353 résultats pour "simple"

• INTRODUCTION Imaginez un instant que vous puissiez prédire l'improbable ou révéler des vérités cachées à partir de simples nombres.

  INTRODUCTION Imaginez un instant que vous puissiez prédire l'improbable ou révéler des vérités cachées à partir de simples nombres. Les mathématiques sont souvent perçues comme une discipline rigide et méthodique basée sur des règles strictes et des logiques infaillibles. Cependant au cœur de cette science exacte se trouve des paradoxe qui défie notre intuition et révèle un côté à la fois intrigant et magique des mathématiques. Un domaine particulièrement fascinant pour découvrir ses parad...

• Grand oral musique: Peut-on considérer la musique comme un simple divertissement ?

  Grand oral: Problématique: Peut-on considérer la musique comme un simple divertissement? Pour mon grand oral, je voudrais dans une première question aborder le sujet de la musique et son rapport universel à l'individu. Cela concernerait en parti mon orientation future étant donné que j'aimerais travailler dans ce domaine-là en tant que musicienne professionnelle. Elle combinerait la llce et la hlp avec les thèmes: la recherche de soi (hlp), expression et construction de soi (llce) et sous-...

• Explication d'un texte de Benveniste sur la philosophie du langage Le langage est-il un simple outil de communication ?

  Explication d'un texte de Benveniste sur la philosophie du langage Le langage est-il un simple outil de communication ? Emile Benveniste (1902-1976) « La connaissance de la doctrine de l'auteur n'est pas requise. Il faut et il suffit que l'explication rende compte, par la compréhension précise du texte, du problème dont il est question » [PM] Point méthode L'explication d'un texte doit se faire à partir du texte lui-même. Il n'est pas nécessaire de connaître l'auteur, mai...

• Leibniz (1646-1716): LES PRINCIPES DE LA RAISON

  Leibniz (1646-1716) LES PRINCIPES DE LA RAISON C omme Descartes, Leibniz veut établir les principes de la science, mais il se défie de l'intuition. 1. La vérité par le calcul A. Critique de Descartes ■ Les préceptes cartésiens sont bons, mais vagues : ils ne nous don­ nent pas de critères sûrs pour reconnaître la clarté et la distinction d'une idée. Ils en laissent l'appréciation �g:$g'@?I'3*?'* C'est dangereux car souvent les hommes trouvent évident ce qui est obscur. ■...

• Comment concevez-vous l'hospitalité?

  1 / 2 Comment concevez-vous l'hospitalité? Il est important de savoir montrer à ceux que l'on aime le plaisir qu'on a à les accueillir. Offrir de partager son toit de bonne grâce n'est pas si simple. al SCORPION Vous n'aimez pas inviter n'im­ porte qui, mais vous savez vous investir pour ceux que vous considérez comme des amis. Vous souhaitez toutefois bien délimiter votre territoire et gar­ der votre espace. Cela ne vous empê...

• SPINOZA, Traité politique, chapitre cinquième, paragraphes 4 et 5.

  Si dans une Cité les sujets ne prennent pas les armes parce qu'ils sont sous l'empire de la terreur, on doit dire, non que la paix y règne, mais plutôt que la guerre n'y règne pas. La paix en effet n'est pas la simple absence de guerre, elle est une vertu qui a son origine dans.la force d'âme car l'obéissance est une volonté constante de faire ce qui, suivant le droit de la Cité, doit être fait. Une Cité [ ... ] où la paix est un effet de l'iner-...

• La symbolique des automates - La Règle du jeu

  La symbolique des automates Robert de La Chesnaye, le personnage interprété par Dalio, est un aristocrate «à l'ancienne mode». Il ne travaille pas et se contente, contrairement à beaucoup de nobles d'alors, de vivre de ses rentes 1. Sa seule activité consiste à collectionner les «instruments musicaux et mécaniques». Cette activité est pour La Chesnaye plus qu'un simple passe-temps. Ainsi, il parle du magnifique limonaire qu'il prés...

