35 résultats pour "singapour"
-
Singapour
1 / 2 30 mars 1966 Série 8-24 Fiche N• 1060 Singapour 1. Le 9 aoOt 1965, M. Lee Kuan Yew, premier ministre de Singapour, annonçait le retrait de son pays de la Fédération de Malaysia qui avait été créée le 16 sep tembre 1963. Cette sécession, qui parut ébranler le fragile édifice construit par Londres, a remis en lumière l'importance mondiale de cette ancienne colonie britan nique, position stratégique de premier ordre. 2. A l'extrémité...
- Singapour
-
Singapour.
Singapour. 1 PRÉSENTATION Singapour , en chinois Xinjiapo , en malais Singapura , en tamoul Singapur et en anglais Singapore , pays d’Asie du Sud-Est. Sa capitale est la ville de Singapour. Singapour est membre du Commonwealth. Singapour est formée d’une île principale et de 59 petites îles adjacentes et situé à l’extrémité sud-est de la péninsule de Malacca. L’île de Singapour, l’île principale, estséparée de la Malaisie, au nord, par le détroit de Johor. Au sud, elle est séparée de l’arc...
- Singapour.
-
Singapour ?
GRANDES NATIONS ÉCONOMIQUES • SiNGAPOUR Un dragon agressif CHINE ET ASIE DU SUD-EST Singapour, île de l'Asie du Sud-Est, ressemble davantage par son architecture et le poids de son économie à une grande ville de l'Amérique du Nord.
-
Singapour
DOCUMENTS GROUPE 2 1 B/À l’échelle régionale, un espace productif intégré 1) Après avoir expliqué comment Singapour s’intègre à son espace régional, vous relèverez les limites de cette coopération avec les documents des diapos 3 et 4. Vous devez surtout lire le doc.4 en situant les lieux cités sur les cartes pour la coopération. Les limites sont visibles sur les docs 1 et 6. 2) Compléter le schéma de synthèse. Pour les 2 bulles du haut, complétez d’abord pour Singapour, puis pour «...
- Singapour ?
-
SINGAPOUR AU XXe SIÈCLE
Article encyclopédique SINGAPOUR AU XXe SIÈCLE Le nom de Sir Stamford Raffles (1781-1826) demeure étroitement associé au développement moderne de Singapour. C’est en effet sous la gouverne éclairée de cet administrateur britannique, arrivé en 1819, que ce port stratégique du détroit de Malacca, où la communauté chinoise est très importante, a connu son premier décollage économique. Au début du siècle, le centre administratif de Singapour s’affirme comme entrepôt incontournable pour le reste du t...
-
-
Singapour (1987-1988)
Singapour (1987-1988) En mai 1987, en vertu de la loi de la sécurité interne, seize opposants ont été arrêtés et détenus sans procès, accusés d'avoir ourdi un "complot marxiste". De nombreux commentaires défavorables ainsi que six autres arrestations ont confirmé l'idée que le chef de l'État, Lee Kuan Yew, ne tolère pas la critique. Le gouvernement continue à nier que des détenus ont été maltraités et, en mai 1988, il a annulé une enquête sur ce sujet. Dans le même temps, plusieurs médias étrang...
-
Singapour (1988-1989)
Singapour (1988-1989) Pendant la seconde moitié de 1988, l'ex-président Devan Nair (exilé en Europe) a sévèrement critiqué le régime politique en place. Ce fut aussi le début de l'affaire Francis Seow: ce ministre déchu a été incarcéré pendant 72 jours, sans procès. Plus tard, après son départ autorisé vers les États-Unis, des détectives engagés par Singapour l'ont suivi et harcelé. La scène politique a été marquée par la fièvre électorale et la victoire écrasante du parti du Premier ministre Le...
