887 résultats pour "pensée"
- Que pensez-vous de l'idée exprimée par Pierre-Jakez Hélias dans un entretien radiodiffusé : Il est facile d'être de son temps. La belle affaire ! N'importe quel imbécile peut être de son temps ! Il suffit de suivre tout le monde et de bêler avec le troupeau.
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Pour Théophile Gautier, « il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid » (Préface de Mademoiselle de Maupin). D'après les textes et tableaux étudiés, pensez-vous que l'oeuvre engagée perde nécessairement toute valeur artistique ?
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Que pensez-vous de l'idée exprimée par Pierre-Jakez Hélias dans un entretien radiodiffusé : « Il est facile d'être de son temps. La belle affaire ! N'importe quel imbécile peut être de son temps ! Il suffit de suivre tout le monde et de bêler avec le troupeau. »
N.B. : Cette citation est extraite de La sagesse de la terre de Pierre-Jakez Hélias et Jean Markale. conseilsCe sujet comme celui de Giono ( Vivre les Jours) est d'une vaste portée, d'une portée philosophique, par lesproblèmes qu'il soulève. Pour le traiter, le candidat fera néanmoins appel à sa culture littéraire et artistique, necraignant pas d'y mêler des exemples tirés de la vie actuelle,P.-J. Hélias est l'auteur bien connu du Cheval d'Orgueil où il fait autant ouvrage de conte...
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On a écrit que : « la chanson n'a ni le temps ni la possibilité de brasser de vastes idées. Ce n'est d'ailleurs pas son rôle.» Qu'en pensez-vous?
En vous appuyant sur des exemples précis pris dans la chanson contemporaine, vous discuterez cette affirmation en donnant votre opinion personnelle.
On a écrit que : « la chanson n'a ni le temps ni la possibi lité de brasser de vastes idées. Ce n'est d'ailleurs pas son rôle.» Q u'en p ensez-vous? En vous appuyant sur des exemples précis pris dans la chanson contemporaine, vous discuterez cette affirma tion en donnant votre opinion personnelle. I•• Partie. La chanson : âme des peuples mais art mineur? ■ La chanson, sa spécificité, s .on évolution. ■ Elle « tisse dep uis des générations la trace s...
- Sous la forme d'un monologue intérieur, l'évolution des pensées de ce voyageur, absorbé dans la contemplation des cimes nuageuses ; vous pourrez, par exemple, vous interroger sur le motif de sa promenade, ce qu'il ressent à l'instant où il contemple les montagnes à ses pieds, les sentiments qu'il éprouve et les sensations qui accompagnent ces sentiments.
- Ionesco écrit : « il peut y avoir crise du théâtre parce qu'il y a des metteurs en scène orgueilleux qui écrivent eux la pièce. Ce n'est pas parce qu'ils écrivent une pièce qu'il y a crise du théâtre mais parce qu'ils écrivent tout le temps la même pièce qui n'est pas celle de leur auteur ». Que pensez vous de cette réflexion? Quelle lace donne -t-elle au texte? à la mise en scène ?
- Pascal a dit : « Ceux à qui Dieu a donné la religion par sentiment du coeur sont bien heureux et bien légitimement persuadés. Mais ceux qui ne l'ont pas, nous ne pouvons la leur donner que par raisonnement en attendant que Dieu la leur donne par sentiment du coeur. » Vous montrerez comment Pascal a suivi ce dessein dans les Pensées.
- Commentez cette pensée de Louis Jouvet qui sapplique non seulement au métier de comédien, mais à tous les métiers : « Un métier est une façon de vivre. Ce ne sont pas les recettes du métier qui importent le plus, mais l'attitude, l'esprit pour le pratiquer. On choisit un métier pour saccomplir».
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Un écrivain contemporain affirme : « La science donne à l'homme un pouvoir grandissant sur le monde extérieur, la littérature l'aide à mettre de l'ordre dans son monde intérieur».
Pensez-vous que la littérature ait effectivement ce pouvoir et que ce soit sa seule fonction ?
