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Expliation de texte Rousseau - Lettres écrites de la montagne: justice et égalité

Publié le 21/06/2022

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rousseau

« Entrainement commentaire philosophie : Explication de texte Rousseau : Dans la neuvième lettre des Lettres écrites de la montagne de 1764 Rousseau aborde la notion de justice.

Il définit la justice comme l’égalité pour tous.

La justice fait référence à un équilibre, elle doit assurer une harmonie au sein d’une population.

Mais la justice définit également l’ensemble des lois.

Dans cette appellation, on impose aux lois d’être juste.

Pour Hobbes, la justice n’existe pas à l’état de Nature, mais elle se met en place lors de la civilisation, lors de la création d’une société.

La justice n’a pas une définition universelle, elle varie selon les époques, les régions et les personnes.

Rousseau nous propose une réflexion sur la justice. Le texte commence par « Le premier et le plus grand intérêt public est toujours la justice.

», Rousseau affirme que la justice est universellement recherchée par les peuples.

La justice suscite de l’intérêt.

Il place la justice au centre des préoccupation.

« Tous veulent que les conditions soient égales pour tous, et la justice n’est que cette égalité » la deuxième phrase a pour but de donner une définition de la justice.

Rousseau voit la justice dans l’égalité pour tous.

Cela fait écho à un John Rawls, philosophe américain du XXe siècle, qui voit la justice comme une équité sociale.

« Le citoyen ne veut que les lois et que l’observation des lois » l’auteur utilise le therme de citoyen qui renvoi à une appartenance juridique à une nation.

Il fait référence à la justice institutionnelle qui est l’ensemble des lois.

Le citoyen veut une justice par des lois.

Les lois sont le cadre de la société, elles installent un ordre.

Pour Platon, la justice est l’ordre idéal.

Et le citoyen veut que l’observation des lois, c’est-à-dire que les lois soient respectées.

« Chaque particulier dans le peuple sait bien que s’il y a des exceptions, elles ne seront pas en sa faveur.

» cette phrase résume le fait que les exceptions ne sont jamais bonnes.

Si la loi n’encadre pas une situation, l’individus serra défavoriser.

« Ainsi tous craignent les exceptions, et qui craint les exceptions aime la loi.

» Rousseau conclu son paragraphe et ainsi sa réflexion sur la justice par les lois.

La justice institutionnelle nous est présentée comme un bouclier pour les citoyens.

Il évite les injustices des exceptions et nous protège. Et c’est parce qu’elle nous protège que c’est le plus grand intérêt public. Dans la deuxième partie du texte, Rousseau nous présente une injustice qui passe entre les mailles des lois.

Il montre les effets pervers des sociétés.

« Chez les chefs c’est tout autres, ils cherchent des préférences partout » Rousseau s’épare le peuple du gouverneur.

Le peuple suit les lois bonnes ou mauvaise, alors que le chef suit les lois qui l’intéresse.

« S’il veulent des lois, ce n’est pas pour leur obéir, c’est pour être les arbitres » les chefs ne suivent pas les lois mais les font respecter.

Cela peut nous rappeler la fête organiser par Boris Johnson (ancien ministre anglais) en pleine crise Covid, alors que tout rassemblement n’était pas autorisé.

« Ils veulent des lois pour se mettre à leur. »

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