66 résultats pour "marquise"
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La Marquise de Rambouillet
La Marquise de Rambouillet Nous connaissons peu de portraits de la marquise de Rambouillet : celui que nous avons sous les yeux montre un visage au frontharmonieux, aux traits finement dessinés, qu'éclaire à peine le reflet d'un sourire. Nous savons encore qu'elle avait un teint d'unedélicatesse exquise, et sans doute n'est-ce pas pure flatterie si le peintre, en 1646, la pare d'une beauté pleine de fraîcheur dans samaturité : à une époque où l'on devenait si vite une vieille femme, les contempo...
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Marquise du Deffand par Edith Mora La marquise du Deffand écrivait en 1767 : ".
Marquise du Deffand
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La Marquise de la SolanaLa marquise de la Solana commanda ce portrait à Goya en 1794, un an environavant sa disparition prématurée à l'âge de 38 ans.
La Marquise de la Solana La marquise de la Solana commanda ce portrait à Goya en 1794, un an environ avant sa disparition prématurée à l’âge de 38 ans. Pressentant sa mort prochaine, elle aurait voulu laisser un souvenir d’elle à sa fille. Epouse du comte del Carpio, président du Conseil des ordres militaires, la marquise est aussi la confidente de la duchesse d’Albe . Mais, à la différence de l’intrigante et légère duchesse, la Solana est une femme de c œ ur et de moralité qui, entre autres œ...
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Marquise de Sévigné par Françoise d'Eaubonne D'où vient cette étonnante popularité, chez nous, de la Divine Marquise ?
Marquise de Sévigné
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Marquise de Sablé1599-1678Appartenant à la société " Précieuse ", Magdeleine de Souvré, marquise de Sablé eut leshonneurs du Grand Cyrus de Madeleine de Scudéri.
Marquise de Sablé 1599-1678 Appartenant à la société “ Précieuse ”, Magdeleine de Souvré, marquise de Sablé eut les honneurs du Grand Cyrus de Madeleine de Scudéri. Les habitués de l'hôtel de Rambouillet se retrouvaient place Royale, chez Parthénie, princesse de Salamis. Amie de Mme de La Fayette, elle collabora aux Maximes de la Rochefoucauld, joua un peu à la Fronde et finit en amitié avec les jansénistes et Pascal, à Port-Royal. Ses Lettres sont intelligentes et amusantes.
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Marquise du Deffand Pendant quarante ans, Marie de Vichy-Chamron, marquise du Deffandreçut dans son salon les plus grands écrivains.
Marquise du Deffand
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Marquise de Lambert1647-1733Le salon d'Anne-Thérèse de Marguenat de Courcelles, marquise de Lambert, femmevraiment supérieure, fut le premier salon philosophique du siècle naissant.
Marquise de Lambert 1647-1733 Le salon d’Anne-Thérèse de Marguenat de Courcelles, marquise de Lambert, femme vraiment supérieure, fut le premier salon philosophique du siècle naissant. Ses nombreux écrits sur l'éducation et sur la morale (elle éleva admirablement ses enfants) sont d'un style très pur. Mais son livre demeuré le plus vivant est le recueil de ses Lettres à diverses personnes (1748).
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Marquise de Sablé
Marquise de Sablé1599-1678 Appartenant à la société "Précieuse", Magdeleine de Souvré, marquise de Sablé eut les honneurs du Grand Cyrus deMadeleine de Scudéri. Les habitués de l'hôtel de Rambouillet se retrouvaient place Royale, chez Parthénie, princessede Salamis. Amie de Mme de La Fayette, elle collabora aux Maximes de la Rochefoucauld, joua un peu à la Fronde etfinit en amitié avec les jansénistes et Pascal, à Port-Royal. Ses Lettres sont intelligentes et amusantes.
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Marquise de Sévigné
Marquise de Sévigné D'où vient cette étonnante popularité, chez nous, de la Divine Marquise ? Elle fait partie de la si petite minorité des écrivains qui, célèbres de leur temps, neconnurent jamais l'oubli ni l'injuste décri de la postérité. Ainsi que Villon, elle ne cessa jamais d'être lue. Ses détracteurs mêmes qui n'en a, dans le mondedes lettres ? lui rendent hommage. Duhamel, sous le couvert de Salavin, raconte comment un professeur de littérature haïssait Mme de Sévigné qu'ilappelait : "l...
