11 résultats pour "1674"
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Quelle règle poétique Boileau définit-il principalement dans cet extrait de l'Art poétique (1674)?
Quelle règle poétique Boileau définit-il principalement dans cet extrait de l'Art poétique (1674)? N'offrez rien au lecteur que ce qui peut lui plaire.Ayez pour la cadence une oreille sévère.Que toujours, dans vos vers, le sens coupant les mots,Suspende l'hémistiche, en marque le repos.Gardez qu'une voyelle à courir trop hâtée,Ne soit d'une voyelle en son chemin heurtée.Il est un heureux choix de mots harmonieux.Fuyez des mauvais sons le concours odieux.Le vers le mieux rempli, la plus noble...
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PEINTURE: Philippe de Champaigne (1602-1674)
Philippe de Champaigne (1602-1674) Un talent austère. Philippe de Champaigne se destine de bonne heure à la peinture. Il fréquente les ateliers de Monset de Bruxelles, sa ville natale. Poussé par le désir, commun à tous les artistes de l'époque, de visiter l'Italie, lejeune peintre quitte Bruxelles en 1621. Il passe par Paris où il travaille chez Lallemand, puis rencontre NicolasPoussin qui lui procure des commandes pour décorer les appartements de Marie de Médicis. Au palais duLu...
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LABADIE, Jean de (1610-1674)Réformateur et mystique calviniste, sa doctrine tend à ramener les Eglises protestantes au christianisme primitif.
LABADIE, Jean de (1610-1674) Réformateur et mystique calviniste, sa doctrine tend à ramener les Eglises protestantes au christianisme primitif.
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Nicolas Boileau, Art poétique, chant II, v 82-94, 1674. Commentaire
Nicolas Boileau, Art poétique , chant II, v 82-94, 1674 . 1. On dit, à ce propos, qu'un jour ce dieu bizarre (1), 2. Voulant pousser à bout tous les rimeurs françois, 3. Inventa du Sonnet les rigoureuses lois : 4. Voulut qu'en deux quatrains de mesure pareille 5. La rime avec deux sons frappât huit fois l'oreille ; 6. Et qu'ensuite six vers, artistement rangés, 7. Fussent en deux tercets par le sens partagés, 8. Surtout, de ce poème il bannit la licence : 9. Lui-même en mesura le nombre...
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CHAMPAIGNE ou CHAMPAGNE, Philippe de(1602-12 août 1674)PeintreC'est en 1613 que Philippe de Champaigne commence son apprentissageà Bruxelles chez Jean Bouillon.
CHAMPAIGNE ou CHAMPAGNE, Philippe de (1602-12 août 1674) Peintre C’est en 1613 que Philippe de Champaigne commence son apprentissage à Bruxelles chez Jean Bouillon. Puis il passe par les ateliers des peintres Bourdaux et Fouquières. En 1621 il se décide à partir pour l’Italie, mais, sous la direction de Duchesne, il participe aux travaux qu’implique alors la construction du palais du Luxembourg à Paris. Marie de Médicis lui accorde le titre de peintre ordinaire de la reine mère, ainsi qu’un log...
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CHAMPAIGNE ou CHAMPAGNE, Philippe de (1602-12 août 1674) Peintre C'est en 1613 que Philippe de Champaigne commence son apprentissage à Bruxelles chez Jean Bouillon.
CHAMPAIGNE ou CHAMPAGNE, Philippe de (1602-12 août 1674) Peintre C’est en 1613 que Philippe de Champaigne commence son apprentissage à Bruxelles chez Jean Bouillon. Puis il passe par les ateliers des peintres Bourdaux et Fouquières. En 1621 il se décide à partir pour l’Italie, mais, sous la direction de Duchesne, il participe aux travaux qu’implique alors la construction du palais du Luxembourg à Paris. Marie de Médicis lui accorde le titre de peintre ordinaire de la reine mère, ainsi qu’un log...
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ORLEANS, Philippe, duc d' (4 août 1674-2 décembre 1723) Régent de France (1715-1723) C'est à la mort de son père en 1701 que le duc de Chartres, Philippe, devient duc d'Orléans.
ORLEANS, Philippe, duc d’ (4 août 1674-2 décembre 1723) Régent de France (1715-1723) C’est à la mort de son père en 1701 que le duc de Chartres, Philippe, devient duc d’Orléans. Son oncle est le roi Louis XIV . Celui-ci est aussi son beau-père puisqu’il épouse mademoiselle de Blois, fille du roi et de madame de Montespan . C’est avec bravoure et efficacité qu’il a servi comme général au siège de Mons en 1691, lors de la prise de Namur en 1692. Il s’est encore illustré et a été blessé en 1693....
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ORLEANS, Philippe, duc d'(4 août 1674-2 décembre 1723)Régent de France (1715-1723)C'est à la mort de son père en 1701 que le duc de Chartres, Philippe,devient duc d'Orléans.
ORLEANS, Philippe, duc d’ (4 août 1674-2 décembre 1723) Régent de France (1715-1723) C’est à la mort de son père en 1701 que le duc de Chartres, Philippe, devient duc d’Orléans. Son oncle est le roi Louis XIV . Celui-ci est aussi son beau-père puisqu’il épouse mademoiselle de Blois, fille du roi et de madame de Montespan . C’est avec bravoure et efficacité qu’il a servi comme général au siège de Mons en 1691, lors de la prise de Namur en 1692. Il s’est encore illustré et a été blessé en 1693....
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Explorer les fondements du panorama : la « Vue d’Athènes en 1674 »
Raphaëlle Merle, biographie personnelle Raphaëlle Merle est doctorante en histoire de l’art de la période moderne à l’Université ParisNanterre, sous la direction du Professeur Marianne Cojannot-Le Blanc, au sein de l’école doctorale 395 - Milieux, cultures et sociétés du passé et du présent et de l’Équipe d’accueil 4414 Histoire des Arts et des Représentations (HAR). Elle travaille sur les représentations ayant trait à l’Antiquité associées aux voyages des ressortissants d’Europe occidentale...
- Dans l'Art poétique (1674), Boileau analyse ce qui contribue à l'échec ou à la réussite d'une pièce de théâtre. Pour le choix du thème et la mise en oeuvre de l'intrigue, il écrit : « Jamais au spectateur n'offrez rien d'incroyable ; / Le vrai peut quelquefois n'être pas vraisemblable ;/ Une merveille absurde est pour moi sans appas :/ L'esprit n'est point ému de ce qu'il ne croit pas. » Pensez-vous que ces préceptes, établis à l'époque du théâtre classique et pour lui, puissent être
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Boileau, Art poétique, chant I, vers 27 à 63 (1674) - commentaire
C’est dans L’Art poétique (1674) que figure l’essentiel du message critique de Nicolas Boileau (1636-1711). La construction de cet ouvrage est rigoureuse et symétrique. Les chants I et IV sont consacrés à des considérations générales : le chant I définit les grandes règles de l’écriture, tandis que le chant IV analyse le comportement de l’écrivain. Les chants II et III présentent des études plus particulières. Le chant II se penche sur les formes littéraires alors considérées comme mineures...