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Synthèse A la recherche de l'éternelle jeunesse…

Publié le 02/12/2021

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Le corpus proposé se compose de cinq documents dont deux articles, deux extraits d’œuvre et un dessin. Ils ont comme particularité de tous évoquer le sujet de la vieillesse, et en particulier de son « désir « de s’en rapprocher le moins possible. On peut donc se demander comment les « vieux « voient ils leurs âges ?
          On se demandera dans un premier temps pourquoi ne veulent ils plus vieillir et dans une seconde partie comment font ils pour y parvenir.

A l’heure ou le monde vit une véritable révolution technologique, pour la grande majorité de la population, la vieillesse s’annonce comme un fardeau. Ce sentiment se traduit bien souvent par la peur de vieillir comme l’illustre Colette dans « Chéri «. Le besoin de rester au contact des plus jeunes et la douleur qu’évoque le sentiment de se savoir vieux engendre les larmes et la détresse de son personnage. Ainsi Sylvie O’Dy dans son article de l’Express confie qu’on ne parle plus de vieillesse mais de longévité afin d’apaiser certaines vielles consciences. Elle s’associe donc avec l’idée de Maryse Wolinski qui confesse dans « Nous vivrons toujours jeunes et beaux « que les mots « vieux « ou « vieillissement « ont des connotations négatives. Les euphémismes qui les remplacent ont pour but de rassurer les plus anciens sur leurs sors.
          Dans son ouvrage, Maryse Wolinski insiste sur le fait que malgré le vieillissement effréné de la population, cette dernière reste tout à fait capable de continuer à exercer une activité. C’est d’ailleurs ce qu’illustre son mari dans son dessin en montrant une personne âgée entrain de travailler en regardant partir sa plus jeune compagne. Ce besoin de vouloir rester actif rappelle donc encore une fois cette appréhension de la vieillesse synonyme d’immobilisme et donc par conséquent de mort. C’est ainsi que la crainte pousse les « vieux « à vouloir vivre « jeune « jusqu’à la mort ; kit à leur faire envisager des solutions plus ou moins adaptés comme en témoigne Marion Van Rentergam dans un article du Monde 2 datant de 2001.

Dans ce même article, on peut noter le véritable engouement des « vieux « à vouloir dédramatiser leurs situations. Ils vont en effet jusqu’à prendre des risques pour atténuer certaine conséquences naturelles de leurs âges. Leur volonté d’aller jusqu'à accepter de devenir un cobaye pour tester les effets d’hormones anti-âge non commercialisé en France atteste de la hauteur de leurs ambitions. Dans ce domaine, Sylvie O’Dy note que le secteur de la médecine s’implique de manière grandissante dans le monde du troisième âge. Le but étant d’améliorer la qualité de vie ainsi que la très convoité « longévité «.

La confrontation de ces document nous amène donc à prendre conscience que le troisième qui tend de plus en plus à allonger le chiffre se soucie réellement de son sors. Vivant en phase avec son siècle il veut pouvoir profiter des nouveaux moyens mis au point par la médecine notamment pour lui permettre d’être accompagner le mieux possible. La vieillesse reste donc la hantise de chacun qui essaye à sa manière de l’oublier comme il le peut encore.

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