222 résultats pour "académiques"

• Académie des beaux-artsClasse de l'Institut, puis Académie des beaux-arts depuis 1816, elle est issue de la réunion post-révolutionnaire des Académies royales de peinture et de sculpture (Mazarin, 1664) et d'architecture (Colbert, 1671).

  Académie des beaux-arts Classe de l’Institut, puis Académie des beaux-arts depuis 1816, elle est issue de la réunion post-révolutionnaire des Académies royales de peinture et de sculpture (Mazarin, 1664) et d’architecture (Colbert, 1671). Elle accueille en son sein des peintres, sculpteurs, musiciens, cinéastes et critiques d’art. Jusqu’en 1968, l’Académie des beaux-arts contrôlait la Villa Médicis, siège de l’Académie de France à Rome, où les jeunes artistes pouvaient venir étudier les chefs-d’...

• AcadÈmismeNi mouvement artistique, ni style historique, l'acadÈmisme est une attitude : la soumission de l'artiste aux principes enseignÈs dans les acadÈmies officielles de peinture et les Ècoles de Beaux-Arts.

  Académisme Ni mouvement artistique, ni style historique, l’académisme est une attitude : la soumission de l’artiste aux principes enseignés dans les académies officielles de peinture et les écoles de Beaux-Arts. Le programme d’études des académies de peinture avait été conçu par les ateliers à la fin de la Renaissance pour former de bons apprentis capables de seconder les maîtres, puis de les remplacer. Le principe de ce programme était la séparation entre dessin et peinture : on définissait d’a...

• Académie

• ACADÉMIE

  ACAD�#!  Lorsque le mot acad�mie apparalt pour la première fois en fran­ çais au début du xv1• s. (chez Julien Fossetier et chez Lazare de Balf). la France connaît depuis longtemps l'exis­ tence de cercles d'écrivains : cours d'amour du pays de langue d'oc, COIISÏS­ toire du Gai Savoir fondé à Toulouse dès 1323, puys de la France du Nord ou chambres de rhétorique de Bourgogne. Le Moyen Age a vu se développer, du xn• au xv• s., des réunions de poète...

• Académique

• André-Jean Lebrun1737-1811Parisien, élève de Pigalle, Grand prix de sculpture de l'Académie de Paris en 1756, iltravaille à l'Académie de France à Rome, sculpte une Judith pour Saint-Charles du Corso,puis le Buste de Clément XIII (1768).

  André-Jean Lebrun 1737-1811 Parisien, élève de Pigalle, Grand prix de sculpture de l'Académie de Paris en 1756, il travaille à l'Académie de France à Rome, sculpte une Judith pour Saint-Charles du Corso, puis le Buste de Clément XIII (1768). Enfin, recommandé par Madame Geoffrin, il est appelé par le roi de Pologne Stanislas Auguste à Varsovie, fait à Saint-Pétersbourg le Buste de l'impératrice Maria Feodorowna , puis se fixe à Wilna comme professeur de sculpture de l'Université (1804).

• Académie

• Louis de Broglie par Maurice de Brogliede l'Académie des Sciences et de l'Académie française.

  Louis de Broglie

• Augustin Fresnel par Louis de Brogliede l'Académie française et de l'Académie des Sciences.

  Augustin Fresnel

• Albert Einstein par Louis de Brogliede l'Académie française et de l'Académie des Sciences.

  Albert Einstein

• Jules Verne par Louis Leprince-Ringuetde l'Académie française et de l'Académie des Sciences " Ah !

  Jules Verne

• Ambroise Paré par Henri Mondorde l'Académie française et de l'Académie de médecine, Paris Jamais élan moins retardé, vocation plus certaine !

  Ambroise Paré

• Luis de Camoens par Joao de Barrosde l'Académie des Sciences de Lisbonne, et de l'Académie Brésilienne Camoens est né en 1524 à l'époque la plus glorieuse et la plus brillante detoute l'histoire du Portugal.

  Luis de Camoens

• Victor Vasarely Né en Hongrie, Vasarely commença par étudier la médecine, puis il entra àl'Académie Poldini-Volkmann, avant d'être formé à l'esthétique duBauhaus à l'Académie Mühely de Budapest.

  Victor Vasarely

• Académisme

• Guillaume Dupuytren par Henri Mondorde l'Académie française et de l'Académie de médecine, Paris Deux anecdotes, peut-être légendaires, l'ont montré, à trois et treize ans,fascinant des inconnus, prêt à l'aventure, peu embarrassé d'attachements.

