Le comportement d’autrui m’apprend à vivre en société

« Le comportement d’autrui m’apprend à vivre en société.

L'homme ne vit pas seul, il vit en communauté car l'homme ne se suffit pas à lui-même.

Il peut certes vivre seul à un moment mais il sera toujours civilisé en fonction de la société dans laquelle il a grandi. Dès son jeune âge, il est en contact avec d'autres hommes qui assurent son évolution. Même les hommes qui ont vécu après leur socialisation, un long moment isolé, prennent certes ce côté sauvage de survie mais restent fidèles à leur nature et à leur ancienne société.

C’est le cas de Robinson sur son île qui s’imagine autrui, dans Robinson Crusoé de Daniel Defoe, publié en 1719.

Autrui est donc indispensable à l'homme. La connaissance est un ensemble de savoir que l’on acquiert souvent par le biais d'une figure ayant une autorité importante dans notre vie comme un parent ou un professeur.

Cette connaissance est un savoir obtenue par l'étude de sujets précis.

En effet nous sommes adapté pour vivre de manière civilisée au sein d'une société.

On rencontre des normes et des règles qu'ils nous sont inculquées dès le plus jeune âge. Tout d'abord, nous ne pouvons exister sans société.

En effet, les interactions avec autrui rythment notre vie.

Cependant nous sommes en quelque sorte « formatés » pour vivre au sein d'une société dès sa jeunesse par le biais de ses parents.

En effet, ils font en sorte d'inculquer certaines normes, valeurs à leur enfant pour que par la suite il soit intégré à la société.

Nous apprenons donc des notions abstraites telle que la morale ainsi que des notions non abstraites.

Lorsque nous sortons de l'enfance et rentrons dans l'adolescence nous remettons souvent en cause se que autrui nous a apprit ou bien remettons en cause la société en elle-même.

Pour cela, nous la défions perpétuellement, inconsciemment ou non en enfreignant des règles à petite échelle (comme le fait d'aller contre le règlement de son école ou bien de désobéir à ses parents).

Nous le faisons souvent en groupe pour avoir la reconnaissance de nos pairs.

Nos comportement sont souvent influencés par celui de nos camarades.

Passé l'adolescence et entré à l'âge adulte, nous nous plions ainsi à la société avec nos pairs car notre but est de pouvoir pleinement l’intégrer et de trouver un emploi.

Nous ne voulons plus aller contre elle car nous avons besoin d'elle.

Pour cela nous réprimons inconsciemment qui nous sommes réellement pour pouvoir répondre aux exigences qui nous sont imposées.

En effet, dans les institutions nous aurons tendance à nous abaisser face à quelqu'un de supérieur hiérarchiquement car nous ne voulons pas aller contre notre supérieur, au contraire nous voulons nous faire bien voir par celui-ci, quitte à adapter un comportement qui n'est pas le notre.

Nous savons que nos actions ont des conséquences et qu'il aura beaucoup à perdre si nous défions une personne « supérieure » à nous.

Nous faisons alors passer les sentiments d'autrui avant les nôtres.

Nous nous créons ainsi une toute autre personnalité pour pouvoir intégrer la société.

Cette personnalité n'est pas forcément très différente de celle que nous avions avant, nous sommes cependant beaucoup plus soumis par la pression sociale que lorsque nous étions enfants.

Autrui faisant partie de l'institution dans laquelle nous sommes intégrés aura alors une toute autre image de nous que celle de notre famille.

En effet, ils le verront comme une personne « modèle », plutôt calme, alors que notre famille nous verra comme une personne « rebelle ». De plus, quelque chose vient interférer dans la vision d'autrui.

C'est bien notre statut social.

Notre emploi nous acquiert une sorte de valeur.

Un exemple récent pour illustrer cela serait la caméra caché d'Omar Sy suite à la sortie de la série Netflix « Lupin ».

Omar Sy est un acteur connu du public français, cependant lorsqu'il s'infiltre dans le métro parisien en tant que colleur d'affiche, personne ne semble le reconnaître.

Le fait est qu'il arbore la tenue de travail d'un colleur d'affiche.

De ce.... »