89 résultats pour "saisissante"
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Vous écrirez un dialogue de comédie dans lequel un Monsieur Jourdain contemporain se vante devant un ami d'un savoir récemment acquis. Vous pourrez utiliser certains procédés comiques présents dans les textes du corpus. Vous veillerez à employer un niveau de langue approprié aux personnages et à la situation ?
Vous écrirez un dialogue de comédie dans lequel un Monsieur Jourdain contemporain se vante devant unami d'un savoir récemment acquis. Vous pourrez utiliser certains procédés comiques présents dans lestextes du corpus. Vous veillerez à employer un niveau de langue approprié aux personnages et à lasituation . Vous devez commencer par trouver de quel savoir peut se vanter M. Jourdain. Voici quelques idées.Il peut se vanter :– d'avoir appris à utiliser Internet ;– d'avoir appris à skier, fa...
- « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » (Musset, Nuit de Mai.)
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cours de hlp theme 2
« représenter » : rendre présent, amener quelque chose au présent (la chose est absente) j’ai le pouvoir de raviver des choses absentes du passé. C’est un double : un double mental, la représentation c’est une faculté de l’esprit, un double mental. La table physique : je me représente la table (non pas je la fais rentrer dans ma tête, mais je m’en fais une image). Elle est avant tout mentale, elle se fait dans la tête. C’est une suite de mots qui renvoie à des idées. Se représenter le mond...
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Les plus désemparés sont les chants les plus beaux / Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Musset, Nuit de Mai ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vontjusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en saisd'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt de réaction contre cette culture. Musset souffre...
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Joseph de Villèle par De Bertier De Sauvignyde l'Institut catholique de Paris Sans Villèle, les ultraroyalistes auraient-ils pu saisir et garder aussilongtemps le pouvoir ?
Joseph de Villèle
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Mark Twain par Erskine CaldwellRomancier Je n'en sais pas bien long sur Mark Twain ; car n'étant, quant à moi, nilecteur ni critique, je n'ai pas lu un seul de ses livres.
Mark Twain
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Il paraît qu'il est immoral de parler de soi. Moi je ne sais guère que parler de moi. Le moi n'est pas du tout haïssable, bien au contraire, écrit Paul Léautaud dans son Journal. Qu'en pensez-vous ?
Blaise Pascal dans une formule célèbre des Pensées proclame que « le moi esthaïssable ». Il s'en explique au nom de valeurs morales : « En un mot, le moi adeux qualités : il est injuste en soi, en ce qu'il se fait centre de tout ; il estincommode aux autres, en ce qu'il les veut asservir : car chaque moi estl'ennemi et voudrait être le tyran de tous les autres ! » (VII, 455). C'estpourquoi Pascal condamne les Essais de Montaigne : « Le sot projet qu'il a dese peindre ! » (II, 62).T...
- Faites le récit d'un exploit physique où le personnage se comportera de façon héroïque et dépassera ses propres limites. Votre récit devra faire saisir au lecteur les pensées de ce personnage lors de son aventure.
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« Le philosophe se sert de la fiction comme d'une grille à travers laquelle l'esprit du lecteur doit saisir une intention et une pensée. Dans la mesure où elle renvoie à cette pensée, la fiction est un prétexte et le lecteur doit sentir comme telle ». Vos connaissances du conte voltairien vous permettent-elles d'expliquer cette affirmation ?
Cette citation met en regard deux mondes : d'un côté, le monde du philosophe, qui manie "l'intention" et la "pensée",c'est-à-dire les idées; de l'autre, le monde de l'écrivain et du lecteur, qui repose sur la "fiction". Ces deux mondes sontsupposés se rencontrer dans le genre de la fiction philosophique. Les contes philosophiques de Voltaire peuvent en fournirun parfait exemple : ils sont constitués de courtes fictions, qui reposent sur l'art de la simplification et du grossissement,dans le but...
- Lamartine définit la poésie comme « la langue complète, la langue par excellence, qui saisit l'homme par son humanité tout entière, idée pour l'esprit, sentiment pour l'âme, image pour l'imagination, et musique pour l'oreille ». Cette définition rejoint-elle votre conception personnelle de à poésie ? Vous fonderez votre analyse sur des exemples précis.
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Les plus désespérés sont les chants les plus beaux./Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots écrit Alfred de Musset (1810-1857) dans sa Nuit de mai. Commentez et discutez cette affirmation en vous appuyant sur le corpus et sur les poèmes que vous connaissez. Pensez-vous que le poète soit condamné à l'incompréhension et que la source de la poésie se trouve le plus souvent dans la souffrance ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vontjusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en saisd'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt de réaction contre cette culture. Musset souffre...
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Que serait l'homme sans la chanson ? Sans cette compagne impalpable et futile qui met un peu de soleil dans sa vie?Ellejalonne les souvenirs de repères légers et indestructibles. Elle saisit ce qui est le plus insaisissable; l'air du temps, l'humeur collective du moment, les désira qui naissent ou s'évanouissent. Son succès naît de cette connivence invisible avec des millions d'hommes qui l'attendent sans le savoir.
