28 résultats pour "voudra"
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« Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans son conte Le Taureau Blanc.
Demande d'échange de corrigé de MOUSTAFA Hatim (hatim_moustafa@live.fr).\Sujet déposé : Sujet : « Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désirequ'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir auxyeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. »- Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans...
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ANALYSE DE « Comprenne Qui Voudra » PAR PAUL ELUARD
ANALYSE DE « Comprenne Qui Voudra » PAR PAUL ELUARDInt : Paul Eluard était un poète très important pendant le premier moitié du 20eme siecle. Sa poèsie pendant les deux guerres mondiales soulignait la valeur du peupleFrançais et l'importance de la liberté. De plus, il faisait une partie de mouvement surrealiste avec Salvador Dali, André Breton, et Louis Aragon. Il était aussi ami dePicasso, Max Ernst, et Man Ray. Sa poésie a beaucoup touché le monde, avec son honnêteté et sa clarté. Dvpt : Paul...
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POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE ? Après avoir étudié l'oeuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que
POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE? Après avoir étudié l'œuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût duplaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; maison n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelqueslignes l'impression que vous a laissé...
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« Je voudrais bien savoir si la grande règle de toute ces règles n'est pas le plaisir, et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but n'a pas suivi un bon chemin »
La phrase « Je voudrais bien savoir si la grande règle de toute ces règles n'est pas le plaisir, et si une pièce de théâtre qui a attrapéson but n'a pas suivi un bon chemin », est une réplique dite par Dorante, à la scène 6 dans la pièce de théâtre La critique de l'école desfemmes écrite par Molière (Jean-Baptiste Poquelin). Cette pièce fait plutôt partie du registre polémique et comique. La Critique del'école des femmes a été écrite en 1633 juste après L'école des femmes en 1632 et parle de d...
- Ce ne sera jamais le bon moment : avec Patrick, je voudrais le beurre et l'argent du beurre, comme elle-même me l'a dit, il y a quelque temps. Diane Sansoucy, Croque-Monsieur, Québec Amérique
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« Je voudrais bien savoir si la grande règle de toute ces règles n'est pas le plaisir, et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but n'a pas suivi un bon chemin »
La phrase « Je voudrais bien savoir si la grande règle de toute ces règles n'est pas le plaisir, et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but n'a pas suiviun bon chemin », est une réplique dite par Dorante, à la scène 6 dans la pièce de théâtre La critique de l'école des femmes écrite par Molière (Jean-Baptiste Poquelin). Cette pièce fait plutôt partie du registre polémique et comique. La Critique de l'école des femmes a été écrite en 1633 juste aprèsL'école des femmes en 1632 et parle de de...
- Ayant, par la grâce de Dieu, reins forts et jarrets souples, je me pourrais tenir longtemps où je voudrais, comme un chat. Charles De Coster, la Légende et les aventures héroïques, joyeuses et glorieuses d'Ulenspiegel et de Lamme Goedzak au pays de Flandres et ailleurs, ABU, la Bibliothèque universelle
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« Qu'on admire tant qu'on voudra la société humaine, il n'en sera pas moins vrai qu'elle porte naturellement les hommes à s'entre-haïr, à proportion que les intérêts se croisent, à se rendre mutuellement des services apparents et à se faire, en ejfet, tous les maux imaginables. »J.-J. Rousseau (note 9 du Discours sur l'inégalité). ®
1 / 2 JEAN-JACQUES ROUSSEAU 163 99. JEAN-JACQUES ROUSSEAU Qu'on sdmire tant qu'on voudra la Société humaine, i n'en sera pas moins vrai qu'elle porte naturellement les hommes d s'entre-haïr, à proportion que les intérêts se croisent, à se rendre mutuellement des services apparents et à se faire, en effet, tous les ,nau.r imaginables. J.-J. ROUSSEAU (note O du Discours Sur l'inégalité). Cg L'homme naît bon, la société le déprave. C'est la thèse que Rousseau souti...
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Commentez ces réflexions de Voltaire : « Je, veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. »
Commentez ces réflexions de Voltaire : « Je, veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il neressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtoutque, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe auvulgaire. » Introduction : La vie extraordinairement active et féconde de Voltaire révèle sa lutte perpétuelle contre les erreurs d'un siècle qui se veut « éclairé ». En France, en...
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Voltaire fait dire à l'un de ses personnages : je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'y ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelques vérités qui échappent au vulgaire. Qu'en pensez-vous? Vous fonderez votre réflexion sur Candide.
Voltaire fait dire à l'un de ses personnages : je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'y ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelques vérités qui échappent au vulgaire. Qu'en pensez- vous? Vous fonderez votre réflexion sur Candide. Plusieurs éléments disparates sont rassemblés dans cette citation : d'abord, le problème de la vraise...