-
Singapour (1996-1997)
Singapour (1996-1997) Les législatives du 2 janvier 1997 ont nettement dominé la scène politique de la cité-État. Le Parti de l'action du peuple (PAP) l'a emporté avec 63,5 % des suffrages. Ce fut un triomphe personnel pour le Premier ministre Goh Chok Tong qui a ainsi pu affirmer ses talents par rapport au père fondateur de la République, Lee Kuan Yew. Les forces de l'opposition, qui détenaient quatre sièges au Parlement, n'ont réussi à l'emporter que dans deux districts. Le grand vaincu aura é...
-
Singapour (1993-1994)
Singapour (1993-1994) Le Premier ministre Goh Chok Tong a continué d'affirmer son autorité dans la cité-État, malgré l'influence toujours forte du père fondateur de la république, Lee Kuan Yew. Ce dernier a tenu sa promesse en ne participant pas aux élections du 28 août 1993 qui ont amené à la présidence l'ex-Premier ministre Ong Teng Cheong. Le fait que 41,3% des voix soient allées à Chua Kim Yeow, un inconnu politique qui a mené une campagne peu vigoureuse, a servi d'avertissement au Parti de...
-
Singapour (1983-1984)
Singapour (1983-1984) Singapour a poursuivi sa croissance avec une hausse de 6,1% du PIB en 1983 contre 6,3% en 1982. Cela est dû essentiellement à l'essor du secteur bancaire et financier (+15,8%) et de la construction (+27,5%) ; quant au secteur manufacturier - regroupant près d'un tiers de la force de travail -, il stagne (+0,6%) depuis le projet du gouvernement de moderniser l'industrie en élevant les salaires, ce qui a fait fuir de nombreuses firmes multinationales. Devant cette réaction,...
-
Singapour (1989-1990)
Singapour (1989-1990) Le renvoi de milliers d'immigrés illégaux à l'étranger en mai 1989, puis l'autorisation de leur retour, a souligné le problème de la pénurie de main-d'oeuvre à Singapour. Un grave exode des cerveaux et une croissance démographique presque nulle font comprendre pourquoi le gouvernement a fait appel à 100 000 Cantonais de Hong Kong en juillet 1989. Le souci de maintenir un équilibre racial et religieux (entre Chinois, Malais et Indiens) l'a cependant amené à limiter l'immigra...
-
Singapour (1984-1985)
Singapour (1984-1985) 1984 a été l'occasion de célébrer le vingt-cinquième anniversaire de Singapour et de faire l'apologie du régime au sein du Parti d'action populaire. Il y a eu peu d'événements marquant sur le plan politique, si ce n'est l'apparition du fils aîné du Premier ministre, Lee Kuan Yew, au poste nouvellement créé de secrétaire politique au ministère de la Défense. Au niveau économique, les difficultés se sont précisées, malgré un redressement (hausse du PIB de 8,5%) dû à la repris...
-
Singapour (1997-1998)
Singapour (1997-1998) Singapour a été l'un des pays qui ont le mieux résisté à la crise financière et monétaire asiatique. La situation chez ses deux grands voisins (Malaisie et Indonésie), où sont présents ses intérêts, laissait présager le pire. Le taux de croissance de Singapour a été de 7,8 % en 1997. Les exportations se sont maintenues. La croissance a quand même chuté en 1998. Ce diagnostic négatif s'applique aux recettes touristiques et bancaires, au secteur immobilier et à l'emploi. Sur...
-
-
Singapour (1992-1993)
Singapour (1992-1993) Allait-on vers la vraie succession de Lee Kuan Yew? L'ex-Premier ministre a conservé son poste de Senior Minister, ainsi qu'un ascendant intérieur et international exceptionnel, mais Goh Chok Tong, chef du gouvernement depuis novembre 1990, n'a plus pu être considéré, en 1992-1993, simplement comme un "pape de transition" entre Lee père et Lee fils, un peu jeune (41 ans en 1993) pour le pouvoir suprême. Le brillant Lee Hsien Loong, vice-Premier ministre et responsable du Co...
