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BLASONS ET CONTRE-BLASONSUne évocation poétique du

Publié le 23/05/2020

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BLASONS ET CONTRE-BLASONS

Une évocation poétique du
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« BLASONS ET CONTRE-BLASONS Une évocation poétique du corps féminin Cette anthologie poétique regroupe 5 poèmes sur le thème du Blason : 1) La courbe de tes yeux de Paul Eluard, 1924 2) Vous faites voir des os de Paul Scarron, 1654 3) Vénus anadyomène d’ Arthur Rimbaud, 1870 4) Femme noire de Léopold Sédar Senghor, 1945 5) A une laide amoureuse de Jean Auvray, 1623 La femme est depuis très longtemps utilisé comme thème poétique.

Elle occupe une place importante dans la société passée et actuelle.

Plusieurs artistes l'idéalisent par son corps.

En littérature, ce sont surtout les poètes qui, au cours des siècles, ont été très nombreux à venter le corps de la femme.

Ainsi l'organisation de ce corpus est chronologique avec des exemples pris du XVIe au XXe siècle .Les poèmes les plus anciens sont présentés en vieux français pour garder la musicalité des mots.

Le "blason" est un court poème qui fait l’éloge d’une femme par un détail physique ("Blason du beau tétin" de Marot, "Le Front" de Maurice Scève", "Blason de l'œil" de Mellin de Saint-Gelais, "Le Blason" de Georges Brassens, ...

). Dans le même esprit, certains poèmes évoquent le corps entier en détaillant successivement ses différentes parties ("Marie, vous avez la joue aussi vermeille..." de Ronsard, "L'Union libre" de Breton). Quand le blason se fait satirique, on parle alors de "contre-blason" ("Blason du laid tétin" de Marot, "O beaux cheveux d'argent..." de Du Bellay). Le blason ne suit pas de règle fixe.

A l'époque de Marot, il est généralement bref, en rimes plates, en octosyllabes ou décasyllabes.

D'habitude, on s'adresse directement à la partie du corps célébrée en empruntant le modèle rhétorique de l'apostrophe.. »

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