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Notre pensée est-elle prisonnière de la langue que nous parlons ?

Publié le 03/09/2020

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« LE LANGAGE Notre pensée est-elle prisonnière de la langue que nous parlons ? COUP DE POUCE ■ Analyse du sujet - Question relativement classique, mais qui demande que l'on établisse d'abord que la pensée est formée par la langue : ce n'est qu'à partir de cette formation que peut se poser le problème de son emprisonnement.

- On peut emprunter des données à la linguistique, mais on n'oubliera pas qu'il s'agit d'une question philosophique : sur quels auteurs pouvez­ vous prendre appui ? - Quelles pourraient être les conséquences d'une réponse positive ? ■ Pièges à éviter - Pas de récitation d'un cours général sur le langage, dont la plus grande partie serait hors sujet.

- Pas de développement interminable sur les relations entre la pensée et le langage (question de l'antériorité de l'un par rapport à l'autre : sélec­ tionnez soigneusement vos connaissances à ce propos).

- Inutile de dériver vers des considérations sociologiques sur les niveaux de langue, les argots, le langage des banlieues comme reflet ou facteur d'exclusion : il s'agit ici de la pensée.

CORRIGÉ [Introduction] Les traducteurs savent par expérience qu'il est parfois très difficile de transposer un terme ou une expression d'une langue dans une autre.

Il arrive -même en philosophie -que l'on s'habitue tant bien que mal à conserver dans une langue un mot d'origine étrangère : ainsi les philo-. »

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