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commentaire de texte - freud - « Une difficulté de la psychanalyse » est extrait de l’ouvrage L’Inquiétante Étrangeté et autres essais

Publié le 15/05/2022

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« Commentaire de texte – Freud Le texte intitulé « Une difficulté de la psychanalyse » est extrait de l’ouvrage L’Inquiétante Étrangeté et autres essais de Sigmund Freud publié en 1988 dans l’édition Folio-Essais et écrit en 1929, Freud (1856-1939), médecin autrichien, qui n’est autre que l’inventeur de la psychanalyse, une méthode thérapeutique qui consiste à expliquer le fonctionnement du psychisme humain et qui fonctionne grâce à la parole et au souvenir. Le thème traité par ce texte est confronté à la question « Le« moi » est-il une entité consciente régissant et contrôlant le psychisme humain ou n’est-il qu’un simple élément tiraillé entre interdits et pulsions émanent de l’Inconscient ? » Généralement désigné par le sujet « moi » ou par la conscience « l’autre moi », pour Freud, le « moi » est un élément décisif pour le sujet de s’équilibrer entre les pulsions du « ça » qui peut être avoir envie de faire du sport, ou acheter un nouveau vêtement voire des comportements sévères de type dépense, pulsions sexuelles, le « ça » est donc un élément de l’Inconscient, et les interdits de la réalité relatifs au « surmoi ».

Par conséquent, pour le philosophe, le « Moi » doit s’adapter aux influences de l’Inconscient.

Un « Moi » qui subit intrinsèquement des désirs sexuels doit lutter contre ses pulsions. Ce texte est composé de quatre parties distinctes.

Dans la première partie (l.1-6), Freud s’adresse à l’instance du « Moi » et lui explique que ses connaissances sont limitées face à l’Inconscient.

Ici, Freud nous livre le constat d’un sujet clivé, c’est à dire qui refuse le désir et les limites, qui sont deux ordres de réalité.

Dans une seconde partie (l.6-10), l’auteur présente les raisons qui font que le sujet se retrouve prisonnier d’un clivage comme les pulsions ( le « ça », élément de l’Inconscient ».

Dans une troisième partie (l.10-21), Freud va élaborer une enquête qui distingue le psychisme du conscient, ce qui leur est contraire.

Un sujet qui va connaître un profond dilemme entre ce qu’il croit savoir de sa conscience et ce qu’il ne connaît pas, et qui refuse l’écoute son psychisme.

Dans une partie conclusive et quatrième partie, Freud va ainsi explicité l’idée de prendre conscience du psychisme pour ne pas en être le jouet. Dans la première partie du texte, Sigmund Freud s’adresse à l’instance du « Moi » et lui explique que ses connaissances sont limitées face à l’Inconscient.

Ici, Freud nous livre le constat d’un sujet clivé, c’est à dire qui refuse le désir et les limites, qui sont deux ordres de réalité. Dans la première partie du texte, la phrase introductive (l.1-2), Freud rentre dans une introduction à la définition du terme « psychanalyse », qu’elle est son rôle face à l’instance du « Moi » ? et que peut-il dire ?.

Ici, on peut découvrir une confrontation entre le « Moi », un sujet qui serait érigée sur sa propre connaissance et ses choix et un « Toi » qui serait défini par « l’Autre ». Selon, l’auteur la psychanalyse dicte que nos seuls tenant et aboutissant de notre volonté résulte de notre « propre vie psychique » qui serait « dérobée à ta connaissance et à la domination de ta volonté ».

« Volonté » serait ainsi, toute forme de puissance par rapport à notre « Moi », elle serait plus forte que notre raison.

Le « Moi » n’est donc plus condamnable par le « Toi », puisque tout ce qui est étranger ne rentre pas en moi, au contraire du surmoi.

Ainsi, le sujet devient vulnérable de ses désirs par un « Moi » qui pourrait ne pas se réguler avec d’autre possibilité par méconnaissance, je souhaite ne pas ressentir de désirs sexuels envers des mineurs, je lutte contre cela mais suis-je incapable de lutter contre cela car c’est le seul choix réfutable. Dans la seconde phrase, (l.3) le sujet après avoir vu qu’il était soumis à ses pulsions, voyons qu’il est conduit à des faiblesses « C’est pourquoi tu es si faible ».

L’adverbe d’interrogation « Pourquoi » vient affirmer cette thèse.

Le sujet figure comme condamner, par ses désirs et semble ne pas être libre.

De plus, on ne peut se défendre , lorsque nous sommes méconnaissant d’un Inconscient, ou que l’on refoule, ou qu’on refuse de connaître, ceci cause une fracture entre le sujet et des réels combats menés « tu combats avec une partie de tes forces contre l’autre partie » l.4, établissement d’un paradoxe entre le « Moi » et le « l’Autre Moi », le conscient et l’inconscient.

On ne peut « mobiliser toutes nos forces comme contre un ennemi extérieur » l.5.

Constatation d’un. »

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