  Guillaume Dupuytren

• Louis Pasteur par Pasteur Vallery-Radotde l'Académie française et de l'Académie de médecine, Paris Parmi les vies des savants, il n'en est pas de plus merveilleuse que celle dePasteur, il n'en est pas dont l'oeuvre ait été plus féconde.

  Louis Pasteur

• Académique

• académie n.

• Camille Saint-Saëns par Henri ColletDe l'Académie des Beaux-Arts et de l'Académie d'Histoire de Madrid Camille Saint-Saëns né à Paris en 1835, était Normand d'origine, d'unefamille de cultivateurs, fixée à une lieue et quart de Dieppe.

  Camille Saint-Saëns

• Ernest Rutherford par Maurice de Brogliede l'Académie des Sciences et de l'Académie française - Professeur au Collège de France Il est souvent surprenant de constater combien peuvent être différentes lesattitudes de l'esprit humain vis-à-vis des problèmes qu'il cherche àrésoudre.

  Ernest Rutherford

• La création de l'Académie française (1635)

  La création de l'Académie française (1635) La littérature nationalisée. Le 2 janvier 1635, des lettres patentes annoncèrent «la création d'un corps chargé derendre le langage français non seulement élégant, mais capable de traiter tous les arts et toutes les sciences».Vaste et noble programme! Les hommes chargés de former ce nouveau corps exerçaient depuis longtemps leur senscritique dans un même effort linguistique et littéraire. Depuis 1629, quelques amateurs de belles-lettres, parmilesq...

• Abbé d'Aubignac1604-1676Dans sa Pratique du theâtre (1657), il entend codifier les règles de l'art dramatique, telles queles avait adoptées l'Académie et en vertu desquelles on devait applaudir Mairet et " siffler "Corneille.

  Abbé d'Aubignac 1604-1676 Dans sa Pratique du theâtre (1657), il entend codifier les règles de l'art dramatique, telles que les avait adoptées l'Académie et en vertu desquelles on devait applaudir Mairet et “ siffler ” Corneille. Peu importent la poésie, la passion et le bon sens. Qu'a dit Aristote ? Tout est là. Aussi la Pratique du théâtre n'est-elle plus qu'un document important de l'histoire littéraire. C'est à quoi ne peuvent même plus prétendre les autres ouvrages de d'Aubignac, non pas m...

• La création de l'Académie françaiseLa littérature nationalisée.

  1 / 2 La création de l'Académie française La littérature nationalisée Le 2 janvier 1635, des lettres patentes annoncèrent «la création d'un corps chargé de rendre le langage français non seulement élégant, mais capable de trai­ ter tous les arts et toutes les sciences)). Vaste et noble programme! Les hom­ mes chargés de former ce nouveau corps exerçaient depuis longtemps leur sens critique dans un même effort lin­ guistique et littéraire. Depuis 1629,...

• « Académie Médrano » - Blaise Cendrars

  « Académie Médrano » - Blaise Cendrars Ecrit en 1916, dédicacé à Conrad Moricand  personnage astrologue (« un diable au paradis »). Tiré du recueil Sonnet dénaturée  modifié, déstructuré , qui est publié en 1923.  Les deux mots sont antithétiques. Académie Française (1634)  officialisé par Richelieu (1635)  Dictionnaire  Normaliser et perfectionner la langue française Explication de texte linaire : Vers 1 : « Danse avec ta langue, Poète ,...

• Antoine Furetière1619-1688De l'Académie en 1662.

  Antoine Furetière 1619-1688 De l'Académie en 1662. Très érudit, très spirituel, sa causticité lui aliéna plusieurs confrères et l'Académie lui fit une mauvaise querelle, l'accusant de s'être emparé des travaux préparatoires du Dictionnaire pour mener plus vite le sien à bon terme. Pour répondre aux insultes et aux accusations les plus infamantes, Furetière composa des Factums mordants. Son Dictionnaire universel , qui contenait “ les termes des sciences et des arts ”, parut en 1690, après sa...

• Jean IngresUn gardien de la tradition académique.

  1 / 2 Jean Ingres Un gardien de la tradition académique 1780-1867 Jean-Auguste-Dominique Ingres est ori­ ginaire de Montauban. Ses dons pour le dessin et la musique se révèlent très tôt, et son père, un sculpteur ornemaniste, encourage l'éclosion de sa vocation. A Il ans, on l'emmène à Toulouse où il entre dans l'atelier du peintre Roques dont il partage l'admiration pour Raphaël. En 1797, Ingres vient à Paris où David l'accueille dans son ate...