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« qu'est-ce que l'acanthe grecque ? Un artichaut stylisé. Stylisé, c'est-à-dire humanisé : tel que l'homme l'eût fait s'il eût été Dieu. l'homme sait que le monde n'est pas à l'échelle humaine ; et il voudrait qu'il le lût. Et lorsqu'il le reconstruit, c'est à cette échelle qu'il le reconstruit... Dans ce qu'il a d'essentiel, notre art est une humanisation du monde. » c'est ainsi qu'André Malraux, dans Les Noyers de l'Altenburg, lait parler, au colloque international de l'Altenburg, le
S~j ets traités 114 « Qu'es t-tc que l'acant he gn:cque '? 11 artichaut stylisé . Stylisé, c'est-à-dire humani sé : t el CJUC l' homme l'e îll htit s'il etît été D ieu. L'homm e sait que le mond e n'es t pas à l'éc helle humain e ; et il Yondrait qu ' il le fîu. Et lor squ ' il le n:co nstruit. c'es t à celle échell e qu'il le reconMruit... Dan s ce qu'il a d' essen tiel. notre art est une hum a nisation du mond e. >> C'est aitL~i qu'Amlr é...
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Jean-Paul Sartre écrit: «J'enrage de n'être pas poète, d'être si lourdement rivé à la prose. Je voudrais pouvoir créer de ces objets étincelants et absurdes, les poèmes, pareils à un navire dans une bouteille et qui sont comme l'éternité d'un instant» (Carnets de la drôle de guerre). En appuyant votre réflexion sur des exemples précis, vous vous interrogerez sur la signification et la portée de cette définition de la poésie.
242 Français, préparation au bac 86 bibliographie • A. Artaud: Le Théâtre et son double, Gallimard/«ldées», 1976. • .Cl. Roy : Jean Vilar, Seghers/« Théâtre de tous les temps >>, 1968; • J.-M. Domenach: Le Retour du tragique, Seuil, 1967. • R. Esc1,1rpit: L'Humour, P.U.F., 1960. • · Traiter à l'àide d'Épreuve 35, le devoir suivant: 36 . Paris -Créteil--'-- Versailles Dans son ouvrage, Le Retour du tragique (196�IKjé /n és Domenach définit ainsi notre int...
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Dans le Taureau blanc, Voltaire fait dire à la princesse Armaside : les contes qu'on pouvait faire à la quadrisaïeule de la quadrisaïeule de ma grand-mère ne sont plus bon pour moi [...] Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désir qu'il n'y ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelques vérités fines qui échappent au vulgaire. Vous mon
Voltaire fait dire à l'un de ses personnages : je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance et qu'il ne ressemble pastoujours à un rêve. Je désire qu'il n'y ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que sous le voile de la fable, illaissât entrevoir aux yeux exercés quelques vérités qui échappent au vulgaire. Qu'en pensez-vous? Vous fonderez votreréflexion sur Candide.Plusieurs éléments disparates sont rassemblés dans cette citation : d'abord, le problème de la vrai...
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la famille
La famille ,autour d'un bon thé discute . Dorra , sa sœur Azza , leurs maris et enfants se sont reunnis. C’etait le debut de l’été ; il faisait chaud et s’était le temps des voyages. *scene 1: autour de la table: On's : en faite ; où va-t-on passer l’été ? Azza : je n'ai pas encore réfléchis... et si on partait en voyage ! Shady : Moscou fera l’affaire Zeineb : à Londres, il y a beaucoup de divertissements. Azza : je voudrais bien voir les temples en chine. wiem :je voudrait découvrir l’Alle...
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Les conditions de la vie moderne ne sont-ils que des obstacles pour ceux qui voudraient se cultiver ?
Introduction • Il n'est pas facile de définir les termes « culture », « se cultiver ».• Beaucoup de sophismes sont souvent prononcés à ce propos.• Faut-il suivre F. ROBERT lorsqu'il affirme : « La culture est ce qu'il faut posséder avant de savoir » ?• ou se laisser séduire par la boutade d'E. HERRIOT : « La culture générale, c'est ce qui reste quand on a tout oublié » (plus réduite, d'ailleurs) ?• Deux formules qui sous-entendent que la culture est faite des strates additionnées des expériences...
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BALZAC - Eugénie Grandet
— Mademoiselle, monsieur votre père ne voudrait ni partager, ni vendre ses biens, ni payer des droits énormes pourl'argent comptant qu'il peut posséder. Donc, pour cela, il faudrait se dispenser de faire F inventaire de toute lafortune qui aujourd'hui se trouve indivise entre vous et monsieur votre père... — Cruchot, êtes-vous bien sûr de cela, pour en parler ainsi devant un enfant ? — Laissez-moi dire, Grandet. — Oui, oui, mon ami. Ni vous ni ma fille ne voulez me dépouiller. N'est-ce pas, f...
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Partagez-vous le point de vue de l'auteur qui semble ne voir dans les conditions de la vie moderne que des obstacles pour ceux qui voudraient se cultiver ?
