23 résultats pour "sévérité"
-
SULPICE Sévère
SULPICE Sévère (v. 360-v. 420) Historien, il est le disciple de saint Martin qui répand son culte dans toute la Gaulle. Il est également l'auteur d'une Vie de Saint Martin (397), d'une Chronique .
-
Barbade (1998-1999): Sévères mesures contre le blanchiment de l'argent sale
file:///F/Lycée/angui/1/450078.txt[12/09/2020 03:40:15] Barbade 1998-1999 Sévères mesures contre le blanchiment de l'argent sale Le Parti travailliste du Premier ministre Owen Arthur, profitant d'une é conomie prospère, a gagné les élections du 20 janvier 1999, lesquelles lui ont octroyé 26 des 28 sièges du Parlement. Le PIB a augmenté de 14 % en 1998, soutenu par le tourisme, qui a com pensé une chute de 26 % dans la production de la canne à sucre, principale récolte. Le secteur de...
-
Les traités de Paris: Mansuétude, puis sévérité.
1 / 2 Les traités de Paris Mansuétude, puis sévérité Entrés à Paris le 31 mars 1814, les Alliés se montrèrent plus généreux dans leur victoire que ne l'avait été naguère Napoléon à l'égard des peuples vaincus. Le traité de Paris, signé le 30 mai par Talleyrand, au nom de Louis XVIII, et par les représentants des quatre grandes puissances (Angleterre, Russie, Prusse, Autriche), faisait suite à un armistice conclu le 25 avril par le comte d'Artois....
-
Un édit de l'empereur Septime Sévère interdit le prosélytisme aux Juifs etaux Chrétiens.
Un édit de l'empereur Septime Sévère interdit le prosélytisme aux Juifs et aux Chrétiens.
-
Le Terreur" La terreur n'est autre chose que le justice prompte, sévère, inflexible "s'exclame Robespierre, son initiateur.
Le Terreur “ La terreur n'est autre chose que le justice prompte, sévère, inflexible ” s'exclame Robespierre, son initiateur. Il s'agit en fait d'un ensemble de mesures exceptionnelles prises par le gouvernement révolutionnaire sous la pression des sans-culottes et des enragés entre juin 1793 (après la chute des girondins, révolutionnaires modérés) et le 27 juillet 1794, ou 9 thermidor (chute de Robespierre). Dès septembre 1793, la loi des suspects légalise la Terreur : toute personne (nobles, o...
-
La Terreur" La terreur n'est autre chose que la justice prompte, sévère, inflexible" s'exclame Robespierre, son initiateur.
La Terreur “ La terreur n’est autre chose que la justice prompte, sévère, inflexible ” s’exclame Robespierre, son initiateur. Il s’agit en fait d’un ensemble de mesures exceptionnelles prises par le gouvernement révolutionnaire sous la pression des sans-culottes et des enragés entre juin 1793 (après la chute des girondins, révolutionnaires modérés) et le 27 juillet 1794, ou 9 thermidor (chute de Robespierre). Dès septembre 1793, la loi des suspects légalise la Terreur : toute personne (nobles, o...
-
BAVILLE, Nicolas de Lamoignon de (1648-1724)Administrateur, intendant du Languedoc, il exerce de sévères représailles contre les protestants après 1685.
BAVILLE, Nicolas de Lamoignon de (1648-1724) Administrateur, intendant du Languedoc, il exerce de sévères représailles contre les protestants après 1685.
-
1525 DÈsastre de Pavie Les troupes de FranÁois IerF083, qui tente de reconquÈrir l'Italie, sont sÈvËrement dÈfaites par les ImpÈriaux.
1525 Désastre de Pavie Les troupes de François I er , qui tente de reconquérir l’Italie, sont sévèrement défaites par les Impériaux. Le maréchal de La Palice trouve la mort, tandis que le roi est fait prisonnier. Durant sa détention, la régence du royaume est confiée à sa mère, Louise de Savoie . 1563 Assassinat de François de Guise . Un fanatique protestant, Poltrot de Méré , frappe à plusieurs reprises François de Guise pendant le siège d’Orléans. Le duc meurt des coups de couteau qui lu...