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Marquise de Sévigné
S É V I G N É marquise de [Marie de RABUTIN-CHANTAL] 1626-1696 Ép istolière, née à P aris. Bo urgu ignon ne d'origine - comme Co lette-, orpheline à l 'âge de sep t an s, la petite Marie es t él evée par son oncle, l'abbé C hristophe d e Co ulanges, e t mariée d ès s a d � h uitiè me année au m arqu is de Sévigné, qui la négl ige fort et m eurt à l a s uite d'un duel, la la issant veuve à vi ngt-six ans ( 1651). Dès lors, ell e délaisse un pe...
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Marquise de Sévigné
Marquise de Sévigné Petite-fille de sainte Jeanne de Chantal, Marie de Rabutin-Chantal naquit à Paris dans une riche famille bourgeoise.Après la mort de son père sur le champ de bataille, puis de sa mère, elle fut élevée par son grand-oncle dans unhôtel particulier de la place Royale. Mme de Sévigné suivit une instruction littéraire classique et poussée, rare pourune jeune fille de l'époque. Habituée de la cour, elle épousa en 1644 un gentilhomme viveur qui dépensa toute lafortune du ménage avan...
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Stances à marquise
Corneille, « Stances à Marquise » : corrigé de l'évaluation Problématique : Comment Corneille détourne -t-il le motif du carpe diem à son profit ? Dans les « Stances à Marquise », Corneille convoque la tradition [topos, ou motif conviennent également] du carpe diem pour mieux la détourner avec humour et cruauté. Mais ce détournement est en réalité mis au service d'un chantage fait à la jeune femme par lequel le poète la menace et cé lèbre sa propre gloire. I. 1. Co...
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Marquise de Brinvilliers par Samuel S.
Marquise de Brinvilliers
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Marquise de Maintenon Fille de Constant d'Aubigné et de Jeanne de Cardilhac, petite-fille d'Agrippa d'Aubigné, Françoise d'Aubigné naît en 1635 à Niort, où elle est baptisée.
Marquise de Maintenon
- LA MARQUISE D'O
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Explication de texte: Musset - Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée - dialogue entre La Marquise et Le Comte
Étude stylistique du sujet 2 Introduction Il s’agit de la pièce de théâtre de Musset Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée. Dans l’extrait étudié, nous avons un dialogue entre La Marquise et Le Comte. Ce dialogue fantaisiste entre les deux personnages marque la question du badinage et nous amène à nous demander dans quelles mesures le badinage est un stratagème de la rhétorique. I. Le double sens du badinage Dans tout l’extrait nous avons un jeu de la parole entre les deux personna...
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MAINTENON, Françoise d'Aubigné, marquise de (27 novembre 1635-15 avril 1719)
MAINTENON, Françoise d’Aubigné, marquise de (27 novembre 1635-15 avril 1719) Dame C’est en prison où son père purge une peine pour faux monnayage que naît la petite-fille du poète protestant Agrippa d’Aubigné . Après six années passées à la Martinique, où l’a entraînée sa tante, huguenote , elle est enlevée par sa marraine qui pourvoit à son éducation dans divers couvents catholiques. A seize ans, elle épouse un poète et romancier infirme et illustre qui a vingt-cinq ans de plus qu’elle, Scarr...
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Marquise Marguerite Duparcvers 1635-1668Célèbre par son talent de comédienne, mais plus encore pour avoir été l'objet de la rivalitéamoureuse de nos deux grands poètes tragiques.
Marquise Marguerite Duparc vers 1635-1668 Célèbre par son talent de comédienne, mais plus encore pour avoir été l'objet de la rivalité amoureuse de nos deux grands poètes tragiques. Fille d'un saltimbanque italien, elle lui fut achetée par René Berthelot, dit Duparc, qui l'épousa et la fit entrer dans la troupe de Molière. Ravissante danseuse et bientôt fine comédienne, elle était fidéle à son gros mari, ayant résisté à Molière, quand Corneille, à Rouen, fut ébloui par elle. Séduite par sa renom...
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Mariana Waldstein, marquise de Santa CruzCe magnifique portrait d'une jeune femme en mantille est celui de la marquisede Santa Cruz.
Mariana Waldstein, marquise de Santa Cruz Ce magnifique portrait d’une jeune femme en mantille est celui de la marquise de Santa Cruz. Née Mariana Waldstein, d’une famille d’origine autrichienne, la jeune femme, âgée ici de 35 ans, était la seconde épouse du marquis de Santa Cruz, grand maître de la maison du roi. Belle et séduisante, la marquise collectionnait les succès masculins. Ferdinand Guillemardet, ambassadeur de France à Madrid, dont Goya a également fait le portrait, tomba amoureux d’e...