Littérature et Science. Un écrivain contemporain · affirme : " La science donne à l'homme un pouvoir grandissant sur le monde extérieur, la littérature l'aide à mettre de l'ordre dans son monde inté rieur». Pen sez-vous que la littérature ait effectivement ce pouvoir et que ce soit sa seule fonction ? plan détaillé Introduction • Depuis grande montée des sciences au XIX0 siècle, on oppose souvent scientifiques et littéraires. • Ici ce sont les pouvo...
- Selon René Daumal, les paroles du poète doivent être non pas des paroles de paix, non pas des paroles faciles à entendre, mais des paroles de vérité. Que pensez-vous de cette définition de la parole poétique ? Vous donnerez votre propre conception de la poésie et vous appuierez pour répondre sur des exemples précis.
- Dans son essai sur Les personnages, Sylvie Germain, romancière contemporaine, écrit: Tous les personnages sont des dormeurs clandestins nourris de nos rêves et de nos pensées. Cette conception du personnage vous paraît-elle partagée par les romanciers que vous connaissez ? Vous appuierez votre réponse sur les textes du corpus et les oeuvres romancières que vous avez lues.
- « Tous les genres sont bons sauf le genre ennuyeux », affirme Voltaire. Il ajoute : « Il faut être très court et un peu salé, sans quoi les ministres, madame de Pompadour, les commis et les femmes de chambre font des papillotes du livre. » Pensez-vous que la littérature d'idées doive se conformer à ces exigences ?
- Vous mettez en garde vos concitoyens sur les risques actuels de la vanité, des paillettes et des mondanités. Vous écrivez tout d'abord un portrait ou une fable en prose, puis vous transformerez ce texte long en pensée, plus brève, mais encore argumentée, pour finir par l'écriture d'une maxime, lapidaire et impitoyable.
- En relisant le roman, ce qui m'a frappé ce n'est pas le ratage misérable des amours et des fantasmes d'Emma sur lesquels Flaubert s'appesantit, c'est l'intensité de flamme vive qui plante son héroïne au milieu du sommeil épais d'un trou de Normandie comme une torche allumée." Qu'en pensez-vous ?
- La littérature doit donc être lue et étudiée, soutient Antoine Compagnon, parce qu'elle offre un moyen - certains diront même le seul - de préserver et de transmettre l'expérience des autres, ceux qui sont éloignés de nous dans l'espace et dans le temps ou qui diffèrent de nous par les conditions de leur vie. » (La littérature, pour quoi faire ? p. 63). Qu'en pensez-vous ?
- Joffre DUMAZEDIER, Vers une civilisation du loisir : «Une des fonctions du cinéma est de visualiser les rêves, mais, ajoute Dumazedier, le spectateur se garde de prendre ces rêves pour des réalités. » Pensez-vous que ce comportement soit toujours celui du spectateur?
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« Il y a longtemps que les fables n'existent plus pour leur moralité. N'importe quel gamin vous le dira : le plaisir, c'est l'histoire, et peu importe la leçon ! ». Que pensez-vous de cette réflexion parue dans un journal à l'occasion du spectacle de l'acteur Fabrice Luchini consacré aux Fables de La Fontaine ?
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« Si je veux peindre le printemps, il faut que je sois en hiver ; si je veux décrire un beau paysage, il faut que je sois dans les murs (de la ville), et j'ai déjà dit cent fois que, si jamais j'étais mis à la Bastille, j'y ferai le tableau de la liberté ». Que pensez-vous de cette opinion de Rousseau sur l'inspiration ?
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- Imaginez un dialogue entre le joueur ou le chasseur du fragment 186 des Pensées et Blaise Pascal. Le joueur ou le chasseur réfute la thèse de Pascal et fait l'éloge du divertissement. Votre dialogue doit présenter un enjeu délibératif très marqué et utiliser les procédés destinés à convaincre et persuader.
- Commentez cette pensée de Louis Jouvet qui s'applique non seulement au métier de comédien, mais à tous les métiers. « Un métier est une façon de vivre. Ce ne sont pas les recettes du métier qui importent le plus, mais l'attitude, l'esprit pour le pratiquer. On choisit un métier pour s'accomplir».