• Le théâtre est-il un genre « conventionnel » et académique ?

  Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à une double réflexion : d’une part il implique que l’on définisse en quoi le théâtre est un genre « conventionnel » et d’autre part, il appelle à expliquer la soumission du spectateur à ces conventions et à leurs conséquences ( parfois le spectateur assiste à des scènes qu’il condamnerait dans la vie réelle). Le terme « conventionnel » est ici ambigu : il présente le théâtre comme un genre littéraire fondé sur des conventions mais cet adje...

• CHARDIN, Jean-Baptiste Siméon(2 novembre 1699-6 décembre 1779)PeintreDeux de ses tableaux, La Raie et Le Dressoir, valent à Chardin d'êtreadmis à l'Académie royale de peinture et de sculpture, le 25 septembre1728, en tant que " peintre dans le talent des animaux et des fruits ".

  CHARDIN, Jean-Baptiste Siméon (2 novembre 1699-6 décembre 1779) Peintre Deux de ses tableaux, La Raie et Le Dressoir , valent à Chardin d’être admis à l’Académie royale de peinture et de sculpture, le 25 septembre 1728, en tant que “ peintre dans le talent des animaux et des fruits ” . Dès l’année suivante, il renonce à la maîtrise de l’Académie de Saint-Luc. Très vite, alors que le genre pour lequel il a été admis à l’Académie est depuis longtemps maîtrisé, Chardin attire l’attention des amat...

• CHARDIN, Jean-Baptiste Siméon (2 novembre 1699-6 décembre 1779) Peintre Deux de ses tableaux, La Raie et Le Dressoir, valent à Chardin d'être admis à l'Académie royale de peinture et de sculpture, le 25 septembre 1728, en tant que " peintre dans le talent des animaux et des fruits ".

  CHARDIN, Jean-Baptiste Siméon (2 novembre 1699-6 décembre 1779) Peintre Deux de ses tableaux, La Raie et Le Dressoir , valent à Chardin d’être admis à l’Académie royale de peinture et de sculpture, le 25 septembre 1728, en tant que “ peintre dans le talent des animaux et des fruits ” . Dès l’année suivante, il renonce à la maîtrise de l’Académie de Saint-Luc. Très vite, alors que le genre pour lequel il a été admis à l’Académie est depuis longtemps maîtrisé, Chardin attire l’attention des amat...

• Académie de GrenobleDOCUMENT D'ACCOMPAGNEMENT POUR L'ENSEIGNEMENT DES ACTIVITESPHYSIQUES ARTISTIQUES EN

  Document d’accompagnement et Répertoire - Groupe Ressource APA en EPS - Académie de Grenoble 07/1999 - 1 - Académie de Grenoble DOCUMENT D’ACCOMPAGNEMENT POUR L’ENSEIGNEMENT DES ACTIVITES PHYSIQUES ARTISTIQUES EN EPS CONCEPTION DES ACTIVITES PHYSIQUES ARTISTIQUES@ Analyse simplifiée des APA pour des professeurs EPS ayant peu de pratique d’enseignement de cette activité (formation continue ; étape 1).........................................2 DANSE ET CIRQUE : UN REPERTOIRE DE...

• Sergueï Semionovitch, comte Ouvarov1786-1855Ministre de l'Instruction publique (1833-1849) et président de l'Académie des Sciences, ilavait début é aux Affaires étrangères (1801-1810).

  Sergueï Semionovitch, comte Ouvarov 1786-1855 Ministre de l'Instruction publique (1833-1849) et président de l'Académie des Sciences, il avait début é aux Affaires étrangères (1801-1810). Dans les postes qu'il avait occupés à l'étranger, il se lia avec des écrivains tels que G œ the et Mme de Staël. A la tête du ministère de l'Instruction publique et de l'Académie des Sciences, il réalisa une œ uvre importante : création de l'observatoire de Poulkovo réforme de l'Académie, fondation de l'Unive...

• Dans cet extrait du Discours à l'Académie française, Bossuet fait l'éloge du roi Louis XIV.

  Dans cet extrait du Discours à l'Académie française, Bossuet fait l'éloge du roi Louis XIV. Quelles valeurs met-il en avant? Un roi a été donné à nos jours, que vous nous pouvez figurer en cent emplois glorieux, et sous cent titres augustes ; grand dans la paix et dans la guerre ; au dedans et au dehors ; dans leparticulier et dans le public, on l'admire, on le craint, on l'aime. De loin il étonne, de près il attache ; industrieux par sa bonté à faire trouver mille secrets agréments dans un s...