-
Singapour (1999-2000): Reprise économique
Singapour (1999-2000): Reprise économique Bénéficiant d'un contexte de grand calme sur le plan politique, Singapour a consacré - avec succès - toute son énergie à la reprise économique. Le taux de croissance est remonté à plus de 5 % en 1999. Les exportations ont été vigoureuses, surtout vers les États-Unis. Plus de 6 millions de touristes ont séjourné dans la "ville du Lion" en 1999, soit une augmentation de 17 %. Seul le remplacement du président de la République a suscité quelques remous. Arr...
-
Singapour (1982-1983)
Singapour (1982-1983) Singapour, île située à l'extrême sud de la presqu'île malaise, a fait partie de la Fédération de Malaisie jusqu'en 1965, puis s'est constituée en État indépendant sous l'influence des Chinois, qui constituent plus des trois quarts de la population de ce nouveau Hong Kong. Aux activités portuaires et d'entrepôts s'ajoute, depuis une quinzaine d'années, un grand développement industriel. Attirées par un régime fiscal très favorable et le bas prix de la main-d'oeuvre, des mul...
-
Singapour (1998-1999): Les contrecoups de la crise asiatique
Singapour (1998-1999): Les contrecoups de la crise asiatique Singapour a durement ressenti les contrecoups de la deuxième année de la crise asiatique. Le taux de croissance du PIB total, qui était de 8,5 % en 1996 et de 7,8 % en 1997, a chuté à 1,5 % en 1998. Les exportations ont diminué, les salaires ont été réduits, des emplois ont été supprimés et les touristes sont venus moins nombreux. Pour la première fois depuis 1985-1986, le gouvernement a présenté un budget déficitaire et un plan de red...
-
Singapour (2002-2003): Le petit dragon malade
Singapour (2002-2003): Le petit dragon malade Dans une période de grande stabilité politique, Singapour a été totalement préoccupé par la morosité économique, elle-même soudain aggravée par la crise de la pneumonie atypique (SRAS – syndrome respiratoire aigu sévère). Dans son discours lors de la fête nationale, le Premier ministre Goh Chok Tong a déclaré que l'économie avait besoin d'une «chirurgie» pour être capable de ramener la croissance. «Nous devons refaire notre économie car le monde a ch...
-
Singapour (1986-1987)
Singapour (1986-1987) A Singapour, l'année 1986 a été celle du renforcement de l'autoritarisme. La vie politique a été dominée par un contrôle plus étroit sur l'appareil judiciaire et par la question de la succession du chef de gouvernement Lee Kuan Yew. Le premier vice-Premier ministre, Goh Chok Tong, a élargi ses responsabilités, et le fils du Premier ministre Lee Hsien Loong a été nommé président du Comité de modernisation de l'économie. La répression à l'encontre des deux seuls députés de l'...
-
Singapour (1990-1991)
Singapour (1990-1991) Pour la première fois depuis 1959 (et a fortiori depuis l'indépendance de 1965), Singapour a connu en novembre 1990 une alternance politique majeure, avec le remplacement à la tête du gouvernement de Lee Kuan Yew par Goh Chok Tong. Des changements importants auront-ils lieu? Oh, ministre depuis quinze ans, s'est appuyé sur la même écrasante majorité parlementaire (81 sièges sur 82) de ce quasi-parti unique qu'est le Parti de l'action du peuple (PAP). Il s'est trouvé étroite...
-
Singapour (2004-2005): Le fils du Père de la République
Singapour (2004-2005): Le fils du Père de la République Le 12 août 2004, Lee Hsien Loong est devenu, à 52 ans, le troisième Premier ministre de Singapour, en succession à Goh Chok Tong. Son père, Lee Kuan Yew, avait occupé ce poste pendant 31 ans, jusqu’en 1990. Goh Chok Tong aura ainsi assuré une sorte d’intérim de quatorze années entre le père et le fils aîné, incluant la période difficile de la crise financière de 1997-1998 et de celle du SRAS (Syndrome respiratoire aigu sévère). De cet habil...