- Dans les pensées, Pascal affirme que le moi est haissable et juge sévèrement Montaigne : Le sot projet qu'il a eu de se peindre. En revanche, Voltaire parle du charmant projet que Montaigne a eu de se peindre naïvement comme il l'a fait, car il a peint la nature humaine. Comment faut-il donc considérer l'écriture de soi en général et les diverses entreprises autobiographiques ?
- Pensez-vous que l'on puisse apprécier une oeuvre indépendamment de toute connaissance sur l'époque à laquelle elle a été élaborée, sur le contexte historique, social, politique, artistique et culturel dans lequel elle s'inscrit, sur les références culturelles ou artistiques dont elle est porteuse, sur l'artiste de l'imaginaire duquel elle est issue ?
- Sous la forme d'un monologue intérieur, évoquez l'évolution des pensées de ce voyageur, absorbé dans la contemplation des cimes nuageuses ; vous pourrez, par exemple, vous interroger sur le motif de sa promenade, ce qu'il ressent à l'instant où il contemple les montagnes à ses pieds, les sentiments qu'il éprouve et les sensations qui accompagnent ces sentiments ?
- Penserez-vous, avec Ferdinand Brunetière, que la vérité du roman « est faite surtout de l'intelligence des intérêts ou des sentiments des autres »? Approuvez-vous plutôt cette justification du roman personnel qu'on lit chez B. Constant : « On n'est bien connu que de soi. Il y a entre les autres et soi une barrière invisible »?
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« Je pense qu'il faut qu'il n'y ait qu'allusions... Nommer un objet, c'est supprimer les trois quarts de la jouissance du poème, qui est faite du bonheur de deviner peu à peu. Le suggérer, voilà le rêve. » En vous appuyant sur cette affirmation de Mallarmé, essayez de dégager le principe de sa vision esthétique.
Poète moderne, Mallarmé a médité sur le langage poétique qui selon lui est spécifique. La poésie doit recréer lelangage, et le poète doit selon ses termes « rendre plus purs les mots de la tribu ».Mais, la conception de Mallarmé, en ce qu'elle n'envisage la poésie que dans sa fonction suggestive, ne restreint-elle pas la multiplicité des formes et des fonctions que la poésie peut avoir ? I Le 19 ème siècle et la révolution poétique : 1) Mettre un terme à la fonction descriptive...
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Les discours actuels sur le malheur des jeunes face à « l'incertitude de l'avenir » irritent l'auteur de cette page ; elle réplique : « Ces platitudes, tant de fois entendues, entretiennent une mystification à la fois déloyale et funeste. »
Vous direz ce que vous pensez de ce point de vue de France Quéré.
ÉPREUVE 2 Bordeaux, Caen, Clermont-Ferrand, Limoges, Nantes, Orléans-Tours, Poitiers, Rennes Juin 1991 TEXTE Les nouvelles générations auraient les épaules chargées d'un préjudice aussi affreux qu 'inédit : l'incertitude de l'avenir. Ces platitudes, tant de fois entendues, entretiennent une mystifi cation à la fois déloyale et funeste. À quoi sert-il de se lamenter sur 5 une sorte de fatalité que nos savants analystes s'appliquent à décrire comme imp...
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« Refuser de partager la souffrance des autres, c'est admettre cette souffrance, là justifier », dit Jules.
Comment est-il possible de partager la souffrance des autres ?
Pensez-vous que la majorité des gens soient solidaires de la misère humaine ? Pourquoi ?
Exposer votre opinion en vous appuyant sur des exemples précis.
1 / 2 LA SOLIDARITE Texte. Jules Comment veux-tu que j'explique à mes parents qui m'aiment que j'ai toujours été un enfant malheurelp{? Je ne croyais plus en Dieu et je n'avais pas encore rencontré les hommes. J'étais seul, tout seul, tu entends Julia, sans rien comprendre à rien. As-tu déjà rêvé devant les vagues qui arrivent sur la plage ? C'est ainsi que je voyais chaque génération venir, pendant cinquante ans, se rouler l'une après l'autre, sur...
- l'esprit du roman est l'esprit de complexité. Chaque roman dit au lecteur : Les choses sont plus compliquées que tu ne penses. Milan Kundera, l'Art du roman. En vous fondant sur votre expérience de lecteur de romans et de nouvelles, vous expliquerez en quoi vous rejoignez ce propos de Milan Kundera ?