• L'art d'apprendre se réduit-il à imiter longtemps et à copier longtemps (Alain) ?

  La citation présente tout d'abord une répétition qui alerte le candidat « longtemps ». Alain insiste, par ce procédé,sur la durée de l'apprentissage. En ce sens, nous avons une opposition avec le second paragraphe et la prétenduespontanéité de l'enfant. Ce temps important pour acquérir un certain nombre de connaissances, ou un savoir-faire,s'accompagne de la notion d'effort, de patience, d'humilité même face à la tâche à accomplir.Par ailleurs, le verbe « se réduit » suggère que l'auteur a trouv...

• Le modélisme

  LA VIE DES HOMMES Le modélisme Patient, minutieux, et adroit de ses mains, le modéliste aime créer les choses plutôt que d'en faire simplement usage. Il considère que le jeu est une affaire assez sérieuse pour y consacrer du temps. Fabriquer des maquettes et les mettre en marche sont pour lui de véritables plaisirs. Plus qu'un loisir, une passion Tous les enfants s'amusent avec des jouets qui sont l' imitation, en plu...

• Bachelard (1884-1962): QU'EST-CE QUE LA SCIENCE ?

  Bachelard (1884-1962) QU'EST-CE QUE LA SCIENCE? •1~- lard f orm e le projet d'une p hi lo s op hi e q u i é po u s e a u plus près l a p e n s é e s ci en ti f iq ue . A u l i eu d e chercher à dic ter • à l a sci ence d e pré tendue s r èg le s un iv ers ell es d e la pe ns ée , q u i s on t . • ~_, - ◄ auta nt d'obstacles a u pr og rès sc ien tif iqu e, la ph iloso phie d oi t s ' a t t a - '" ~ c h er humblement...

• Les Baroques

  Les Baroques Après avoir été considéré, au XIXe siècle, comme une épithète péjorative, le terme de Baroque a pris depuis lesannées 20, une valeur apologétique. A la base de cette transformation, il y a un changement d'appréciation desvaleurs psychologiques et une connaissance plus approfondie des faits historiques. Pour les hommes du XIXe siècle, le sens de l'histoire moderne était simple ; la Renaissance constituait la dernière forme valable de la vraiecivilisation,...

• LE CARTEL, HERRIOT ET LES SOCIALISTES (1924)

  1 / 2 LE C ARTEL, HERRIOT E T LES SO CIALISTES (1924 ) H errîot f ut l'homme du lendemain de c ette vict oire. Sa foi dé moc ratique, s a sensibilité à t out ce qui éta it jus te, généreu x, hu ma in, sa magni­ fique c ulture, q ui le me ttait de plain-pied avec t out ce qu i fu t grand da ns notre passé, t out, jusqu'à sa bonhomie, son chapeau et sa p i�1 5 en avaient fait une figure populaire, où la France démocratique se reconnaissait. Il avait...

• « Je n'ose plus ni croire ni nier, [...] je n'ai plus d'opinion. Il faut tâcher d'examiner [...], nous raisonnerons après ». Vous expliquerez en quoi cette déclaration illustre l'esprit des Lumières ?

  La citation est extraite du conte voltairien intitulé Micromégas , et apparaît dans une première lecture comme le manifeste d'une démarche méthodique et structurée, contre l'adoption de l' « opinion » commune, jugée incapable de résister à l'examen attentif.Pourtant, l'entreprise des Lumières, par le recours au verbe « oser » employé négativement, apparaît ici comme paradoxale,puisqu'elle voit dans le positivisme un aveu primitif d'impuissance. Elle se révèle ainsi être une entreprise d...

• GEORGES DELERUE

  Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mond ial GEORGES DELERUE NOT ICE BIO GRAPHIQUE Compositeur français , né à Roubaix le 12 mars 1925 . Après des études musicales dans sa ville natale , il vient, en 1945 , au Conservatoire de Paris travailler avec Darius Milhaud qui devine, chez le jeun e musicien, un don pour le thé âtre , et envoie son élève au Festival d'Avignon 194 8 diri­ ger sa propre musique de scène pour...