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MONTESPAN, Françoise Athénaïs de Rochechouart de Mortemart,marquise de(5 octobre 1641-27 mai 1707)DameC'est en 1660 qu'arrive à la cour Françoise Athénaïs de Rochechouartpour y devenir dame d'honneur de la reine.
MONTESPAN, Françoise Athénaïs de Rochechouart de Mortemart, marquise de (5 octobre 1641-27 mai 1707) Dame C’est en 1660 qu’arrive à la cour Françoise Athénaïs de Rochechouart pour y devenir dame d’honneur de la reine. Trois ans plus tard, elle épouse Louis Henri de Pardaillan, marquis de Montespan. Leur fils, le duc d’Antin, est leur seul enfant. Sa beauté et son charme, son esprit et ses réparties lui valent de devenir la maîtresse du roi , en 1667. En 1669 naît le premier des huit enfants qu’...
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MONTESPAN, Françoise Athénaïs de Rochechouart de Mortemart, marquise de (5 octobre 1641-27 mai 1707) Dame C'est en 1660 qu'arrive à la cour Françoise Athénaïs de Rochechouart pour y devenir dame d'honneur de la reine.
MONTESPAN, Françoise Athénaïs de Rochechouart de Mortemart, marquise de (5 octobre 1641-27 mai 1707) Dame C’est en 1660 qu’arrive à la cour Françoise Athénaïs de Rochechouart pour y devenir dame d’honneur de la reine. Trois ans plus tard, elle épouse Louis Henri de Pardaillan, marquis de Montespan. Leur fils, le duc d’Antin, est leur seul enfant. Sa beauté et son charme, son esprit et ses réparties lui valent de devenir la maîtresse du roi , en 1667. En 1669 naît le premier des huit enfants qu’...
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Pierre Corneille, « Stances à Marquise » (1658). Commentaire
Pierre Corneille, « Stances à Marquise » (1658). 1. Marquise, si mon visage 2. A quelques traits un peu vieux, 3. Souvenez-vous qu'à mon âge 4. Vous ne vaudrez guère mieux. 5. Le temps aux plus belles choses 6. Se plaît à faire un affront : 7. Il saura faner vos roses 8. Comme il a ridé mon front. 9. Le même cours des planètes 10. Règle nos jours et nos nuits : 11. On m'a vu ce que vous êtes 12. Vous serez ce que je suis. 13. Cependant j'ai quelques c...
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La Marquise de Rambouillet par Jeanne LodsMaître de Conférences à l'Ecole
La Marquise de Rambouillet
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Marquise du Châtelet par Suzanne DelormeMembre du Comité de Direction du
Marquise du Châtelet
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POMPADOURJeanne Antoinette Poisson, marquise de (1721-1764)DameSa mère, qui a été soucieuse de son éducation, la marie au neveu d'un fermier général, Le Normant d'Etiolles.
POMPADOUR Jeanne Antoinette Poisson, marquise de (1721-1764) Dame Sa mère, qui a été soucieuse de son éducation, la marie au neveu d’un fermier général, Le Normant d’Etiolles. Ce mariage lui permet d’entrer dans les salons de Mme Geoffrin et de Mme de Tencin, d’y rencontrer Voltaire, Fontenelle, Crébillon fils. Il lui permet encore d’avoir accès à la cour et d’y être présentée. En février 1745, elle y devient la maîtresse du roi. Louis XV lui donne le titre de marquise de Pompadour. Jusqu’à sa m...
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POMPADOUR, Jeanne Antoinette Poisson, marquise de(29 décembre 1721-15 avril 1764)DameSa mère, qui a été soucieuse de son éducation, la marie au neveu d'unfermier général, Le Normant d'Etiolles.
POMPADOUR, Jeanne Antoinette Poisson, marquise de (29 décembre 1721-15 avril 1764) Dame Sa mère, qui a été soucieuse de son éducation, la marie au neveu d’un fermier général, Le Normant d’Etiolles. Ce mariage lui permet d’entrer dans les salons de Mme Geoffrin et de Mme de Tencin , d’y rencontrer Voltaire ,Fontenelle ,Crébillon fils . Il lui permet encore d’avoir accès à la cour et d’y être présentée. En février 1745, elle y devient la maîtresse du roi. Louis XV lui donne le titre de marquise...
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POMPADOUR, Jeanne Antoinette Poisson, marquise de (29 décembre 1721-15 avril 1764) Dame Sa mère, qui a été soucieuse de son éducation, la marie au neveu d'un fermier général, Le Normant d'Etiolles.
