27 résultats pour "calédonie"
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LA NOUVELLE-CALÉDONIE AU XXe SIÈCLE
Article encyclopédique Situés au sud du Vanuatu (les îlots Matthew et Hunter faisant l’objet d’un litige), la Nouvelle-Calédonie et l’archipel des Loyautés se trouvent à environ 1 500 kilomètres à l’est de l’Australie. La France prend possession de ces territoires en 1853, y implantant en 1864 une colonie pénitentiaire qui sera dissoute en 1897. Une administration coloniale civile est mise en place en 1885. L’implantation de colons suscite des conflits pour le foncier avec les communautés autoch...
- Calédonie
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Nouvelle-Calédonie (1998-1999)
Le 8 novembre 1998, l'accord de Nouméa (signé le 4 mai) a été approuvé dans le cadre d'un référendum par 72 % de la population calédonienne (mais seulement 58 % à Nouméa). A la suite de ce vote, le projet de loi sur l'avenir constitutionnel de ce qui était jusqu'alors un territoire français d'outre-mer (TOM) a été définitivement adopté par les deux chambres du Parlement en février 1999. La Nouvelle-Calédonie bénéficiera d'un statut unique la dotant d'une "citoyenneté calédonienne" et d'un gouver...
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Nouvelle-Calédonie (1999-2000)
Après l'élection de son Congrès et la formation de son premier gouvernement, la Nouvelle-Calédonie, dont le statut a évolué, passant de territoire français d'outre-mer (TOM) à celui de territoire à "souveraineté partagée", à la suite de l'approbation référendaire en novembre 1998 des accords de Nouméa (4 mai 1998), a poursuivi la mise en place de ses nouvelles institutions : le Sénat coutumier (août 1999) puis le Conseil économique et social (février 2000). Au 1er janvier 2000, un premier ensemb...
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Nouvelle-Calédonie (1997-1998)
En 1998, dix ans après les accords de Matignon, la Nouvelle-Calédonie devait décider de son indépendance par référendum. Ce scrutin d'autodétermination, finalement reporté, devrait avoir lieu entre 2013 et 2018. La négociation tripartite entre l'État, les représentants du Rassemblement pour la Calédonie dans la République (RPCR, anti-indépendantiste) et ceux du Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS, pro-indépendantiste) s'est conclue le 21 avril par un nouvel accord devant êtr...
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Nouvelle-Calédonie (1996-1997)
Le dossier de l'exploitation du nickel, principale ressource naturelle de ce territoire français d'outre-mer (TOM), a bloqué, à partir de l'été 1996, les négociations sur l'avenir de la Nouvelle-Calédonie, interrompues en avril 1996, ainsi que la préparation du référendum de 1998 devant statuer sur cette question. Prévue dans les accords de Matignon signés en juin 1988 entre les représentants du gouvernement français, des partisans du maintien de la Calédonie dans la République et des indépendan...
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Nouvelle-Calédonie (1995-1996)
A l'approche du référendum d'autodétermination de 1998, prévu par les accords de Matignon signés en juin 1988 par des représentants du gouvernement français, des membres de la communauté d'origine européenne antiindépendantiste ("caldoches") et des membres de la communauté mélanésienne indépendante ("kanaks"), la tension s'est accrue. Cette consultation, qui doit permettre aux habitants de ce territoire d'outre-mer (TOM) de décider de leur avenir politique, a déjà fait l'objet de préparations da...
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Nouvelle-Calédonie (1991-1992)
Conclus en 1988 à la suite de graves affrontements entre indépendantistes, anti-indépendantistes et forces de sécurité, les accords de Matignon signés par les représentants des deux principales forces politiques de ce territoire d'outre-mer (TOM) - le RPCR (Rassemblement pour la Calédonie dans la République) et le FLNKS (Front de libération national kanak et socialiste) - ont prévu qu'en soit dressé un bilan au cours de l'année 1992. L'approche de cette échéance a mobilisé les forces politiques....
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Nouvelle-Calédonie (2005-2006)
En 2005-2006, le nickel a continué d’occuper le devant la scène. Le projet Goro-Nickel, au sud de la Grande Terre, s'est de nouveau heurté à de vives oppositions venues de groupes écologistes indigènes, inquiets de l’utilisation d’un nouveau procédé chimique. Les dégâts occasionnés par les actes de vandalisme ont été estimés à une dizaine de millions de dollars, et la société Inco a dû consentir à une nouvelle enquête d’impact environnemental. L’autre projet, situé au nord de la Grande Terre et...
