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L'encensConsumé dans l'église en agréable odeur, l'encens la parfume de laprésence de Dieu.

Publié le 23/05/2020

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« L’encens Consumé dans l’église en agréable odeur, l’encens la parfume de la présence de Dieu. L’encens est une gomme aromatique, souvent d’origine orientale, dont la combustion dégage une fumée odoriférante (du latin incensum : “ ce qui est brûlé ”).

On ajoute volontiers à l’encens des substances aromatiques, comme le benjoin.

On faisait brûler de l’encens pour purifier ou parfumer les tentes ou les maisons, à la façon du papier d’Arménie. Les religions utilisent volontiers l’encens qui donne aux lieux saints une ambiance particulière et comme une présence accueillante.

Dieu lui-même prescrit à Moïse de l’offrir deux fois par jour devant le sanctuaire.

La fumée de l’encens, très visible, monte en volutes souples qui sont un symbole de la prière s’élevant vers Dieu : “ Que monte ma prière comme un encens devant ta face ” (Ps 140,2).

Au seuil du Nouveau Testament, c’est en accomplissant cette offrande que Zacharie reçoit de l’archange Gabriel l’annonce de la naissance de Jean Baptiste.

Cette liturgie est en lien étroit avec celle du ciel : “ Un ange vint se placer près de l’autel, muni d’une pelle en or.

On lui donna beaucoup de parfums pour qu’il les offrît, avec les prières de tous les saints, sur l’autel d’or placé devant le trône.

Et, de la main de l’ange, la fumée des parfums s’éleva devant Dieu avec la prière des saints ” (Ap 8,3-4). L’encens est donc un hommage d’adoration rendu à Dieu, comme celui que les Mages offrent à l’enfant Jésus : par l’encens, ils reconnaissent qu’il est Dieu ; par l’or, qu’il est Roi ; et la myrrhe préfigure sa sépulture.

Offert d’abord à Dieu, l’encens l’est aussi à tout ce qui le touche, à tout ce qui lui appartient : la Croix, l’autel, le livre des Évangiles, le pain et le vin avant et après la consécration, mais aussi les célébrants et les fidèles, même défunts : lors des obsèques, on encense leur dépouille mortelle, qui fut le temple de l’Esprit. Pour consumer l’encens, on utilise un encensoir, brûle-parfum portatif suspendu à trois chaînettes, dont le couvercle peut coulisser au moyen d’une quatrième.

On trouve aussi des encensoirs à une seule chaîne.

À l’aide d’une cuiller, le célébrant prend de l’encens dans une navette (du latin navis, “ vaisseau ”, parce qu’elle a la forme d’un petit bateau) et le dépose sur des charbons brûlants disposés dans la cassolette.

On. »

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