-
-
Partagez-vous ce jugement sévère de Rousseau, ou jugez-vous les Fables que vous connaissez selon d'autres critères que celui de moralité ?
Dans Émile ou De l'Éducation , en 1762, Jean-Jacques Rousseau condamne ainsi les Fables de La Fontaine : « On fait apprendre les Fables de La Fontaine à tous les enfants, et il n'y en a pas un seul qui les entende : quand ils les entendraient, ce serait encore pis. Car la morale en est tellement mêlée et si disproportionnée à leur âge qu'elle les porterait plus au vice qu'à la vertu. » Puis, après un commentaire linéaire railleur du « Corbeau et le renard », il poursuit : « Suivez les enfants...
-
Eleanor Roosevelt1884-1962La nièce du président Théodore Roosevelt, fut orpheline de bonne heure et reçut uneéducation sévère.
Eleanor Roosevelt 1884-1962 La nièce du président Théodore Roosevelt, fut orpheline de bonne heure et reçut une éducation sévère. En 1905 elle épousa son cousin Franklin Roosevelt, et commença à s'intéresser aux affaires politiques et sociales : Parti Démocrate et Ligue pour le Vote des Femmes. Elle fonde une coopérative pour donner du travail aux jeunes ouvriers saisonniers et enseigne la sociologie et l'économie politique dans une école. Elle publie chaque jour un article : My day , qui est re...
-
Arthur II de Bretagne, comte de Richemond1393-1458Comte de Richemond, connétable de France, duc de Bretagne, l'homme est brutal etimpitoyable : son visage rude et sévère n'attire pas les sympathies.
Arthur II de Bretagne, comte de Richemond 1393-1458 Comte de Richemond, connétable de France, duc de Bretagne, l'homme est brutal et impitoyable : son visage rude et sévère n'attire pas les sympathies. Il aura été le plus utile et le plus impopulaire des serviteurs de Charles VII. Favori du Dauphin pendant la guerre civile, il fait ses premières armes en combattant avec les Armagnacs. Il marche contre les Anglais, est fait prisonnier à Azincour et demeure captif jusqu'en 1420. En 1423, il épouse...
-
Charles Ier d'Anjou1226-1285Habile mais énergique, homme de vastes ambitions, à la fois sévère et clément, ce grandaventurier royal, que certains considèrent comme le plus grand des Capétiens, réussitl'entreprise de créer une dynastie et une puissance.
Charles Ier d'Anjou 1226-1285 Habile mais énergique, homme de vastes ambitions, à la fois sévère et clément, ce grand aventurier royal, que certains considèrent comme le plus grand des Capétiens, réussit l'entreprise de créer une dynastie et une puissance. Dixième fils (posthume) de Louis VIII et de Blanche de Castille, frère donc de celui qui sera Saint Louis (de qui il sera aussi le beau-frère, par les filles du comte de Provence : et sa belle-s œ ur Marguerite reste constamment son ennemie),...
-
Charles-Irénée Castel, abbé de Saint-Pierre1658-1743Ami de Segrais, de Nicole, de Malebranche, il publia en 1718 son Discours sur la Polysynodieoù, tout en louant le Régent, il juge sévèrement Louis XIV : hardiesse qui le fit exclureincontinent de l'Académie.
Charles-Irénée Castel, abbé de Saint-Pierre 1658-1743 Ami de Segrais, de Nicole, de Malebranche, il publia en 1718 son Discours sur la Polysynodie où, tout en louant le Régent, il juge sévèrement Louis XIV : hardiesse qui le fit exclure incontinent de l'Académie. Les idées de ce penseur aimable et ferme se firent jour dans de nombreux livres, jugés par les uns ridicules utopies, par d'autres, tel le cardinal Dubois, “ les rêveries d'un homme de bien ” : Projet de paix perpétuelle (1713), Mémoir...
- Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Téterelle qu'en tant que critique il était gavé de confidences autobiographiques dont il n' [avait] que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur le marché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions de lecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique.
