photographie ...................... . Musique ...... ................................. . Production .......... ... ........................ . Distribution ........

• KING KONG

  KING KONG Réalisation et production Scénario . ... ........... .............. .... ......... . D 'après une idée de ...... ............. ..... ....... . Effets photographiques spéciaux .................... . Directeur de la photograph ie ......... ... .... ...... . Musique . ..... .... ... ... ........ .... .... ... ... .... . Effets sonores ...... .......... .............. ... .... . Production ...... ........ ... ......... .... .......... . Distribution .......

• LE RENNE BLANC

  1 / 2 Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mondial LE RENNE BLANC Réalisation Scénario ..... Directeur de la photographie ....... . Erik BLOMBERG (1952) Mirjami KUOSMANEN et Erik BLOMBERG Erik BLOMBERG Musique ...................................... . Einar ENGLUND Junior-Filmi Oy (Helsinki) Aarne TARKAS Adams-Filmi Production .................................... . Directeur de production ............... . Distribution...

• REUBEN, REUBEN

  REUBEN, REUBEN Réalisation Scénario ....................................... . Robert ELLIS MILLER (1984) Julius J. EPSTEIN D'après le roman de ... ..... .... .. ........ ....... . Peter De VRIES Et la pièce « Spofford " de .... .................... . Herman SHUMLIN Directeur de la photographie ... ......... .......... . Peter STEIN Musique .... ........... ........ ... .... ....... .. . Billy GOLDENBERG Production ... .... ................... ...... ........

• MACBETH

  1 / 2 MACBETH Réalisation, scénario et adaptation D'après la pièce de Directeur de la photographie Musique Costumes Production Distribution Durée Orson WELLES ( 1948) William SHAKESPEARE John L. RUSSELL Jacques IBERT Orson WELLES, Fred RITTER, A.PALMER Mercury production C.I.D.N.A. 105 minutes INTERPRÉTATION Macbeth Lady Macbeth ........ . Macduff Lady Macduff Banquo Ross .............. . Le moine Les trois sorcières Malcolm Orson WELLES J...

• LE PROCÈS

  1 / 2 (. Les Fiches de Monsieur Cinéma J .. LE PROCES Réalisation ...................................... . Scénario ........................................ . D'après le roman de ............................... . Directeur de la photographie ....................... . Musique ........................................ . Prologue (à l'écran d'épingles) ....................... . Production ...................................... . Durée INTERPRÉTATION Jos...

• PÉPÉ LE MOKO

  PÉPÉ LE MOKO Réalisation ........ ............................... . Scénario .................................... ... ... . Dialogues de . ...... .......... ................ ..... . Directeur de la photographie ....... .... ... .... .. .. . Musique ..... . ................ ........... ..... .... . Décors .... ....... ..... . . .. ... .... ....... ..... .... . Montage ..... ....... .............. ..... .... ...... . Production . ... ...... ... .... ..... ................

• BARBEROUSSE

  1 / 2 Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mondial BARBEROUSSE Réalisation Scénario ... Akira KUROSAWA (1965) Akira KUROSAWA, Masahito IDE, Hideo OGUNI, Ryûzô KIKUSHIMA D'après la nouvelle « Akahige Shinryô dan » de .. Shûgorô YAMAMOTO Asakazu NAKAI, Takao SAITO Masaru SATO Directeurs de la photographie ..... . Musique .................................... . Production ................................. . Toho et Kurosawa...

• CHINATOWN

  Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mondial CHINATOWN Réalisation Scénario ...................................... . Roman POLANSKI (1974) Robert TOWNE Directeur de la photographie ..................... . John A. ALONZO (Technicolor) Jerry GOLDSMITH Musique ...................................... . Décors ........................................ . Richard SYLBERT Costumes ..................................... . Anthea SYLBERT Prod...

• TERMINUS

  TERMINUS Réalisation .......... ........ .......... ....... .. . Adaptation et dialogues .......................... . D'après un scénar io de ........................... . Directeur de la photographie ................... ... . Musique .................................. ..... . Producti on ... ........... ....................... . Di stribution ... .. .. ................... .......... . Durée ..................... ... ............. .... . INTERPRÉTATION Manchot .....

• EL DORADO

  1 / 2 ELDORADO Réalisation Scénario .......... . D'après l'histoire de Directeur de la photographie .. Musique ....................... . Howard HAWKS (1967) Leigh BRACKETT Harry BROWN Harold ROSSON (Technicolor) Nelson RIDDLE Montage . . . . . . . . . . . ...... . John WOODCOCK Direction artistique ............................. . Hal PEREIRA Production ...... . Production Distribution ... Durée et Carl ANDERSON Howard HAWKS Param...