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Brouille et reconnaissanceVers 1780, Goya, fasciné, découvre l'oeuvre de Vélasquez dans les collectionsroyales.

Publié le 17/05/2020

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« Brouille et reconnaissance Vers 1780, Goya, fasciné, découvre l’ œ uvre de Vélasquez dans les collections royales.

L’étude attentive du maître espagnol lui ouvre les yeux sur la route à suivre. A la fin de l’année, il quitte Madrid pour Saragosse, où il a reçu grâce à Francisco Bayeu, qui en est le maître d’ouvrage, une commande grandiose pour la basilique Notre-Dame du Pilar .

Pour lui c’est un rêve de jeunesse qui se réalise.

Mais la collaboration tourne mal.

Goya, trop audacieux, trop moderne pour Bayeu et le chanoine du Pilar, est obligé de recommencer son travail.

C’est la plus grande humiliation de sa carrière. Privé de l’appui de Francisco Bayeu, avec lequel il restera brouillé durant six années, Goya se cherche de nouveaux protecteurs.

Il y a d’abord le comte de Floridablanca, puis en 1783 l’infant don Luis , frère cadet du roi Charles III. Son nouveau mécène lui commande une série de portraits de tous les membres de sa famille.

C’est pour le peintre le début d’une éblouissante carrière de portraitiste . Goya, le fils du doreur, change de milieu.

Il fréquente des intellectuels - historiens, économistes, écrivains - et découvre avec eux les problèmes de son pays.

L’artiste engagé pointe sous le peintre de la Cour.

Réceptif et sensible, il illustrera et dénoncera bientôt ce qui le choque : poids de l’Eglise, déliquance, folie, violence, décadence ... Le 7 juillet 1786, Goya, qui vient d’avoir 40 ans, obtient la place tant convoitée de peintre du roi.

Bayeu, avec lequel il s’est réconcilié, se vante d’être à l’origine de la nomination de son beau-frère.

La sécurité matérielle du peintre est désormais assurée .. »

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