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« Les grandes questions de notre époque habitent ce théâtre » dit Michel Corvin en parlant du théâtre de Camus. Pensez-vous que le théâtre, de façon générale, dans l'écriture comme dans la représentation, doive aborder les grandes questions de notre temps ? Vous organiserez votre réflexion en vous appuyant sur les textes du corpus et vos lectures personnelles.
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- « Le thème de tout roman, c'est le conflit d'un personnage romanesque avec des choses et des 'hommes qu'il découvre en perspective à mesure qu'il avance, qu'il connaît d'abord mal et qu'il ne comprend jamais tout à fait. » Commentez à l'aide d'exemples précis cette pensée d'Alain (Système des Beaux-Arts, 8).
- « Ah ! monsieur, reprit elle, il n'y a dans le monde une autre aventure pareille à la mienne; il n'y a point une autre femme capable de la même chose. Le hasard ne peut l'avoir fait inventer; on ne l'a jamais imaginée et cette pensée n'est jamais tombée dans un autre esprit que le mien ». Cette exclamation de Madame de Clèves vous parait elle rendre compte du statut du personnage dans le roman du Moyen Age à nos jours ?
- Cela ne veut pas dire qu'ils inventent le langage, cela veut dire qu'ils l'utilisent pour créer de la beauté, de la pensée, de l'image. C'est pourquoi l'on ne saurait se passer d'eux. Le langage est l'invention la plus extraordinaire de l'humanité, celle qui précède tout, partage toute. Sans le langage, pas de sciences, pas de technique, pas de lois, pas d'art, pas d'amour. J-M-G Le Clézio. Vous commenterez cette citation.
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- Baudelaire a écrit en 1856, qu'une foule de gens se figurent que le but de la poésie est un enseignement quelconque, qu'elle doit tantôt fortifier la conscience, tantôt perfectionner les moeurs, tantôt enfin démontrer quoi que ce soit d'utile. Or, ajoute le poète, la poésie ne peut pas sous peine de mort ou de défaillance, s'assimiler à la science ou à la morale. Qu'en pensez-vous ?
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Vauvenargues a dit: «Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si l'on ne devait jamais mourir. »
Vauvenargues a dit: «Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si l'on ne devait jamais mourir. » Introduction : « Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder en face. » Ce mot de La Rochefoucauld aurait pu être longuement médité par Vauvenargues, puisque cet homme courageux jusqu'à la témérité passa la moitié de sa vie à risquer la mort sans y succomber — etl'autre moitié à méditer sur le thème de la mort lorsque son état de santé ne lui permettait plus de continuer à...
- Jacques Julliard écrit dans le Nouvel Observateur, en juin 1988: A qui, débarqué d'une autre planète, voudrait gouter en une seule soirée à toutes nos névroses d'aujourd'hui, on ne saurait conseiller plus rapide initiation qu'un match de football. Il y trouverait réunies la plupart des maladies sociales dont nous souffrons: la violence, la triche, le fric et l'ennui. Qu'en pensez-vous ?
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L'abbé d'Aubignac écrivait en 1657 dans sa Pratique du théâtre: Les poètes tragiques prennent de l'Histoire ce qui leur est à propos et y changent le reste pour en faire leurs poèmes, et c'est une pensée bien ridicule d'aller au théâtre pour apprendre l'Histoire. Discuter cette théorie et examiner si elle s'applique au théâtre de Corneille ?
Introduction _Le propos ici tenu par l'Abbé d'Aubignac, s'il n'en fait pas mention explicite, n'en est pas moins étroitement lié à l'œuvrede Corneille. En effet, d'Aubignac a fait partie du comité de lecture chargé de la première lecture d' Horace , à connu personnellement Corneille, et son essai est largement et inspiré par l'expérience du théâtre cornélien. De fait, l'accueil dudramaturge par le public français s'est accompagné d'une vive controverse visant à déterminer jusqu'à quel point l...