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Nouvelle-Calédonie (1994-1995)
Ce territoire d'outre-mer (TOM) français a connu en 1994-1995 plusieurs conflits sociaux dans le port de Nouméa, mettant en question le mode de recrutement des dockers dans les conditions actuelles d'activité du port. Les principaux partis ont annoncé leur position quant à l'avenir du territoire, à moins de quatre ans du référendum de 1998 devant statuer sur cette question. Prévue dans les accords de Matignon, signés en juin 1998 entre les représentants du gouvernement français, des partisans du...
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Nouvelle-Calédonie (2004-2005)
Le projet Goro-Nickel, au sud de la Grande Terre, considéré comme crucial pour l’avenir économique de la Nouvelle-Calédonie et l’un des plus grands au monde dans son genre, prend un second souffle : la société pilote, Inco, a relancé le projet fin 2004 après une révision des coûts d’investissement, désormais affichés à 1,88 milliard de dollars des États-Unis. Fin prévue des travaux : septembre 2007, pour une production annuelle annoncée à 60 000 tonnes de nickel et 5 000 tonnes de cobalt. Mais I...
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Nouvelle-Calédonie (1993-1994)
La vie politique de ce territoire d'outre-mer (TOM) est restée dominée par la préparation du référendum de 1998. Conformément aux accords de Matignon signés en juin 1988 entre les représentants du gouvernement français, de la communauté d'origine européenne ("Caldoches") et de la communauté mélanésienne ("Kanaks"), il doit permettre aux habitants du territoire de décider de leur avenir politique. Le président du FLNKS (Front de libération nationale kanake et socialiste), Paul Néaoutyine, a refus...
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Nouvelle-Calédonie (1992-1993)
L'année a été calme dans ce territoire d'outre-mer français (TOM). Le processus engagé par les accords de Matignon, signés en juin 1988 entre les représentants de l'État français, de ceux de la communauté d'origine européenne ("Caldoches") et ceux de la communauté mélanésienne ("kanaks") et destinés à favoriser une meilleure insertion de celle-ci dans l'économie du territoire, s'est poursuivi. En novembre 1992, les dirigeants indépendantistes de la province Nord du FLNKS (Front de libération nat...
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Nouvelle-Calédonie (2000-2001)
Les élections municipales de mars 2001 ont maintenu les rapports de force entre indépendantistes et partisans de la République française. Au sein du camp indépendantiste, l'Union calédonienne (UC) a reculé face au Palika (Parti de libération kanak). Réélu à la mairie de Nouméa, Jean Lecques a démissionné de la présidence du territoire à "souveraineté partagée". Le nouveau gouvernement, élu le 3 avril 2001, a porté Pierre Frogier (RPCR - Rassemblement pour la Calédonie dans la République) à la pr...
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Nouvelle-Calédonie (1990-1991)
Pour la première fois depuis 1984, il n'y a pas eu d'échéance électorale dans cette possession française qui a le statut de TOM (territoire d'outre-mer). La réalisation du processus des accords de Matignon, signés en juin 1988 entre l'État, le RPCR (Rassemblement pour la Calédonie dans la République) et le FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste), après une période d'affrontements et de tensions extrêmes entre les communautés caldoche (d'origine européenne) et kanake (mélanésien...
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Nouvelle-Calédonie (2003-2004)
Les résultats des élections provinciales du 9 mai 2004 dans ce territoire français, censées renouveler les trois assemblées des provinces Nord, Sud et des îles Loyautés, ont provoqué un véritable séisme politique : le parti anti-indépendantiste de Jacques Lafleur, le Rassemblement pour la Calédonie dans la République (RPCR-UMP), qui détenait le pouvoir sans partage depuis un quart de siècle, a perdu la majorité dans son fief de la province Sud (16 sièges sur 40), mais aussi au Congrès (16 sièges...
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Nouvelle-Calédonie (1985-1986)
L'année 1985 s'est ouverte dans la crise, avec la "neutralisation" délibérée du leader kanak Eloi Machoro par les tireurs d'élite de la gendarmerie. De concert avec le Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS), le délégué général Edgard Pisani réussit pourtant à mettre en place un plan de division du territoire en quatre régions dotées de larges pouvoirs. Le gouvernement territorial de Nouméa, contrôlé par la droite caldoche du Rassemblement pour la Calédonie dans la République (...
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Nouvelle-Calédonie (1989-1990)
L'application des accords de Matignon de l'été 1988 s'est poursuivie malgré l'assassinat en mai 1989 de Jean-Marie Tjibaou et de Yéwéné Yéwéné, les principaux leaders indépendantistes, par un extrémiste du Front uni de libération kanak (FULK) opposé à ces accords. Quelques jours après, les élections pour les Conseils régionaux donnaient une majorité aux indépendantistes du FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste) dans la région Nord et dans les îles Loyauté, et au RCPR (Rassembl...
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Francis Carco1886-1958Né à Nouméa (Nouvelle-Calédonie).