• Essai philosophique: le langage n’est pas seulement un simple instrument de communication

  Essai philosophique Tout être vivant a besoin de communiquer. Pour s’exprimer, les hommes disposent de la parole. La parole traduit les pensées de l’homme, à savoir l’expression des sentiments, le dialogue et l’implicite. Transmettre ses sentiments et ses passions est l’une des fonctions fondamentales de la parole. En révélant ses sensations intérieures, l’homme assure un lien solide avec les siens Les hommes parlent dans le but de transmettre une information, une émotion, mais aussi po...

• L’art totalitaire est-il un véritable art ou une simple mise en scène du pouvoir ?

  L’art totalitaire est-il un véritable art ou une simple mise en scène du pouvoir ? Souvenons-nous que le régime nazi était dirigé par un artiste raté qui, en 1907, échoue à l’académie des beaux-arts de vienne. Dès son entrée en politique, il se mêla donc d’esthétique annonçant dans son programme quel art était validé et quel art ne l’était pas en se fondant sur ses gouts personnels. Pour Hitler un artiste qui peignait l’herbe en bleue était forcément un menteur. En 1933, il créa une chamb...

• Le sensible est-il communicable ?

• passé.

• UNE VIE

  Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée ·du Cinéma Mondial UNE VIE Réalisati on Scénario ..................... .................. . D'après le roman de ... ... ...... ......... ........ . Directeur de la photographie .............. .......•.. Musique ............. ..... .............. ..... .. . Production ................. .................... . Distribution .... ...... ... ... .... ... ........... .. . Durée INTE RPRÉTATION Jeanne Dandieu ........

• TRAQUENARD

• LA DENTELLIÈRE

• 1900

• CASANOVA

  CASANOVA Réalisation ...... .................... .............. . Scénario . ...... ... ............. ... ...... ..... .. .. . . Direct eur de la photographie ... .... ... .... .. .. .. . ... . Musique ....... . . . ...... ...... .............. ...... . Décors et costumes ..... ...... .... .... ....... .... ... . Montage ............ ...... ..... ... .... ... .. ... .... . Production .......... .... ....... ................... . Product eur ........... ....... ............

• SOUTH PACIFIC

• L'IBIS ROUGE

  L'IBIS ROUGE Réalisation ........... .......................... . Scénario et adaptation ....... ................ ..... . D'après le roman « Ça ne se refuse pas "• de . ......... . Directeur de la photographi e .... ................... . Musique ....................................... . Chanson et affiche ... ............ ........ ..... .. . . Production et distribution ......................... . Durée INTERPRÉTATION Zizi Jérémie ...........................

• CHER PAPA

  CHER PAPA Réalisation Scénario ....................................... . Dino RISI (1979) Bernardino ZAPPONI, Marco et Dino RISI Tonino DELLI COLLI (couleurs par Technopes) Manuel DE SICA Directeur de la photographie ...................... . Musique ....................................... . Production ..................................... . Dean Film (Rome) A.M.L.F. (Paris) Distribution .................................... . Prospect Films (Montréal)...

• OBSESSION

• LA CHATTE

  Les Fiches de Monsieur Cinéma · Histoire lllustrée ·du Cinéma Mondial LA CHATTE Réa lisati on S cé nario, ad a ptatio n et di alo gues .. , . . ....... ... , ... . Henry DECOIN (1958) Jacques REMY Dire cte ur de la ph ot ographi e ........ •..•........... . Pierre MONTAZEL Joseph KOSMA Mu siqu e . ..... .... ... .... ..... ... .... .. ... .... . . D éco rs .......... ....... . . ... .. .... ......... ... . Luci en AGUETTANT Produ cti o n ...............

