18 résultats pour "1780"
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DECAZES(1780-1860) - BIOGRAPHIE.
1 / 2 DECAZES (1780-1860) D'une vieille famille bourgeoise, Elie Decazes, né à Saint-Martin-de Laye, près de Liboume,le 28 novembre 1780, a fait son droit avant d'être avocat à Libourne, puis juge au tribunal de la Seine. En 1807, il devient chambellan de Louis Bonaparte, roi de Hollande, puis est nommé conseil ler à la cour impériale. Sans sympathie pour l'Empereur, il se rallie à Louis XVIII en 1814 et lui reste fidèle pendant les Cent-Jours....
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POLIGNAC(1780-1847) - BIOGRAPHIE.
1 / 2 POLIGNAC (1780-1847) Quand Charles X, le 8 août 1829, nomma le prince Jules de Polignac (né à Versailles le 14 mai 1780) au poste principal du ministère avec le porte feuille des Affaires étrangères, la duchesse d'Angoulême déclara : ••J'es time beaucoup M. de Polignac comme homme privé parce que je sais qu'il nous est tout dévoué, mais, en politique, c'est l'homme Je plus présomp tueux que je connaisse !>>Et le roi lui-même lui avait d...
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PEINTURE: Jean Ingres (1780-1867)
Jean Ingres (1780-1867) Un gardien de la tradition académique. Jean-Auguste-Dominique Ingres est originaire de Montauban. Ses dons pourle dessin et la musique se révèlent très tôt, et son père, un sculpteur ornemaniste, encourage l'éclosion de savocation. A 11 ans, on l'emmène à Toulouse où il entre dans l'atelier du peintre Roques dont il partage l'admirationpour Raphaël. En 1797, Ingres vient à Paris où David l'accueille dans son atelier. L'élève subit profondémentl'influence du maî...
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POLIGNAC, Jules Auguste Armand Marie (1780-1847)
POLIGNAC, Jules Auguste Armand Marie (1780-1847) Homme politique, il est ministre des Affaires étrangères et président du Conseil. Il décide l'expédition d'Alger et rédige les ordonnances de juillet 1830, provoquant ainsi la révolution.
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Jules, duc puis prince de Polignac (1780-1847)
Jules, duc puis prince de Polignac 1780-1847 “ L'ambition dont on n'a pas les talents est un crime ”, note à son propos Chateaubriand, qui ajoute cette définition : “ Esprit borné, fixe et ardent. ” Fils de la favorite de Marie-Antoinette, et placé tout jeune auprès du comte d'Artois qui le prit en affection, cet ultra zélé n'avait guère besoin d'ambition pour siéger parmi les puissants. Au reste, les Bourbons avaient une dette envers cet ardent partisan qui, sous l'Empire, après avoir été mêlé...
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CONDILLAC, Etienne BONNOT de (1715-1780)Philosophe et logicien, il est le principal représentant de l'école " sensualiste ".
CONDILLAC, Etienne BONNOT de (1715-1780) Philosophe et logicien, il est le principal représentant de l’école “ sensualiste ”.
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Brouille et reconnaissanceVers 1780, Goya, fasciné, découvre l'oeuvre de Vélasquez dans les collectionsroyales.
Brouille et reconnaissance Vers 1780, Goya, fasciné, découvre l’ œ uvre de Vélasquez dans les collections royales. L’étude attentive du maître espagnol lui ouvre les yeux sur la route à suivre. A la fin de l’année, il quitte Madrid pour Saragosse, où il a reçu grâce à Francisco Bayeu, qui en est le maître d’ouvrage, une commande grandiose pour la basilique Notre-Dame du Pilar . Pour lui c’est un rêve de jeunesse qui se réalise. Mais la collaboration tourne mal. Goya, trop audacieux, trop mode...
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SOUFFLOT, Germain (1713-1780)Architecte, ses réalisations sont marquées par l'influence de voyages et séjours qu'il fait en Italie.
SOUFFLOT, Germain (1713-1780) Architecte, ses réalisations sont marquées par l’influence de voyages et séjours qu’il fait en Italie. Sous Louis XV, il construit ce qui deviendra le Panthéon, monument à l’architecture directement inspirée des temples romains. Ledoux et Boullée seront plus tard influencés par son goût du colossal.
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« La guerre n'est que la continuation de la politique avec d'autres moyens. » Carl von Clausewitz (1780-1831), De la guerre
« La guerre n'est que la continuation de la politique avec u d'autres moyens. » Cari von Clausewitz (1780-1831), Dela guerres Comment penser la guerre? Réalité incontournable de l'Histoire, elle apparaît néanmoins par sa violence nier leprincipe de la politique, fondée sur le dialogue et l'accord des intérêts entre États. La férocité dont elle fait preuvesemble témoigner d'une régression vers une époque sauvage, pré-politique, au point que certains progressistes,confiants dans le déve...
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DEFFAND, Marie de Vichy-Chamrond, marquise du (1697-1780)Femme de lettres, correspondante de Horace Walpole, de Voltaire, de d'Alembert.