Francis Carco 1886-1958 Né à Nouméa (Nouvelle-Calédonie). En 1911, il fonda avec Tristan Derème, Jean Pellerin et Léon Vérane l'École “ fantaisiste ”, et l'année suivante il en donnait l'un des chefs-d' œ uvre avec l a Bohème et mon c œur . Puis il fréquenta Montmartre et le “ Lapin Agile ” et en 1914 publia Jésus-la-Caille , son premier roman qui lui valut le parrainage un peu imprévu et fervent de Paul Bourget, et que suivirent l'Homme traqué, l'Équipe, Rue Pigalle, les Innocents, Rien qu'...
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Kagou:C'est l'oiseau à crinière de Nouvelle-Calédonie.
1 / 2 r Kagou C'est l'oiseau à crinière de Nouvelle -Calédon ie Le kagou est un volatile étrange, un peu «rétro» , qui semble évoluer hors de son temps. En fait , c'est le survivant d'un groupe disparu depuis fort longtemps . Le kagou a perdu l'usage de ses ailes; son inaptitude au vol l'a rendu très vulnérable et il s'achemine inexorablement au-devant de l'extinc tion finale. Le kagou mène une existence précaire sur les hauts plate...
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Nouvelle-Calédonie (1986-1987)
L'année 1986 s'était ouverte dans l'élan des élections de septembre précédent, favorables aux Kanaks. Dans les trois régions (sur quatre) qu'il contrôle, le Centre, le Nord et les Iles, le Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) élaborait des dossiers d'équipement, encourageait les initiatives économiques des tribus, municipalités et comités de lutte, mettait en oeuvre sa ligne d'"autosuffisance élargie". Mais le FLNKS n'a pas participé aux élections législatives françaises de...
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Nouvelle-Calédonie (2001-2002)
En décembre 2001, le FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste) n'a pas réussi à choisir entre Roch Wamytan (Union calédonienne) et Paul Néaoutine (Palika) pour sa présidence. Au premier tour de la présidentielle, le 21 avril 2002, le président sortant Jacques Chirac (RPR) a obtenu 49 % des voix et Lionel Jospin (PS) 25 %. Au second tour (5 mai), J. Chirac a recueilli 80,4 % des suffrages, contre 19,6 % à Jean-Marie Le Pen (Front national). Lors des législatives (9 et 16 juin suiv...
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Nouvelle-Calédonie (2002-2003)
À compter d'octobre 2001 le FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste, indépendantiste) n'avait plus de président. Après trois annulations successives, son congrès, tenu le 24 mai 2003 à Moindou, a reconduit une direction collégiale. Au gouvernement du Territoire, la démission de Gérald Cortot (Union calédonienne, membre du FLNKS), le 10 novembre 2002, a provoqué de nouvelles élections au Congrès. Seul changement, Rock Wamytan, de retour sous l'étiquette FLNKS, a hérité du portefe...
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Nouvelle-Calédonie (1988-1989)
Ce territoire avait cristallisé toutes les préventions accumulées par l'histoire à l'encontre de la France dans le Pacifique. La "solidarité avec le peuple kanak" toutefois s'est estompée devant la nécessité de remettre de l'ordre dans les affaires intérieures de la totalité des pays mélanésiens ; mais ceux-ci avaient constitué un groupe dit du "Fer de lance" pour faire pression sur la France. Sur le terrain même, la période de cohabitation politique (1986-1988) au sein du pouvoir central, à Par...
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Nouvelle-Calédonie (1987-1988)
Lors du référendum d'autodétermination du 13 septembre 1987, la population a renouvelé sa volonté de demeurer dans la République française, malgré l'abstention massive de la communauté mélanésienne ; cette dernière s'est émue de l'acquittement, le 27 octobre, par le tribunal de Nouméa, des responsables de la fusillade de Hienghène de décembre 1984 qui avait fait dix morts parmi les siens. Malgré l'expulsion du consul général d'Australie en janvier 1987, les relations avec ce pays se sont amélior...
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Paragraphe argumenté SVT - La culture du maïs en Nouvelle Calédonie (à partir de documents)
SVT paragraphe argumenté La culture du maïs en Nouvelle Calédonie est difficile. Il y a une forte présence de nickel dans les sols qui empêche la croissance du maïs. Nous nous demandons alors en quoi la forte teneur en nickel dans certains sols de la Nouvelle Calédonie est un obstacle à la culture du maïs. Pour répondre à cette problématique nous expliquerons d’abord que le nickel affecte la plante sur des parties ciblées de sa morphologie, puis nous analyserons de plus près l’impact du n...
- 1861 SUJETS-TEXTES DE L’ÉPREUVE DE PHILOSOPHIE AU BACCALAURÉAT