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L'existence de Dieu: Sujet : Si Dieu n’existait pas tout serait permis » Dostoïevski

Publié le 04/05/2022

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dieu

« Sujet : Si Dieu n’existait pas tout serait permis » Dostoîevski L’existence de Dieu est tenue par plusieurs philosophes comme étant le principe de l’agir moral.

Si bien que l’inexistence de Dieu donnerait libre court à tout action.

C’est dans cette perspective que Dostoïevski a pour affirmé : « si Dieu n’existait pas, tout serait permis ».

Une telle conception soutien que l’absence de dieu ou la mort de dieu ferait de l’homme une être totalement libre, c’est-à-dire affranchi de toute règle et capable d’agir comme bon lui semble. Elle présente l’existence de Dieu comme une entrave à la liberté de l’homme.et nous ainsi le problème de l’existence de Dieu et de la liberté de l’homme.

Si bien que l’on est appelé à se demander si l’inexistence de leur ferait de l’homme une totalement affranchi des lois et des normes ? En d’autres termes, la mort de Dieu, donnerait-il a l’homme de jouir totalement de sa liberté ? dans notre travail, il sera question montrer dans un premier temps dans quelle mesure l’inexistence de Dieu parait permettre à l’homme d’agir en toute liberté et dans une deuxième partie, il sera question de montrer que l’homme ne sera plus libre sans Dieu. L’absence de Dieu ferait de l’homme un être libre, qui ne saurait subir le déterminisme, c’est pourquoi notre auteur affirme : « Si Dieu n’existait pas tout serait permis ».

Une telle conception posait déjà la base de l’existentialisme. En effet, l’existence de Dieu est la source de la morale, puisque le bien et le mal sont définis par Dieu.

C’est dans cette optique que Krillov affirmait : « Si Dieu existe, alors tout est sa volonté, et je ne peux rien faire de mes propres en dehors de sa volonté.

S’il n’y a pas de Dieu, alors tout est la volonté ».

C’est dire que Dieu maintient l’homme dans un déterminisme auquel celui est incapable de se libérer.

Tout est toujours voulu par Dieu et rien par l’homme.

L’homme vivant sous le règne de Dieu serait un être déterminé, irresponsable puisque dépourvu de sa liberté. Par ailleurs, seul l’homme vivant hors de Dieu serait responsable, capable d’agir, de vouloir, de penser.

Puisque sa volonté ne commence qu’après la disparition de celle de Dieu. Un tel homme dépourvu de liberté pour Jean Paul Sartre ne serait pas un homme, puisque pour lui, l’homme se définit par sa liberté.

Il apparait judicieux de chercher à tous les coups à rendre à l’homme sa liberté, ou de le recrée libre.

Une telle entreprise ne reste possible qu’en tuant ou en mettant Dieu sur le banc des accusés.. »

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