1. Effectivement la vie moderne use et détourne facilement l'individu d'un désir de culture. On reprendra ici les arguments de l'auteur (mauvaise qualité de vie, manque de temps, de disponibilité,d'énergie, abêtissement par la télévision). Bref la culture peut sembler être en priorité le privilège d'un petit nombre. Mais en fut-il jadis autrement ? Plus onremonte dans le temps plus le cercle des privilégiés rétrécit. Au Moyen Age la culture n'est accessible qu'à un petitnombre d'hommes...
- Dans un article de journal, adressé à une revue poétique, un écrivain explique pourquoi et comment un poète peut réaliser l'objectif que s'est fixé Boris Vian : À tous les enfants / Qui sont partis le sac au dos / Par un brumeux matin d'avril / Je voudrais faire un monument »
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Passions et société - VOLTAIRE, Traité de métaphysique (rédigé en 1734): « Ceux qui veulent... ôter [à l'homme] ses passions parce qu'elles sont dangereuses ressemblent à celui qui voudrait ôter à un homme tout son sang parce qu'il peut tomber en apoplexie.»
116 ·12 Français, préparation au bac 86 RÉSUMÉ QUESTIONS DE VOCABULAIRE DISCUSSION PLAN DÉTAILLÉ DE DlSCUSSION · Poitiers-Besançon Terminale (septembre 84) Passions et société L'h�mme n;est pas comme les autres animaux qui n'ont que l'instinct cie l'amour-propre et celui de l'accouplement; non seulement il a cet ainoùr-propre nécessaire pour sa consenation, mais il a aussi pour son espèce une . bienveillance naturelle· qui ne se remarque pas dans les bêtes....
- En quoi l'oeuvre Candide ou l'optimisme de Voltaire correspond-elle à cette volonté de l'auteur : Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve [...] Je voudrais surtout que sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire.
- Jean-Paul Sartre écrit : «J'enrage de n'être pas poète, d'être si lourdement rivé à la prose. Je voudrais pouvoir créer de ces objets étincelants et absurdes, les poèmes, pareils à un navire dans une bouteille et qui sont comme l'éternité d'un instant.» (Carnets de la drôle de guerre)
- Jacques Julliard écrit dans le Nouvel Observateur, en juin 1988: A qui, débarqué d'une autre planète, voudrait gouter en une seule soirée à toutes nos névroses d'aujourd'hui, on ne saurait conseiller plus rapide initiation qu'un match de football. Il y trouverait réunies la plupart des maladies sociales dont nous souffrons: la violence, la triche, le fric et l'ennui. Qu'en pensez-vous ?
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Dans un conte de Voltaire, « Le Taureau blanc » un personnage s'exprime ainsi : « Les contes que l'on pouvait faire à la quadrisaïeul de ma grand-mère ne sont plus bons pour moi... qui ai lu « L'Entendement humain » du philosophe égyptien nommé Locke et la « Matrone d'Ephèse ». Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il l
Dans un conte de Voltaire, « Le Taureau blanc » un personnage s'exprime ainsi : « Les contes que l'on pouvait faire à la quadrisaïeul dema grand -mère ne sont plus bons pourmoi... qui ai lu « L'Entendement humain » du philosophe égyptien nommé Locke et la « Matrone d'Ephèse ». Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voud rais surtout que, sous le voile de la fable, il lai...
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Une histoire intéressante suffit-elle à faire un bon roman ?
Les théories sur le roman sont récentes dans l'histoire littéraire : le roman souffre depuis l'antiquité d'une mauvaise réputation, legenre bas, opposé à la poésie, le genre noble. En effet, qu'il s'agisse d'un poème ou d'une pièce de théâtre, les théories et lesclassifications ont évolué selon les siècles et les mouvements qui ont traversé l'histoire littéraire. Pour autant, doit-on considérer queseule l'histoire, la trame narrative suffit-elle à faire un bon roman ?Dans un premier temps, n...
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Julien GRACQ, Un beau ténébreux
Un pâle soleil, un-sole11 irréel s'est l evé sur les crêtes cles va gues. Le g rand cor ps de t rist esse de l a Bret agne so rt des brumes, a vec ses ar ticulations dures,. noueuses, lavées. Quelle côt e s olitaire! Sommés-nous d onc p arvenus s i loin dé jà? :L e .c ri empo rtant d es mouettes, si d épaysant, tombe du l ).aut de leur r oyaume sauv age, a grandi t l 'étendue de s es prolongements ra uques. Sur q uelles perspectives p euvent s 'ouvrir ce...
- moliere
- 1861 SUJETS-TEXTES DE L’ÉPREUVE DE PHILOSOPHIE AU BACCALAURÉAT
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Pierre et Jean
Àpartirdela2à Maupassant : Pierre et Jean Présentation, commentaires et notesde Marie-Claire Ropars-Wuillemier «Classiques de Poche »,n°2402,220 pages (bio-bibliographie, illustrations et photographies) *LÊ&i&è?>> Introduction L'édition comporte, outre lacélèbre Préface de Maupassant (voir les notes qui nous éclairent sur les conditions d'écriture du texte), des Commentaires et une bio-bibliographie. On trouvera également un cahier d'illustrations (photographies des documents de l'époque ain...