• Maurice Denis1870-1943Né à Granville, mort à Paris, à la fois peintre, graveur, écrivain ; formé à l'Académie julianpuis à l'École des Beaux-Arts ; un des plus importants parmi les Nabis.

  Maurice Denis 1870-1943 Né à Granville, mort à Paris, à la fois peintre, graveur, écrivain ; formé à l’Académie julian puis à l'École des Beaux-Arts ; un des plus importants parmi les Nabis. Il voyagea en Allemagne, et en Italie, séjourna à Aix. Il fonda, en 1919, les ateliers d'Art Sacré avec Desvallières, fut membre de l'Académie des Beaux-Arts en 1932. Son œ uvre importante est la décoration du Théâtre des Champs-Élysées. Au Musée National d'Art Moderne à Paris : les Muses, Hommage à Cézanne...

• DENIS, Maurice (1870-1943)Né à Granville, mort à Paris, à la fois peintre, graveur, écrivain ; formé à l'Académie Julian puis à l'Ecole des Beaux-Arts ; un des plus importants parmi les Nabis.

  DENIS, Maurice (1870-1943) Né à Granville, mort à Paris, à la fois peintre, graveur, écrivain ; formé à l’Académie Julian puis à l’Ecole des Beaux-Arts ; un des plus importants parmi les Nabis. Il voyage en Allemagne, et en Italie, séjourne à Aix. Il fonde, en 1919, les ateliers d’Art Sacré avec Desvallières, est membre de l’Académie des Beaux-Arts en 1932. Son œuvre importante est la décoration du Théâtre des Champs-Elysées. Au Musée National d’Art Moderne à Paris : les Muses, Hommage à Cézann...

• Juan de Villanueva1739-1811Fils de sculpteur, frère cadet d'un architecte distingué, Diego de Villanueva, championintransigeant du purisme à l'Académie contre Ventura Rodriguez, il est le plus spontanémentclassique des architectes de son temps.

  Juan de Villanueva 1739-1811 Fils de sculpteur, frère cadet d'un architecte distingué, Diego de Villanueva, champion intransigeant du purisme à l'Académie contre Ventura Rodriguez, il est le plus spontanément classique des architectes de son temps. Pensionné à Rome, il y passe sept années (1758-1765), puis, alors qu'il s'est ennuyé en Andalousie où il a été chargé de dessiner les monuments arabes, il s'éprend de Escorial. Il réside constamment de 1768 à 1771, étudiant 1' œ uvre de Herrera, dont...

• BauhausSur la lancée des idées utopiques issues de la fin de la Première Guerremondiale, l'architecte Walter Gropius fonde, en 1919, le Bauhaus né del'École des arts appliqués et de l'Académie artistique de Weimar.

  Bauhaus Sur la lancée des idées utopiques issues de la fin de la Première Guerre mondiale, l'architecte Walter Gropius fonde, en 1919, le Bauhaus né de l'École des arts appliqués et de l'Académie artistique de Weimar. Son premier manifeste contient un appel lyrique à l'unité de tous les arts sous l'égide de l'architecture. Son ambition est de créer un nouvel art de bâtir pour l'avènement d'une société en mutation. Condamnant “ l'art pour l'art ”, le Bauhaus cherche d'avantage à réinsérer l'art d...

• Robert-Marie Courrierné en 1895Endocrinologiste ; membre de l'Académie des sciences.

  Robert-Marie Courrier né en 1895 Endocrinologiste ; membre de l'Académie des sciences.

• Claude Favre de Vaugelas1585-1650De l'Académie dès sa fondation.

  Claude Favre de Vaugelas 1585-1650 De l'Académie dès sa fondation. Il passait pour le plus sûr connaisseur des règles de la langue française et son autorité n'a guère été discutée pendant tout le siècle. Molière se moque un peu, pas trop, du souci de “ parler Vaugelas ”. Les Remarques sur la langue française (1647) préconisent le respect de l'usage en matière de langage, mais de l'usage de la cour, non de l'usage populaire. Voulant donner un modèle de l'application de ses préceptes, il traduis...

• César Cui1835-1918Il enseigna à l'Académie des ingénieurs de Saint-Pétersbourg l'art

  César Cui 1835-1918 Il enseigna à l'Académie des ingénieurs de Saint-Pétersbourg l'art des fortifications, art qui lui doit plusieurs ouvrages théoriques ; en musique, il avait été dès ses jeunes années l'élève de Moniuszko et de Balakirev ; il fut le porte-parole du groupe des Cinq ; Cui écrivit plusieurs opéras ( Le Prisonnier du Caucase , 1857, Le Fils du Mandarin 1859, William Radeliff , 1868, Le Flibustier , 1889, sur un poème de Richepin), deux cents lieder et de la musique de salon.

