15 résultats pour "sérusier"

• Paul SÉRUSIER:L'AVERSE.

  Paul SÉRUSIER L'AVERSE Pour Sérusier, la plus banale des scènes ,de. r,ue doJt exprimer .autre chose que la simple représentation ~e la r~alit':. En el?urant ses lignes, il rejoint les préoccupations des subtils artistes Japonais. «Je veux un dessin ferme, fini dit un jour Sérusier à un ami peintre , que toute ligne soit voulue et ait son rôle , soit nécessaire , c'est-à­ dire qu'on ne puisse pas se la figurer autre­ ment qu'elle n'e...

• Paul SÉRUSIER:LA GRAMMAIRE.

  Paul SÉRUSIER LA GRAMMAIRE Les Bretonnes dans leur costume traditionnel ont inspiré à Sérusier de nombreux portraits, dont cette toile presque naïve. A partir d'octobre 1889, Sérusier, qui s'entend très bien avec Gauguin, partage une chambre avec lui au Pouldu. Théoricien cultivé, il transforme «très vite en une doc­ trine philosophique les moindres paroles de Gauguin » . Tous deux s'accordent à penser que les couleurs et les sons s...

• Paul SÉRUSIER:LA BARRIÈRE.

  "' Paul SERUSIER Sérusier sera fasciné toute sa vie par les paysages bretons, 4 la fois paisibles et pittoresques. Il nous livre ici une vue typique de 1 'Ecole de Pont-Aven. Dans sa jeunesse, Sérusier suit les cours de l'académie julian, où il rencontre Maurice Denis et Pierre Bonnard. En 1887, son ta­ bleau Le Tisserand reçoit une mention au Salon~ L'année suivante, le peintre se rend à Pont-Aven, en Bretagne ~ où résident déjà Ga...

• Paul SÉRUSIER:LA GUIRLANDE DE ROSES.

  / Paul SERUSIER LA GUIRLANDE DE ROSES Comme Gauguin, Sérusier est fasciné par les Bretonnes, pieuses et discrètes. Mais, contrairement à son aîné, qui saura plus tard profiter du charme des belles Tahitiennes, cette image austère de la femme le hantera longtemps ... A Pont-Aven, les peintres regroupés autour de Gauguin innovent dans leur art en prenant pourtant comme sujet des scènes tradition­ nelles de la vie bretonne. les femmes so...

• Paul SÉRUSIER:LA LUTTE BRETONNE.

  / Paul SERUSIER LA LUTTE BRETONNE Loin de P~ris et de l'agitation moderniste qui y règne, Sérusier et ses amis de l'Ecole de Pont-Aven trouvent dans les thèmes de la Bretagne éternelle les sujets d'une inspiration qui fait souffler un vent nouveau sur la peinture. La lutte bretonne, le « gouren », était très po pulaire à l'époque où Sérusier séjournait à Pont-Aven. En 1888, Gauguin avait déjà peint des Enfants luttant et, c::lans sa...

• Paul SÉRUSIER:SOLITUDE, PAYSAGE D'HUELGOAT.

  Paul SÉRUSIER SOLITU ·DE, PAYSAGE D'HUELGOAT Sérusier nous livre ici un des plus beaux portraits qu'il ait réalisés, brossé dans un style typiquement synthétiste. Entre 1891 et 1893, Sérusier passe l'été à Huelgoat, un village situé au cœur de la Bre­ tagne. Il aime se promener dans la forêt par­ semée de chaos de rochers, au bord d'un grand lac et admirer les chutes d'eau proches de profonds ravins. Il y brosse des paysages, de...

• Paul SÉRUSIER:NATURE MORTE AUX OIGNONS.

  / Paul SERUSIER NATURE MORTE AUX OIGNONS Sérusier est connu surtout pour les tableaux qu'il a peints à Pont-Aven. Mais il a également produit un grand nombre de natures mortes, utilisant les objets les plus inattendus, comme ici des oignons ... Paul Sérusier est né à Paris, dans une famille d'industriels. Brillant élève au lycée Condor­ cet, il est également doué pour la musique, la littérature et la peinture. En 1883, il opte pou...

• Paul SÉRUSIER:NATURE MORTE : L'ATELIER DE L'ARTISTE.

  Paul SÉRUSIER NATURE MORTE: L'ATELIER DE L'ARTISTE Entre l'influence de Gauguin et celle de Cézanne, Sérusier réussit à trouver sa propre voie. Ce qui ne dut pas être facile ! Contrairement à ses amis Bonnard et Vuillard , Sérusier fuyait Paris pour se réfugier en Bre­ tagne. Mais, l'hiver venu, il retournait dans la capitale, el c'est dans son atelier parisien qu' il peignit cette étrange nature morte, entre nabis el fauves. L'ŒUVRE...

• Paul SÉRUSIER:LA BARRIÈRE FLEURIE, LE POULDU (FINISTÈRE).

  / Paul SERUSIER LA BAR RI ÈRE FL E URI E LE PO UL DU (FINIST ERB Directement inspirée par son ami Gauguin, que le jeune Sérusier admirait tant , cette « Barrière fleurie » frappe par la richesse de ses couleurs, sa mise en pag e et ses lignes harmonieu ses. C'est en 1 8 8 8 que Sérusier découvre les charmes de la Bretagne. Sa rencont re avec Gauguin va transformer son intérêt pour cette régi on en une passion qui l'habitera to...

• Paul SÉRUSIER:NATURE MORTE, POMMES ET CRUCHE.

  ·Paul SÉRUSIER NATU RE MOR TE, POM MES ET CR U CH E Cette nature morte insolite nous montre que Séru sier rie s 'intéressait pas seulement aux pa ysages bretons. On y découvre son goût pour les tons sourds et mats. A près avoir été successivement associé au synthétisme et aux nabis, Sérusier poursuit ses propres expérimentations picturales dans les années 191 O. Alors que le cubisme est à son apogée, sa peinture reste figurative. S...

• Paul SÉRUSIER:LES LAVEUSES À LA LAÏTA, PRÈS DU POULDU.

  " Paul SERUSIER LES LAVEUSES À LA LAÏTA~ PRÈS DU POULDU Avec ses «Glaneuses » (1857), Millet avait introduit dans la pein~ure _de paysans la notion religieuse de fatalité. Trente ans plus tard, Serus1er essaie de moderniser ce thème. En cette fin du XIX• siècle, Barbizon est deve­ nu trop surfait ! A défaut de Tahiti, les peintres vont en Bretagne, à Pont-Aven ou, mieux encore, au Pouldu. l'ŒUVRE Dans un champ clairsemé, deux...

• Paul Sérusier

• VUILLARD, Edouard (1868-1940)Peintre, il fonde avec Sérusier et Bonnard le groupe des Nabis.

  VUILLARD, Edouard (1868-1940) Peintre, il fonde avec Sérusier et Bonnard le groupe des Nabis. Après les années 1890, il abandonne les compositions de couleurs vives pour une recherche chromatique plus raffinée, mais les formes sont toujours traitées synthétiquement, à l'exemple de Deux femmes sous la lampe (1892). La vie quotidienne constitue sa principale source d'inspiration.

• Paul SÉRUSIER:LE TALISMAN.

• Paul SÉRUSIER:LA BRODEUSE.