-
-
Singapour (2001-2002): Des élections sans surprise
Singapour (2001-2002): Des élections sans surprise Avec pour toile de fond une conjoncture économique très difficile, les élections législatives du 3 novembre 2001 n'ont ménagé aucune surprise. Le Parti de l'action du peuple (PAP) a conservé le même nombre de sièges (82 sur 84). Dans ce véritable balayage électoral, le parti solidement établi au pouvoir depuis 1965 a même amélioré son score en nombre de voix (75 % au lieu de 65 % lors des précédentes législatives). Ces résultats étaient prévisib...
-
Singapour (2005-2006): Lee Hsien Loong vainqueur des élections
Singapour (2005-2006): Lee Hsien Loong vainqueur des élections Le Premier ministre Lee Hsien Loong, en poste depuis août 2004, a affronté avec succès son premier test électoral, le 6 mai 2006. Le Parti de l'action du peuple (PAP), dont il est le dirigeant, a remporté, sans aucune surprise, 82 des 84 sièges, soit autant qu'au scrutin de 2001. Avec 66 % des voix, la formation de Lee Hsien Loong a toutefois perdu 9 % d'appuis. Pour la première fois en presque 20 ans, l'opposition a présenté des can...
-
Singapour (2003-2004): Le retour de la dynastie Lee
Singapour (2003-2004): Le retour de la dynastie Lee La Cité du Lion est entrée dans l’une de ses rares périodes de transition politique, seulement la seconde en quarante ans, lorsque le Premier ministre Goh Chok Tong a déclaré en août 2003 qu’il quitterait son poste dès que l’économie rebondirait, chose faite à la mi-2004. Entré en politique en 1976, puis titulaire du poste de Premier ministre depuis 1990, Goh Chok Tong a d’abord été perçu comme simple chef intérimaire mais, de l’avis général, i...
-
Singapour (2000-2001): Inégalités croissantes
Singapour (2000-2001): Inégalités croissantes Au pouvoir depuis plus de dix ans, le Premier ministre Goh Chok Tong et le Parti de l'action du peuple ont continué à bien contrôler l'agenda politique de la Cité du Lion. Les prochaines élections étant prévues pour la fin 2001 au plus tôt, l'heure n'était pas encore aux débats de fond. De nouveaux journaux à grand tirage sont apparus, mais la diversité d'opinion n'a pas gagné de terrain. Le député d'opposition J. B. Jeyaretnam, l'un des trois seuls...
-
SINGAPOUR:Une « Suisse » asiatique.
Bakau Bukum K echil Semakau ~ Sudong .... • Paw J# Senang Sebarok ' MALAISIE Saki jang ~' Pelepah Sakijang ' Bender a 10 km - Centre des affaires - Quartier de bureaux et de commerce D Quartier résidentiel Zones industrielles et portuaires D Zone à agriculture prédominante Parc et bois 103 ° 50' - Mangrove Limite de la ville de Singapour _ Aqueduc
-
Transition écologique de Singapour
(Diapo 1) Aujourd'hui, nous allons voir comment Singapour parvient à répondre à ses besoins énergétiques tout en étant limité de ressources naturelles ?Singapour, situé en Asie du Sud-Est, est l'un des pays les plus densément peuplés au monde, avec plus de 5,5 millions d'habitants sur une superficie de seulement 730 kilomètres carrés. Contrairement à de nombreux pays qui peuvent s'appuyer sur des ressources énergétiques locales comme le charbon, le pétrole ou même les énergies renouvelables...
- Singapour (1995-1996)
- Singapour (1991-1992)
-
- Singapour (1994-1995)
-
Fédération de Malaisie (2002-2003)
Fédération de Malaisie (2002-2003) Les défis d'une fin de mandat Le Premier ministre Mahathir bin Mohamad, chef de gouvernement pendant plus de vingt ans, a annoncé qu'il allait quitter son poste en octobre 2003. Son successeur devait probablement être son vice-premier ministre, Abdullah Ahmad Badawi, partisan de la continuité. Autre signe de la transition, il a nommé un second ministre des Finances, Jamaludin Mohamed Jarjis, diplômé d'une université canadienne, qui est devenu le dirigeant de la...
- Malaisie