SUGGESTIONS Que serait l'ho�e sans l a chanson ? S ans ce tte co�f
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Jean Genet, Préface de Les Bonnes : « Je vais au théâtre afin de me voir, sur la scène (restitué en un seul personnage ou à l'aide d'un personnage multiple et sous forme de conte) tel que je ne saurais - ou n'oserais - me voir ou me rêver, et tel pourtant que je sais être. Les comédiens ont donc pour fonction d'endosser des gestes et des accoutrements qui leur permettront de me montrer à moi-même, et de me montrer nu, dans la solitude et sans allégresse ».
Expliquez et éventuellement d
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- Maupassant, Bel Ami : « Mais en rentrant à la rédaction, on lui remit une dépêche fermée ; elle était de Mme Walter et disait : « Il faut absolument que je te parle aujourd'hui. C'est très grave. Attends-moi à deux heures, rue de Constantinople. Je peux te rendre un grand service. Ton amie jusqu'à la mort, Virginie ». Il jura : « Nom de Dieu ! Quel crampon ! » Et saisi par un excès de mauvaise humeur, il ressortit aussitôt, trop irrité pour travailler. Depuis six semaines, Duroy essay
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Le critique Sainte-Beuve a écrit (Nouveaux Lundis, tome IX, 7 décembre 1864) : « Où est-il le temps... où l'impression de la lecture venait doucement vous prendre et vous saisir?... Heureux âge, où est-il? et que rien n'y ressemble moins que d'être toujours sur les épines comme aujourd'hui en lisant, que de prendre garde à chaque pas, de se questionner sans cesse, de se demander si c'est le bon texte, s'il n'y a pas d'altération, si l'auteur qu'on goûte n'a pas pris cela ailleurs, s'il
SUJET Le cr itique Sa inte-Beuve a· é crit (Nouvea�x Lundis, t ome I X, 7 décembre 1864) : «- Où e st-il le t em ps ... o·ù l' impression
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Cours de philosophie sur la vérité
Chapitre→ La vérité. Introduction En quoi l’approche morale de la Vérité et l’approche épistémologique se distinguent-elles ? L’approche morale est prescriptive : c’est une approche éthique de la vérité (au sens de commandement/valeur ou devoir Kant, impératif catégorique). Le problème est de savoir si on doit dire la vérité en toutes circonstances et de quelle manière (il s’agit d’une adaptation permanente). On part du principe que l’énonciateur de la vérité connaît une vérité (ou...
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Les rapaces
LES ANIMAUX Les rapaces Autrefois vénérés, les rapaces ont ensuite été utilisés pour la chasse (fauconnerie), pour la plus grande gloire de leurs seigneurs. Et l'image du rapace sanguinaire a supplanté celle de l'oiseau respecté comme un dieu. Des oiseaux de proie redoutables Huit oiseaux sur dix sont des prédateurs : ils se nourrissent d'autres animaux. Mais les rapaces {du latin rapere, «saisir») sont let MJ. se servir...
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Marcel ARLAND, Terre natale, 1938.
Un coin de sable, un arbre, un mur, oui, c'était là sans doute mon décor et la source de ma joie. Mais ce coin de sable avait nne ampleur de citadelle, où les plus belles aven�]T9W pouvaient naître, et cet arbre, dont le tronc, dès la base, se partage en deux branches, c'est son dêchirement, sa figure intime, son être propre qui m'émouvait comme un visage et plus qu'un visage. Car tout prenait une âme; il n'était que de rester silencieux, immobile...
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Mark Twain
Mark Twain Je n'en sais pas bien long sur Mark Twain ; car n'étant, quant à moi, ni lecteur ni critique, je n'ai pas lu un seul de seslivres. J'ai bien l'intention de lire quelque jour, lorsque j'aurai moi-même fini d'écrire, ses nouvelles et menus récits, demême que sa biographie : n'écrivant alors plus moi-même, j'apprendrai quelque chose sur sa vie et son oeuvre, mais il memanquera l'occasion d'en parler. Et c'est pourquoi j'écris aujourd'hui : parce que l'occasion m'en est offerte. Mais que...
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Sartre (1905-1980): LA CONSCIENCE
Sartre (1905-1980) LA CONSCIENCE L a conscience est l'intuition première de Sartre. Penser dans sa radicalité ce camctère spécifique de l'homme, qui le met à distance des choses et de lui--même, conduit Sartre à remettre en cause certaines conceptions traditionnelles de l'imagination et de l'affect.ivité. 1. Les deux faces de la conscience A. La conscience de quelque chose ■ La conscience* n'est pas une sphère close sur elle-même, ne connaissant que ses propres mo...