DEFFAND, Marie de Vichy-Chamrond, marquise du (1697-1780) Femme de lettres, correspondante de Horace Walpole, de Voltaire, de d’Alembert. Son salon est fréquenté par Marivaux, Sedaine, les encyclopédistes...
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BERANGER, Pierre Jean de (1780-1857)Poète et chansonnier, il est l'auteur des chansons sentimentales et patriotiques, comme Le Roi d'Yvetot et Le Vieux Drapeau.
BERANGER, Pierre Jean de (1780-1857) Poète et chansonnier, il est l'auteur des chansons sentimentales et patriotiques, comme Le Roi d'Yvetot et Le Vieux Drapeau .
- Leprince de Beaumont Jeanne Marie , 1711-1780, née à Rouen (SeineMaritime), femme de lettres française.
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Enfants jouant aux soldatsDans les années 1777-1780, Goya réalise une série de petites toiles sur le thèmedes enfants.
Enfants jouant aux soldats Dans les années 1777-1780, Goya réalise une série de petites toiles sur le thème des enfants. On y retrouve des enfants jouant aux soldats, mais aussi se disputant des châtaignes, faisant de la balançoire, cherchant des nids, jouant à saute-mouton ou encore mimant la corrida. Ces toiles aux sujets agréables et faciles à vendre ont peut-être été réalisées à l’occasion de commandes. Mais il est plus probable qu’il s’agisse de cartons destinés à être reproduits en tapiss...
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DECAZES et DE GLÜCKSBERG, Elie, duc (1780-1860)Homme politique, il prône contre les ultra-royalistes l'application de la Charte de 1814.
DECAZES et DE GLÜCKSBERG, Elie, duc (1780-1860) Homme politique, il prône contre les ultra-royalistes l'application de la Charte de 1814. Plusieurs fois ministre de Louis XVIII, il développe les houillères de Decazeville après sa démission de la présidence du Conseil en 1820.
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Pierre-Jean Béranger (1780-1857) Ce n'est pas un philosophe : le Dieu des bonnes gens est d'une platitude et d'une indigence déconcertantes.
Pierre-Jean Béranger 1780-1857 Ce n'est pas un philosophe : le Dieu des bonnes gens est d'une platitude et d'une indigence déconcertantes. Ce n'est pas un poète, mais c'est un pamphlétaire qui a su rimer, avec une rare habileté technique, des chansons, non point populaires, mais “ petites bourgeoises ”, voltairiennes, érotiques, bachiques, politiques. Faux bonhomme , avec une grande capacité de perfidie dans ses haines contre les ultras et les dévots, doué de trop peu de jugement pour av...
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Giovanni Battista Viotti1755-1824Il fut élève de Pugnani ; des tournées de concerts qu'il entreprit en Europe dès 1780, encompagnie de son maître, le conduisirent en 1782 à Paris, où il remporta au Concertspirituel un succès sensationnel.
Giovanni Battista Viotti 1755-1824 Il fut élève de Pugnani ; des tournées de concerts qu'il entreprit en Europe dès 1780, en compagnie de son maître, le conduisirent en 1782 à Paris, où il remporta au Concert spirituel un succès sensationnel. Viotti mourut à Londres, après une vie très mouvementée, au cours de laquelle, après avoir appartenu à la chapelle royale de Turin, il avait été accompagnateur de Marie-Antoinette, plusieurs fois directeur de théâtre (notamment de l'Opéra de Paris) et même...
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INGRES, Jean Auguste Dominique(15 septembre 1780-14 janvier 1867)PeintreFormé à son arrivée à Paris en 1797 dans l'atelier de David, il obtient, en1801, le premier grand prix de Rome.
INGRES, Jean Auguste Dominique (15 septembre 1780-14 janvier 1867) Peintre Formé à son arrivée à Paris en 1797 dans l’atelier de David , il obtient, en 1801, le premier grand prix de Rome. Il n’y part qu’en 1806, après avoir peint les portraits du Premier consul et de l’Empereur. En raison des critiques dont ces portraits ont été l’objet, il ne revient en France qu’en 1824, après avoir longuement étudié Raphaël, qu’il admire et dont il a copié des bas-reliefs. Il est directeur de la villa Médi...
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INGRES, Jean Auguste Dominique (15 septembre 1780-14 janvier 1867) Peintre Formé à son arrivée à Paris en 1797 dans l'atelier de DavidF197, il obtient, en 1801, le premier grand prix de Rome.
INGRES, Jean Auguste Dominique (15 septembre 1780-14 janvier 1867) Peintre Formé à son arrivée à Paris en 1797 dans l’atelier de David , il obtient, en 1801, le premier grand prix de Rome. Il n’y part qu’en 1806, après avoir peint les portraits du Premier consul et de l’Empereur. En raison des critiques dont ces portraits ont été l’objet, il ne revient en France qu’en 1824, après avoir longuement étudié Raphaël, qu’il admire et dont il a copié des bas-reliefs. Il est directeur de la villa Médi...