-
Pascal a tiré parti de presque tous les arguments sceptiques de Montaigne, pour en changer complètement l'intention dans son contexte apologétique (la Misère de l'Homme sans Dieu). b) Mais il jugeait sévèrement l'entreprise de son prédécesseur : « Le sot projet qu'il a eu de se peindre », note-t-il dans ses Pensées. c) Si c'est bien en effet sous ce premier aspect que nous apparaissent les Essais, est-ce le seul ?
Introduction : a) Pascal a tiré parti de presque tous les arguments sceptiques de Montaigne, pour en changer complètement l'intention dans son contexte apologétique (la Misère de l'Homme sans Dieu). b) Mais il jugeait sévèrement l'entreprise de son prédécesseur : « Le sot projet qu'il a eu de se peindre », note-t-il dans ses Pensées. c) Si c'est bien en effet sous ce premier aspect que nous apparaissent les Essais, est-ce le seul ? I. — Montaigne, peintre de lui-même : Impossible, en effet, de...
-
Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Télérama qu'en tant que critique il était « gavé de confidences autobiographiques dont il n'avait que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur le marché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions de lecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique.
Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Télérama qu'en tant que critique il était « gavé de confidencesautobiographiques dont il n'avait que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur lemarché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions delecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique. Introduction Si l'on en croit le succès obten...
-
-
Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Télérama qu'en tant que critique il était « gavé de confidences autobiographiques dont il n'[avait] que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur le marché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions de lecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique.
Raconter sa vie était jadis réservé à quelques « grands hommes » qui, ayant marqué de leur empreinte la viepolitique ou littéraire, voulaient en laisser une trace durable dans un livre. Mais on constate aujourd'hui que lephénomène s'est élargi. C'est ainsi que le journaliste Pierre Lepape pouvait écrire, en 1982 dans Télérama, qu'entant que critique, il était « gavé de confidences autobiographiques dont il n'avait que faire », faisant ainsi allusion àla masse de livres de ce type la...
- Les traités de ParisMansuétude, puis sévérité.
-
Eugenio Montale par Franco FortiniMilan Les archétypes de la poésie de Montale se révèlent dans les paysages lesplus sévères de la côte ligure : roc et mer, ascèse et ténacité.
Eugenio Montale
-
Georges Duhamel écrivait à propos du cinéma, dans les « Scènes de la Vie Future », ces lignes sévères : « c'est un divertissement d'ilotes, un passe-temps d'illettrés, de créatures misérables, ahuries par leurs besognes et leurs soucis. » Partagez-vous cette opinion ?
INTRODUCTION : Le cinéma n'a pas été d''emblée considéré comme un art. Les milieux cultivés sont restés longtemps méfiants en face de ce divertissement nouveau et le sont encore ; Duhamel se fait, dans les Scènes dela Vie Future, l'écho de cette hostilité. I. UN DIVERTISSEMENT D'ILOTES Entre les deux guerres on parle beaucoup du « ciné » dans la chanson de café-concert. Il ne s'agit encore, s'il fauten croire les chansonniers, que d'une distraction facile, recherchée le samedi soir o...
- Dans les pensées, Pascal affirme que le moi est haissable et juge sévèrement Montaigne : Le sot projet qu'il a eu de se peindre. En revanche, Voltaire parle du charmant projet que Montaigne a eu de se peindre naïvement comme il l'a fait, car il a peint la nature humaine. Comment faut-il donc considérer l'écriture de soi en général et les diverses entreprises autobiographiques ?
-
On a dit que Polyeucte était la moins cornélienne des tragédies de Corneille. Dans quelle mesure pouvez-vous souscrire à ce jugement ?
INTRODUCTION Parmi les grandes tragédies cornéliennes, Polyeucte occupe une place à part et les contemporains pouvaient à bondroit se trouver déroutés par une œuvre où l'auteur renouvelait aussi largement sa manière. Sans doute le roman dePauline et de Sévère offrait-il à nouveau aux dévots de Corneille, après celui de Rodrigue et de Chimène, un exemplede ces intrigues d'amour chevaleresque et malheureux où se complaisaient, à l'époque, tant d'imaginations. Mais nile style, ni l'évocation du cad...
- Mental Illness.