POMPADOUR, Jeanne Antoinette Poisson, marquise de (29 décembre 1721-15 avril 1764) Dame Sa mère, qui a été soucieuse de son éducation, la marie au neveu d’un fermier général, Le Normant d’Etiolles. Ce mariage lui permet d’entrer dans les salons de Mme Geoffrin et de Mme de Tencin , d’y rencontrer Voltaire ,Fontenelle ,Crébillon fils . Il lui permet encore d’avoir accès à la cour et d’y être présentée. En février 1745, elle y devient la maîtresse du roi. Louis XV lui donne le titre de marquise...
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MADAME DE SÉVIGNÉ (1626-1696) Marie de RABUTIN-CHANTAL, marquise de.
MADAME DE SÉVIGNÉ (1626-1696) Marie de RABUTIN-CHANTAL, marquise de. Au même rang que Montaigne et Rousseau, Mme de Sévigné signe une des très rares entreprises authentiquementoriginales d'accomplissement du moi par la littérature. Les Lettres, comme les Essais et les Rêveries, sont des instruments d'existence et non des alibis, des autobiographies, sans projet autobiographique qui informe et, parconséquent, déforme. Cet épanchement de la vie dans l'écriture, cette captation de sa...
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Marquise de Montespan par Agnès De la Gorce " Belle comme le jour ", proclame Saint-Simon.
Marquise de Montespan
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Marquise de Maintenon par Agnès de la Gorce Rien ne présageait un brillant destin à Françoise d'Aubigné.
Marquise de Maintenon
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La marquise de Rambouillet: L'«Incomparable Arthénice».
1 / 2 La marquise de Rambouillet L' «1 ncomparable A rthénice» 1588-1665 Catherine de Vivonne naît à Rome en 1588. Elle est la fille de l'ambassadeur de France Jean de Vivonne, marquis de Pisani, et de Julie Savelli, une dame ita lienne. A l'âge de 12 ans, elle épouse Charles d'Angennes, marquis de Ram bouillet. Belle et pleine d'esprit, la jeune femme ne tarde guère à briller à la cour d'Henri IV. Elle conserve cependant la nostalgie d...
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Marquise de Montespan C'est en 1660 qu'arrive à la cour Françoise Athénaïs de Rochechouart pour ydevenir dame d'honneur de la reine.
Marquise de Montespan
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Marquise de Sévigné Petite-fille de sainte Jeanne de Chantal, Marie de Rabutin-Chantal naquit àParis dans une riche famille bourgeoise.
Marquise de Sévigné
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Deshoulières, madameF147BLambert, marquise deF147CScudéry, Madeleine deF147A
Deshoulières, madame Lambert, marquise de Scudéry, Madeleine de
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LA FAYETTE, Marie-Madeleine Pioche de la Vergne, comtesse de (18 mars 1634-25 mai 1693) Ecrivain La mère de Marie-Madeleine épouse en secondes noces l'oncle de la marquise de SévignéF144.
LA FAYETTE, Marie-Madeleine Pioche de la Vergne, comtesse de (18 mars 1634-25 mai 1693) Ecrivain La mère de Marie-Madeleine épouse en secondes noces l’oncle de la marquise de Sévigné . Marie-Madeleine et la marquise lient une amitié indissoluble. En 1655, Marie-Madeleine devient par son mariage comtesse de La Fayette. Si le comte, après avoir eu deux enfants avec elle, se retire dans ses terres d’Auvergne, la comtesse demeure à Paris. Elle s’y lie d’amitié avec La Rochefoucauld . Elle rencontre...
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Marquise de Pompadour Petite-fille d'un tisserand du diocèse de Langres, fille de François Poisson,écuyer du duc d'Orléans, au service des frères Paris, et de Louise Madeleinede La Motte, Jeanne Antoinette Poisson appartient au monde de la finance.
Marquise de Pompadour
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Marquise de Pompadour par Pierre Labracherie L'accession de Jeanne-Antoinette Poisson au rang de favorite de Louis XVn'est point due au hasard, mais aux savantes combinaisons des grandsmanieurs d'argent, soucieux de déléguer dans le lit du roi une jolie créaturedévouée à leur cause.
Marquise de Pompadour
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SEVIGNE, Marie de Rabutin-Chantal, marquise de
SEVIGNE, Marie de Rabutin-Chantal, marquise de (5 février 1626-17 avril 1696) Epistolière Par son père, Marie appartient à une famille très aristocratique. Par sa mère, elle descend de l’une des familles les plus fortunées du temps. Le 10 octobre 1646 elle met au monde une fille, Françoise Marguerite, qu’elle a eu avec son mari Henri de Sévigné, issu d'une vieille famille aristocratique bretonne, sans fortune et quelque peu libertin. Il est aussi un bretteur acharné. Le 12 mars 1648 madame de Sé...
