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Lecture linéaire La Princesse de Clèves 1ère

Publié le 30/04/2021

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« I.

La mise en place du cadre romanesque (jusqu’à « celui qui arrivait ») II.

Le coup de foudre (jusqu’à un grand étonnement) III.

Le rôle de la cour La mise en place du cadre romanesque se met en place dès les premières lignes grâce à des indications temporelles dune part par le moment qui est choisi « le soir », d’autre part sur la durée des préparatifs « tout le jour » de même une précision spatiale « au Louvre » qui est le siège du pouvoir royal.

Enfin l’événement est mentionnée « au bal et au festin royal ».

Nous nous trouvons dès le début dans un cadre romanesque extrêmement précis est assez exceptionnel.

Dans ce cadre, la narratrice va mettre en valeur son perso, la jeune princesse, grâce à l’énonciation personnelle, en effet, plusieurs phrases débutent par « elle » « elle passa » « elle arriva ».

Dès les premières lignes, on note un indice romanesque « elle passa tout le jour a se préparer » qui souligne le grand soin qu’apporte la princesse à sa tenue.

Est-ce le protocole ? ou bien un pressentiment qu’il faut ce jour là être particulièrement bien vêtu ? La phrase suivante forte courte « lorsqu’elle arriva… » suggère par sa soudaineté induite par les passé simples et la brièveté de la phrase l’effet de surprise que la jeune femme provoque.

Et cet effet, elle le provoque à la cour défini par le pronom personnel globalisant.

La phrase suivante construite sur le binôme narrative imparfait/ passé simple « le bal commençait », enclenche l’action avec un élément perturbateur qui s’exprime par une perception auditive « il se fit un assez… ».

Cette perception auditive faite sous forme de litote sert à la narratrice de procédé dilatoire pour ne pas tout de suite nommer qui est la cause de ce bruit.

Cependant, elle va le faire par une périphrase « qq qui entrait et à qui on faisait place ».

Celle-ci induit l’idée qu’il s’agit de qq de très prestigieux.

Cette arrivée correspond parfaitement à la fin d’une danse « acheva de danser ».

Cela peut déjà être interpréter comme une marque de destin.

Quant au roi, lui aussi incarne le destin notamment de sa volonté de former un nouveau couple « le roi lui criade prendre..

».

Dans cette première partie on assiste à la mise en place de ce cadre romanesque qui prépare à ce qui va arriver : le coup de foudre entre les deux protagoniste.

Le coup de foudre nait dans la jeune princesse rapidement, on le voit au passé simple « elle se tourna et vit ».

Il passe par le regard qui exclut tous les autres participants du bal comme le suggère la particule restrictive « que « « que monsieur de nemours » (ce coup de foudre est réellement un topos de la littérature cf Racine).

Si ce fameux qq est important, cet homme, ce nemours présente une attitude extrement particulière dans la proposition relative « qui passait par-dessus quelques sièges… ».

Cet homme s’il « passe par-dessus qqsièges » peut être interprété comme une attitude très désinvolte, très sur de lui au point d’avoir une tenue peu correcte (cf Marcel Proust scène café).

Les 2 phrases suivantes sont construits sur le même modèle, cad un parralèlisme pcq les 2 protagonistes ont les mêmes caractéristiques et le même comportement.

La naratrice utilise les mêmes mots ou presque pour les décrire « surprise » « un grand éttonement » « passa des heures à se préparer » « grand soins à se parer ».

Ils ont fait les mêmes choses au même moment pour donner le même résultat, cela peut être interpréter comme une marque du destin, ils étaient destiner à se rencontrer.

Ce destin va s’exprimer par une perte de contrôle de soi de la part de Nemours.

Il est déjà frappé par ‘amour et en perd le contrôle « il fut tellement surpris » et l tournure négative « il ne put s’empêcher de ».

On assiste à un rapport de cause à effet, « ils se mirent à danser… ».

Ce rapprochement des deux protagonistes provoquent en effet une réaction unanime marquée par « le murmure de louange, instantanée marque par le passé simple « s’éleva ».

Les phrases suivantesfont donc intervenir le roi et les reines, le pouvoir incarné qui prend le contrôle de la situation.

Cela se voir par le fait qu’ils soient sujet des phrases « ils les appelères », « trouvèrent »…Ils orchestrent cette fin de rencontre.

L’etonnement du roi et des reines est un ettonnement feint car quand on connait la. »

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