• LES ESPIONS

  LES ESPIONS Réalisation Scénario ...... . D'après « Le vertige de minuit » de Directeur de la photographie Musique Production Durée H.-Georges CLOUZOT (1957) Henri-Georges CLOUZOT, Jérôme GEKONIMI Hegon HOSTOVSKI Christian MATRAS Georges AURIC Louis de MASURE, Filmsonor 135 minutes INTERPRÉTATION Docteur Malic .. Lucie ........ . Alex ................................. . Gérard SETY Véra CLOUZOT Curt JURGENS Peter USTINOV Sam JAfl•'E...

• MEGAVIXENS

• TAXI DRIVER

  TAXI DRIVER Réalisation ........................................ . Martin SCORSESE (1976) Paul SCHRADER Scénario .......................................... . Images ........................................... . Michael CHAPMAN (Panavision -Eastmancolor) Bernard HERRMANN Marcia LUCAS, Tom ROLF et Melvin SHAPIRO Musique .......................................... . Montage .......................................... . Effets spéciaux ..............................

• ELLE ET LUI

• LOULOU

• LES AMANTS

• UN TAXI MAUVE

• VERA CRUZ

• CINQ SOIRÉES

  Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mondial CINQ SOIRÉES Réalisation Scénario ....................................... . Nikita MIKHALKOV (1978) Alexandre ADABACHIAN Directeur de la photographie ....................... . P. LEBECHEV (N.B. & Couleurs) Yuri MIKHAILKOV Musique ....................................... . Production ..................................... . Mosfilm Distribution .................................... . Audiph...

• SUSPIRIA

• LES SACRIFIÉS

• A TOUTE ALLURE

  A TOUTE ALLURE Réa lisation et scénar io .................. .......... . Robert KRAMER (1982) Directeur de la photographie ........ ... ....... ..... . Richard CO PANS (Eastmancolor) Institut National de l' Audiovisuel 61 minut es Production .... .... ......... ....... .....•....... . Dur ée .... . ............... ....... .... .......... . INT ERPRÉTATION N ellie Ser ge Félix Manu . ........... ......•. ...•.. ....... ......• .. Laure DUTHILLEUL William C...

• L'ENNEMI PUBLIC

  L'ENNEMI PUBLIC Réalisation Scénario D"après une histoire de Directeur de la photographie Direction artistique Musique Production Distribution Durée Don SŒGEL (1957) Irving SHULMAN, Daniel MAINW ARING Irving SHULMAN HalMOHR Harold LE\\1S Van ALEXANDER Al ZIMBALIST, pour Fryman-ZS Artistes Associés 83 minutes INTERPRÉTATION " Babv Face » '.\lelson Suc Nelson Doc Saunders John Dillinger Jerry Rocca Mac Hamilton Fatso Mickev ROONEY Carolyn...

• LA JUMENT VERTE

  LA JUMENT VERTE Réalisation ..................................... . D'après le roman de ............................. . Adaptation et dialogues ........................... . Musique ....................................... . Directeur de la photographie ....................... . Production ..................................... . Durée INTERPRÉTATION Honoré Haudouin ............................... . Zèphe Malorct .................................. . Marguerite...

• MON ONCLE

• SUEURS FROIDES

• ÉTOILES

• CREEPSHOW

• SAIT-ON JAMAIS

• LA JUMENT VERTE

  LA JUMENT VERTE Réalisation ..................................... . Claude AUTANT-LARA (1959) Marcel AYMÉ D'après le roman de ............................. . Adaptation et dialogues ........................... . Jean AURE'.'llCHE et Pierre BOST René CLOEREC Musique ....................................... . Directeur de la photographie ....................... . Max DOUY (Eastmancolor) SNEG -Zebra Films -SOPAC - Raimbourg Stars Production .................

• KING KONG 1976

  Kll\lli KUNli ll97tiJ Réalisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . John GUILLERMIN (1976) Scénario . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Lorenzo SEMPLE Jr., inspiré du scénario de James CREEL­ MAN ·et Ruth ROSE , d'après une idée de Merian C. COO - Directeur de la photographie .......... .... .......... . Effets spéciaux ................... ................

• A DOUBLE TOUR