- « Un vrai classique, [...] c'est un auteur qui a enrichi l'esprit humain, qui en a réellement augmenté le trésor, qui lui a fait faire un pas de plus [...] ; qui a rendu sa pensée, son observation ou son invention, sous une forme n'importe laquelle, mais large et grande, fine et sensée, saine et belle en soi ; qui a parlé à tous dans un style à lui et qui se trouve aussi celui de tout le monde, dans un style nouveau sans néologisme, nouveau et antique, aisément contemporain de tous le
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Que pensez-vous de cette opinion sur l'oisiveté : « Hors de la société, l'homme isolé, ne devant rien à personne, a le droit de vivre comme il lui plaît ; mais dans la société, où il vit nécessairement aux dépens des autres, il leur doit en travail le prix de son entretien ; cela est sans exception. Travailler est donc un devoir indispensable à l'homme social. Riche ou pauvre, puissant ou faible, tout citoyen oisif est un fripon » (J.-J. Rousseau) ?
Ce sujet correspond à la première partie de la dissertation qui précède. Il faut insister principalement sur lanécessité du travail comme participation à la vie de la société. I. L'homme « hors de la société » : a) C'est là un mythe cher à Rousseau.b) II s'agit d'une reconstruction toute théorique de l'histoire.c) L'isolement total est impossible. II. L'homme doit son travail à la société : a) Cette conception s'oppose à celle des privilégiés du XVIIIe siècle.b) Chaque individu est spécialisé da...
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Zola écrit qu'il « aurait voulu aplatir le monde d'un coup de [sa] plume », en forgeant des fictions utiles.
Pensez-vous que la littérature, en particulier sous la forme de l'apologue, ait le pouvoir d'intervenir sur le monde et sur les consciences pour les transformer, à l'image du forgeron ? Vous répondrez à cette question en un développement argumenté qui prendra appui sur le texte du corpus, ceux que vous avez étudiés en classe et vos lectures personnelles.
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Pascal, Pensée - Oral Pascal, Imagination:
Oral Pascal, Imagination: Le 22/11 INTRO: Le fragment 78 de Pascal, intitulé "imagination", offre une réflexion philosophique captivante : il interroge le rôle de l'imagination en tant que force créatrice ou source de malheur pour l'homme. Pascal prend position et explore divers angles pour traiter de l'imagination : il aborde la psychologie, la société et l'anthropologie. Il souligne le pouvoir prédominant de l'imagination sur toutes les facultés humaines,...
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- Dans l'Art poétique (1674), Boileau analyse ce qui contribue à l'échec ou à la réussite d'une pièce de théâtre. Pour le choix du thème et la mise en oeuvre de l'intrigue, il écrit : « Jamais au spectateur n'offrez rien d'incroyable ; / Le vrai peut quelquefois n'être pas vraisemblable ;/ Une merveille absurde est pour moi sans appas :/ L'esprit n'est point ému de ce qu'il ne croit pas. » Pensez-vous que ces préceptes, établis à l'époque du théâtre classique et pour lui, puissent être
- Dans Je n'ai jamais appris à écrire ou les incipit, Louis Aragon écrit : Jamais je n'ai écrit une histoire dont je connaissais le déroulement, j'ai toujours été, écrivant, comme un lecteur qui fait la connaissances d'un paysage ou de personnages dont il découvre le caractère, la biographie, la destinée [...]. C'est ainsi que tout découle des premières lignes du livre, que le détail me force la main, me tourne l'esprit. Pensez-vous que ces réflexions, qui définissent l'auteur, et donc
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Parlant de la « recherche de la sécurité individuelle », l'auteur constate qu'elle conduit les individus « à multiplier les systèmes d'alarme et de surveillance et à assimiler tous les passants à des rôdeurs ».
Que pensez-vous d'un tel comportement ? Le feriez-vous vôtre éventuellement ?
Montrez à l'aide d'exemples précis, les conséquences heureuses ou dangereuses de cette attitude. (Une trentaine de lignes environ.)
1 / 2 L'INSÉCURffÉ Toute l'évolution de la société contemporaine conduit toutefois à limiter l'ampleur des risques encourus. La recherche de la sécurité çonduit, sinon à éliminer totalement les risques de la vie, du moins' à trouver des compensations ' qui en atténuent la portée. As.5urances contre Je chômage, la maladie, Je vol, l'incendie ... en _prévoyant les réparations .,. des maux qui nous meiil!CCnt, ceux-ci deviennent moins effrayants. Ils s'in...