• BROSSETTE, Claude (1671-1743)Editeur, homme érudit, il fonde en 1724 l'Académie de Lyon.

  BROSSETTE, Claude (1671-1743) Editeur, homme érudit, il fonde en 1724 l’Académie de Lyon. Il est l’éditeur et le correspondant de Boileau.

• DESMARETS de Saint-Sorlin, Jean (1595-1676)Ecrivain de l'Académie française, protégé de Richelieu.

  DESMARETS de Saint-Sorlin, Jean (1595-1676) Ecrivain de l’Académie française, protégé de Richelieu. Il est l’auteur de la comédie des Visionnaires , et l’adversaire acharné des jansénistes.

• BONALD, Louis, vicomte de (1754-1840)Ecrivain politique de l'Académie française, il est le défenseur des principes monarchiques et catholiques.

  BONALD, Louis, vicomte de (1754-1840) Ecrivain politique de l’Académie française, il est le défenseur des principes monarchiques et catholiques.

• DACIER, André (1651-1722)Philologue, secrétaire perpétuel de l'Académie française, il traduit Horace, Aristote et Platon.

  DACIER, André (1651-1722) Philologue, secrétaire perpétuel de l’Académie française, il traduit Horace, Aristote et Platon.

• Arnold Böcklin1827-1901Né à Bâle, formé à l'Académie de Düsseldorf et à Paris chez Corot et Delacroix.

  Arnold Böcklin 1827-1901 Né à Bâle, formé à l'Académie de Düsseldorf et à Paris chez Corot et Delacroix. Il voyagea à Rome, Munich, Zurich et Bâle où sont conservées la plupart de ses œ uvres, empreintes de sentimentalité et de littérature. A Berlin : La Contrée des Bienheureux ; à Bâle : Vita somnium breve.

• Jean Brusselmans1884-1953Né à Bruxelles, formé à l'Académie et par l'étude des oeuvres de Courbet et Van Gogh.

  Jean Brusselmans 1884-1953 Né à Bruxelles, formé à l'Académie et par l'étude des œ uvres de Courbet et Van Gogh. D'abord influencé par l'Impressionnisme, son art évolua, après la guerre, vers une vision simplifiée et très personnelle. Œ uvres dans des collections privées (Courtrai, Gand, Liège).

• GUILLAUMIN, Jean Baptiste Armand (1841-1927)Peintre, il fait la connaissance de Cézanne et de Pissarro à l'Académie Suisse.

  GUILLAUMIN, Jean Baptiste Armand (1841-1927) Peintre, il fait la connaissance de Cézanne et de Pissarro à l'Académie Suisse. Il peint des paysages en extérieur et trouve également sa source d'inspiration dans les aqueducs, les banlieues.

• Dimitri Alexeïevitch, comte Milioutine1816-1912Ce général fut, de 1845 à 1856, professeur à l'Académie militaire.

  Dimitri Alexeïevitch, comte Milioutine 1816-1912 Ce général fut, de 1845 à 1856, professeur à l'Académie militaire. En 1856, et pendant trois ans, il est chef d'état-major de l'armée du Caucase et combat Chamil. Il prit sa retraite en 1881. Après la défaite russe en Crimée (1856), l'armée avait besoin d'être réformée et c'est à cette tache que Milioutine s'est attelé : il abrège la durée du service militaire, adoucit la discipline, supprime les punitions corporelles ; l'armée reçoit un nouvel ar...

• CORMON, Fernand (1854-1924)Peintre académique et portraitiste, il commence sa carrière brillamment, avec Les Noces de Nibelungen.

  CORMON, Fernand (1854-1924) Peintre académique et portraitiste, il commence sa carrière brillamment, avec Les Noces de Nibelungen . Une de ses œuvres majeures, Caïn, est acquise par l'Etat. Toute une génération de contestataires viendra dans son atelier orthodoxe, mais libéral, comme Toulouse-Lautrec, Van Gogh et Picabia.

• PORTAL, Antoine, baron (1742-1832)Médecin, il soigne Louis XVIII et crée, en 1820, l'Académie royale de médecine.

  PORTAL, Antoine, baron (1742-1832) Médecin, il soigne Louis XVIII et crée, en 1820, l’Académie royale de médecine.