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La princesse des Clèves Lecture linéaire: AVEU

Publié le 22/02/2022

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« Parcours : individu, morale et société Texte : Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves (1678) Introduction : Mme.

de La Fayette est une femme de lettres française du XVII ème siècle qui publie son roman historique La Princesse de Clèves sous couvert d’anonymat en 1678, suivant les principes du Classicisme, « plaire et instruire ».

Ce roman narre les intrigues à la cour d’Henri II, dont celle de Mme.

De Clèves et du Duc de Nemours.

Dans cet extrait, Mme.

De Clèves fuit M.

De Nemours à Coulommiers, et avoue à son mari ses sentiments pour un autre, pendant que M. De Nemours écoute en secret.

Il s’agit d’une scène pivot du roman. Lecture Attention ! Débit de lecture, ton de voix, liaisons, dialogue. Projet de lecture : En quoi cet aveu est-il exceptionnel ? ~ Est-ce un aveu vertueux ? Moral ? Analyse : Paradoxe/Antithèse Euphémisme Métaphore Interjection Vocabulaire imprécis Négation Impératif Superlatif Allitération en m Texte Analyse — Eh bien ! Monsieur, lui répondit-elle en se jetant à ses genoux, je vais vous faire un aveu que l’on n’ a jamais fait à son mari, mais l’innocence de ma conduite et de mes intentions m’en donne la force.

Introduit aveu + soulagement ; Incise descriptive, geste théâtral Renforce le côté exceptionnel de l’aveu => conscience sans orgueil de la supériorité morale ; Connotation péjorative, criminelle aveu vs innocence Il est vrai que j’ai des raisons de m’éloigner de la cour et que je veux éviter les périls où se trouvent quelquefois les personnes de mon âge .

Echo au discours de Mme.

De Chartres Je n’ ai jamais donné nulle marque de faiblesse et je ne craindrais pas d’en laisser paraître si vous me laissiez la liberté de me retirer de la cour ou si j’avais encore Mme de Chartres pour aider à me conduire.

La négation s’annule => conscience sans orgueil de la supériorité morale Me = COD ; Autorisation du Mari, elle n’est plus maîtresse d’elle-même Quelque dangereux que soit le parti que je prends, je le prends avec joie pour me conserver digne d’être à vous.

Aveu TRÈS GÉNÉRALISÉ : bienséance Dangereux vs joie Je vous demande mille pardons, si j’ai des sentiments qui vous déplaisent, du moins je ne vous déplairai jamais par mes actions Sentiments vs actions. »

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