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Merleau-Ponty (1908-1961): PERCEVOIR
PERCEVOIR L es t héo ri es sn r l a perc eption d éf o nn e nt l'expé rience d e l a perceptio n : la t hé or ie e m pi r i s t e y v oi t l 'e mp re i nt e pas sive d e l' ob jet sn r le suj et, l a t hé or ie in tel le ctu ali ste , la c on s tr u ct i on d e l 'ob j e t par le suj et à pa rtir d e ses s en s a ti o n s. Pourtant, l' e xp ér ie nc e ·de l a perc eption es t p re mi è re : c 'e st la perceptio n qu i no us fa it...
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Majeurs toutes faites pour les partiels
Majeures La mort d’un enfant à naître Aucun article ne prévoit le point de départ de la naissance. Néanmoins les articles 318 et 725 font référence à un enfant né vivant et viable. De là, la jurisprudence considère, par sa décision de la Cour de Cassation en Assemblée Plénière rendue le 29 Juin 2001 qu’il ne peut pas y avoir un homicide involontaire sur un enfant qui n’est pas né vivant et viable car il n’acquière jamais le...
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Vous analyserez ce texte de Nathalie Sarraute extrait du « Planétarium » en montrant l'originalité de sa conception romanesque, et vous direz quelle place il convient de lui assigner au sein du Nouveau Roman.
Vous analyserez ce texte de Nathalie Sarraute extrait du « Planétarium » en montrant l'originalité de sa conceptionromanesque, et vous direz quelle place il convient de lui assigner au sein du Nouveau Roman. « Qui est là? — C'est moi, ton frère, c'est Pierre... » Il entend comme un pépiement, un remue-ménage heureux, undéclic rapide, un bruit de chaîne léger, joyeux, la porte s'ouvre... « Ah, c'est toi... » Il avait oublié ce regard sousles paupières usées, fardées, un bon regard d'où ruisselle...
- Kant : les deux ignorances et la possibilité du vrai
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- Monique Dixsaut Le naturel philosophe
- Définition: AFFIRMATIF, -IVE, adjectif et substantif.
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Pierre Jean Jouve
Pierre Jean Jouve1887-1976 L'on s'accorde à dire que Baudelaire est à l'origine du mouvement poétique contemporain. Marcel Raymond ajoute que ce mouvementest double : qu'il comprend les artistes — c'est la filière Valéry-Mallarmé, et les voyants — c'est la filière qui va de Rimbaud aux"chercheurs d'aventures". Parmi ceux-ci, il range Jouve. Cependant il juge ainsi en 1933, quand Sueur de Sang vient de paraître :poème qui s'avance si vertigineusement dans l'homme souterrain que les mots...
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- L' ami est-il un autre soi-même ?
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Sujet de dissertation de français : Dans l’entretins des Muses 1968, Philippe Jaccottet écrit : « La poésie est elle-même non pas dans le maintien à tout prix de telle ou telle prosodie (travail de la langue), mais (opposition) dans l’usage de la comparaison , de la métaphore ou de toute autre mise en rapport ; elle est au près d’elle-même dans la mise en rapport des contraires fondamentaux : dehors et dedans, haut et bas, lumière et obscurité, illimité et limite. Tout poète est au prè
Sujet de dissertation de français : Dans l’entretins des Muses 1968, Philippe Jaccottet écrit : « La poésie est elle-même non pas dans le maintien à tout prix de telle ou telle prosodie (travail de la langue), mais (opposition) dans l’usage de la comparaison , de la métaphore ou de toute autre mise en rapport ; elle est au près d’elle-même dans la mise en rapport des contraires fondamentaux : dehors et dedans, haut et bas, lumière et obscurité, illimi...
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Pierre et Jean
Àpartirdela2à Maupassant : Pierre et Jean Présentation, commentaires et notesde Marie-Claire Ropars-Wuillemier «Classiques de Poche »,n°2402,220 pages (bio-bibliographie, illustrations et photographies) *LÊ&i&è?>> Introduction L'édition comporte, outre lacélèbre Préface de Maupassant (voir les notes qui nous éclairent sur les conditions d'écriture du texte), des Commentaires et une bio-bibliographie. On trouvera également un cahier d'illustrations (photographies des documents de l'époque ain...
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hunger games
1. A mon réveil, l'autre côté du lit est tout froid. Je tâtonne, je cherche la chaleur de Prim, mais je n'attrape que la grosse toile du matelas. Elle a dû faire un mauvais rêve et grimper dans le lit de maman. Normal : c'est le jour de la Moisson. Je me redresse sur un coude. Il y a suffisamment de lumière dans la chambre à coucher pour que je les voie. Ma petite soeur Prim, pelotonnée contre ma mère, leurs joues collées l'une à l'autre. Dans son sommeil, maman paraît plus jeune, moi...
- phèdre
- victor hugo
- Hume et l'identité personnelle ou le moi
- Cours
- 1861 SUJETS-TEXTES DE L’ÉPREUVE DE PHILOSOPHIE AU BACCALAURÉAT