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Dans son livre Au coeur du fantastique, publié en 1965, Roger Caillois, réfléchissant sur le fantastique au sens large (histoires extraordinaires, contes féeriques, récits de science-fiction, etc.), pense que ce dernier exprime « la tension entre ce que l'homme peut et ce qu'il souhaiterait pouvoir ». Vous commenterez ce jugement en vous appuyant sur des exemples empruntés à votre culture personnelle - littéraire, cinématographique.
Introduction • Essai de définition : la littérature fantastique « au sens large » englobe des domaines différents qu'il fautdistinguer.1. Le merveilleux des contes de fées ou des récits de science-fiction : la féerie est un monde où tout est possible,un univers qui n'est pas forcément effrayant (on ne peut pas avoir peur puisque l'on admet a priori que c'est unmonde fictif). Le lecteur accepte les phénomènes surnaturels sans chercher à les expliquer ou à les condamner.2. Le fantastiq...
- « Le mythe de Don Juan n'est pas celui d'un coureur de jupons (...) Son charme ne réside pas essentiellement dans sa séduction physique et sensuelle. Il fascine parce qu'il s'impose comme un destin pour les faibles et joue auprès des robustes le rôle de révélateur de leur destinée. Quiconque l'a rencontré n'est plus, ne sera plus le même ». Vous commenterez de manière argumentée cette pensée de l'universitaire Jean Massin, en vous appuyant sur votre lecture du Dom Juan de Molière. Pui
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Le Premier Homme d'Albert Camus est-il un récit intimiste ?
Le Premier homme relate une double quête, celle du père et celle de soi. Tout au long du roman, nous sommes donc les spectateurs de la quête d'identité du héros, Jacques, alter ego d'Albert Camus qui passe par l'évocation deson passé. Le contenu de cette autobiographie fictive est ainsi fournie par les souvenirs d'enfance et d'adolescenced'Albert Camus : souvenirs de la vie familiale, de l'école, du lycée, de la rue, à Alger de 1914 au début des années 1930.La lecture approfondie de cet ouvrag...
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comment le changement des règles du volley-ball rectrace-t-il une évolution du mode de pensé depuis 1895 ?
Comment le changement des règles du volley-ball retrace-t-il une évolution du mode de pensée depuis 1895 ? Introduction : Bonjour messieurs, je suis ici avec mon camarade Thyméo pour nous interroger sur la manière dont le changement des règles du volley peut retracer l’évolution du mode de pensée depuis 1895. Pour se faire nous allons étudier, après une introduction qui aura pour visée la présentation de l’invention du volley et de ses premières règles, les changements passés et leurs c...
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Cours détaillé sur la Conscience et l'inconscient
Problématique 1 : Suis-je le mieux placé pour savoir qui je suis ? - Qui suis-je ? - Que signifie « être » un homme ? - Qu’est-ce qu’un sujet ? - Peut-on tout savoir sur nous-mêmes ? - Illusion sur nous-mêmes ? - L’autre a-t-il un rôle à jouer dans la connaissance que j’ai de moi-même ? L’étymologie du mot sujet « subjicere » ou « subjectum » en latin = jeter, mettre sous, être en dessous. Il y a donc un travail sur soi à faire pour se révéler nous-même, révéler le s...
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- Le critique Laurent Versini écrit dans Le roman épistolaire (1979) : « En face des partisans des lettres, la marquise est chargée par l'auteur d'introduire le doute et de souligner les risques auxquels s'expose toute correspondance amoureuse et, par delà, le romancier lui-même [...]. Risques doubles dans un roman comme Les liaisons : au problème général - l'écriture peut-elle communiquer la pensée et le sentiment, les mots ne trahissent-ils pas toujours les intentions, ou le signifian
- « J'ai l'optimisme de croire qu'on a enfin compris dans les autres sphères de l'Enseignement que plus un auteur est proche de l'enfant dans le temps, plus il a de chance de l'intéresser et de l'enrichir. Toute éducation littéraire doit commencer par les contemporains » écrit Michel Tournier dans Le Vent Paradet (1977). Partagez-vous cette opinion? Vous illustrerez votre pensée par des exemples précis tirés de vos lectures.