17 résultats pour "turkménistan"
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Turkménistan.
Turkménistan. 1 PRÉSENTATION Turkménistan , en turkmène Türkmenistan , pays d’Asie centrale. Sa capitale est Achgabat. Le Turkménistan est bordé au nord-ouest par le Kazakhstan, au nord par l’Ouzbékistan, à l’est et au sud-est par l’Afghanistan, au sud par l’Iran et à l’ouest par la merCaspienne. Ancienne république socialiste soviétique du Turkménistan appartenant à l’URSS, le Turkménistan est indépendant depuis 1991. 2 LE PAYS ET SES RESSOURCES Le Turkménistan couvre une superficie de 488...
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Turkménistan (1993-1994)
Turkménistan (1993-1994) L'autorité incontestée du président Separmourad Nyazov (dont le titre officiel est Turkmanbashi, "dirigeant des Turkmènes", et qui, au pouvoir depuis 1992, s'est fait réélire, en janvier 1994, pour huit ans, recueillant 99% des suffrages) a paru reposer à la fois sur une authentique popularité, sur des loyautés ethniques et tribales et sur une relative prospérité économique (comparativement aux autres républiques d'Asie centrale). Malgré une forte présence militaire russ...
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Turkménistan (1994-1995)
Turkménistan (1994-1995) Sur le plan intérieur, le Turkménistan s'est orienté en douceur vers un régime de président à vie. Separmourad Nyazov, désormais désigné sous le titre de Turkmanbashi ("dirigeant des Turkmènes"), a fait proroger, début 1995, son mandat présidentiel par référendum jusqu'à l'an 2000. Aucune opposition ne s'est ouvertement manifestée dans le pays, tandis que deux opposants notoires, H. Soyounov et M. Esenov, étaient arrêtés à Moscou par le FSK (service russe de contre-espio...
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Turkménistan (1997-1998)
Turkménistan (1997-1998) Ce pays reste le plus autoritaire et le plus fermé de l'Asie centrale. Le président Saparmourad Nyazov, faisant l'objet d'un culte de la personnalité sous le nom de " Turkmenbashi ", a continué de réduire les espaces potentiels d'autonomie : en décembre 1997, l'Académie des sciences a été fermée. Doudimourad Hajimohammed, chef du Parti démocratique du développement, a été placé en hôpital psychiatrique, à l'automne 1997. Parallèlement, les constructions pharaoniques se s...
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Turkménistan (1992-1993)
Turkménistan (1992-1993) La république du Turkménistan a maintenu en 1992-1993 les grandes orientations qu'elle s'était données lors de son accession à l'indépendance (1991): stabilité politique, valorisation des atouts économiques par une série de réformes au profit d'une population peu nombreuse, ouvertures réalistes vers de nouveaux partenaires tout en soignant ses relations "privilégiées" avec l'ancien "Centre". Craignant avant tout la contamination fondamentaliste islamique (apparemment peu...
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Turkménistan (1999-2000)
Le feuilleton du gaz
Turkménistan (1999-2000) Le feuilleton du gaz La scène politique est passée entièrement sous le contrôle du président Separmourad Nyazov, qui a obtenu du Parlement la présidence à vie (vote à l'unanimité), en décembre 1999. Le 12, des élections législatives, non reconnues par l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe), ont mis en lice 104 candidats pour 50 postes, presque tous membres de la formation du président, le Parti démocratique du Turkménistan. En février 2000, de...
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Turkménistan (2001-2002)
Purges dans l'appareil d'État
Turkménistan (2001-2002) Purges dans l'appareil d'État Le Turkménistan est un des rares pays d'Asie centrale à ne pas avoir tiré bénéfice des conséquences des attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, confirmant son isolement croissant. Achkhabad entretenait de bonnes relations avec le régime des taliban, dans la perspective de l'exportation de son gaz naturel vers le sud grâce à un accord avec Kaboul. Pris à contre-pied par l'offensive américaine de l'hiver 2001-2002, le Turkménistan n'a m...
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Turkménistan (1998-1999)
En quête de désenclavement
Turkménistan (1998-1999) En quête de désenclavement Le Turkménistan poursuit sa recherche désespérée d'un désenclavement qui lui permettrait d'exporter son gaz et de sortir de la crise économique qui le frappe: la récolte de coton de 1998 a été très mauvaise et, malgré l'annonce officielle d'une bonne campagne pour le blé, le prix de la farine subventionnée par l'État a quadruplé fin 1998. L'abandon par la compagnie américaine Unocal du projet de gazoduc à travers l'Afghanistan, annoncé fin août...
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Turkménistan (2002-2003)
Tentative de coup d'État
Turkménistan (2002-2003) Tentative de coup d'État En novembre 2002, le Turkménistan a failli perdre son chef, le président Separmourad Nyazov alias «Turkmenbashi» («La tête des Turkmènes») ayant été la cible d'un attentat. Cet acte a représenté le premier signe d'instabilité dans cet État où la poigne dictatoriale du président n'avait jusqu'alors connu aucune faiblesse. À l'été 2003, les auteurs de l'attentat n'avaient toujours pas été identifiés, malgré les arrestations et les emprisonnements m...
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Turkménistan (2005-2006)
Grandeurs et décadences
Turkménistan (2005-2006) Grandeurs et décadences Au pays du Turkmenbachi (le « père des Turkmènes »), les années se suivent et se ressemblent. L’année 2005-2006 n’a pas dérogé à la règle : l’inamovible président Saparmourad Niazov s’est attaché à écarter ceux qui constituaient une menace pour son pouvoir. Les purges récurrentes et l’absence de réforme ont renforcé le sentiment de frustration parmi la population. Le culte de la personnalité et l’autoritarisme du président Niazov n’ont pas connu d...
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Turkménistan (2004-2005)
La dérive du système Nyazov
Turkménistan (2004-2005) La dérive du système Nyazov À la tête d’un régime dictatorial, Separmourad Nyazov a été élu en 1992 et réélu président à vie en 1999. Mais, en avril 2005, il a annoncé qu’il remettrait son mandat en jeu pour 2009, date prévue de l’élection présidentielle. Les élections législatives du 19 décembre 2004 ont été remportées par des candidats issus de son clan politique, le Parti démocratique du Turkménistan. Aucun autre parti n’est autorisé et, après la pseudo-tentative d’as...
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Turkménistan (2000-2001)
Un régime de plus en plus fermé
Turkménistan (2000-2001) Un régime de plus en plus fermé Dirigé depuis son indépendance (1991) par Separmourad Nyazov (appelé "Turkmenbachi" ou le "père des Turkmènes"), le pays a vu se renforcer année après année l'autocratie du régime et son isolement. Le ministre des Affaires étrangères, Boris Sheykhmouradov, seule personnalité bien connue en dehors du pays, a dû démissionner en juillet 2000, car, selon le président, il ne maîtrisait pas la langue turkmène (sa mère est arménienne) ; il a été...
- Turkménistan (1991-1992)
- LE TURKMÉNISTAN AU XXe SIÈCLE
- Turkménistan (1996-1997)
- Turkménistan (1995-1996)