- Deshoulières, madame Lambert, marquise de Scudéry, Madeleine de
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Alacoque, sainteF154AAulnoy, comtesse d'F154BBrinvilliers, marquise deF154DFontanges, duchesse deF154EMaine, duc duF154C
Alacoque, sainte Aulnoy, comtesse d' Brinvilliers, marquise de Fontanges, duchesse de Maine, duc du
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Alembert, Jean Le Rond d'F167CDeffand, marquise duF167BLesage, Alain-RenéF167ALespinasse, Julie deF167D
Alembert, Jean Le Rond d' Deffand, marquise du Lesage, Alain-René Lespinasse, Julie de
- Alacoque, sainte Aulnoy, comtesse d' Brinvilliers, marquise de Fontanges, duchesse de Maine, duc du
- Alembert, Jean Le Rond d' Deffand, marquise du Lesage, Alain-René Lespinasse, Julie de
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SABLE, Madeleine de Souvré, marquise de (1599-1678)Femme de lettres, elle a un salon célèbre et donne le goût des maximes.
SABLE, Madeleine de Souvré, marquise de (1599-1678) Femme de lettres, elle a un salon célèbre et donne le goût des maximes.
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DEFFAND, Marie de Vichy-Chamrond, marquise du (1697-1780)Femme de lettres, correspondante de Horace Walpole, de Voltaire, de d'Alembert.
DEFFAND, Marie de Vichy-Chamrond, marquise du (1697-1780) Femme de lettres, correspondante de Horace Walpole, de Voltaire, de d’Alembert. Son salon est fréquenté par Marivaux, Sedaine, les encyclopédistes...
- La part qu'elle a à mon histoire est trop interressante, pour négliger de vous en faire le portrait. ? Charles de Fieux, chevalier de Mouhy, la Paysanne parvenue, ou les Mémoires de Madame la marquise de L. V.
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CHATEAUROUX, Marie-Anne de Mailly-Nesle, marquise de La Tournelle, duchesse de (1717-1744)Maîtresse de Louis XV, elle obtient le renvoi de ses s?
CHATEAUROUX, Marie-Anne de Mailly-Nesle, marquise de La Tournelle, duchesse de (1717-1744) Maîtresse de Louis XV, elle obtient le renvoi de ses s œ urs, et le titre de duchesse de Châteauroux. Nommée dame du palais, elle entreprend de faire de Louis XV un grand roi.
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Delphine de Sabran, marquise de Custine1770-1826Mariée à dix-sept ans, elle perd sous la Terreur mari, beau-père, amant, guillotinés.
Delphine de Sabran, marquise de Custine 1770-1826 Mariée à dix-sept ans, elle perd sous la Terreur mari, beau-père, amant, guillotinés. Elle-même, enfermée aux Carmes n'échappe à la mort que grâce au 9 Thermidor. Chateaubriand fut très épris d'elle après la mort de Mme de Beaumont. Une longue amitié succéda, après peu d'années, à la passion, qui avait été chez elle fort vive et dont elle a donné plus tard un touchant et inoubliable témoignage, quand, faisant visiter son château de Fervacques à...
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LAMBERT, Anne Thérèse de Marguenat de Courcelles, marquise de (1647-1733)Femmes de lettres, elle est l'initiatrice des salons philosophiques du XVIIIe siècle, et reçoit Fénelon, Fontenelle, Montesquieu.
LAMBERT, Anne Thérèse de Marguenat de Courcelles, marquise de (1647-1733) Femmes de lettres, elle est l’initiatrice des salons philosophiques du XVIII esiècle, et reçoit Fénelon, Fontenelle, Montesquieu...
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GRIGNAN, Françoise-Marguerite de Sévigné, Mme de (1646-1705)Sa mère la marquise de Sévigné, jeune veuve, l'élève, l'éduque, lui apprend le latin et l'italien.
GRIGNAN, Françoise-Marguerite de Sévigné, Mme de (1646-1705) Sa mère la marquise de Sévigné, jeune veuve, l’élève, l’éduque, lui apprend le latin et l’italien. Blonde, elle est, dit son cousin Bussy-Rabutin, “ la plus belle fille de France ” ; présentée à la Cour en 1652, elle paraît dans les ballets de Benserade, et certains essayent, dit-on, de la jeter dans les bras du roi. La Fontaine lui dédie sa fable du Lion amoureux. En 1669, elle épouse un gentilhomme perclus de dettes, le marquis de...