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Russell et Le calcul des propositions : « l'étude de la logique devient l'étude centrale de la philosophie»

Publié le 18/06/2020

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« Russell ne prétend pas que l'on pourrait, parce moyen, résoudre tous les problèmes. Dans la lignée du positivisme, il pense plutôt qu'unetelle formalisation permettra de distinguer les vrais problèmes - ceux qui peuvent donner lieu à une résolution - des faux problèmes ceux qui ne peuvent être résolus et dont le caractère indécidable sera désormais clairement apparent: par exemple le problème de l'existence de Dieu, problème métaphysique par excellence [voir saint Anselme], que Russell considère comme une simple possibilité logique, qui ne peut être soumise à aucun test expérimental. »

« Russell Le calcul des propositions : « l'étude de la logique devient l'étude centrale de la philosophie» ■ Indications générales Bertrand Russell (1872-1970) est un philosophe et logicien anglais qui inaugure ce que l'on appelle la philosophie analytique.

Celle-ci part du post ulat que notre pensée est déterminée par notre larigage.

Pour résoudre les problèmes de la philosophie, il faut donc épurer le langage de ses ambiguïtés.

Dans les Principia Mathematica (1913) Russell répond à Leibniz* et développe une méthode d'analyse des énoncés, notam­ ment mathé matiques, qui permet de les réduire à des prr:>positions élémentaires, des « atomes logiques», à partir desquels on pourra calculer leur valeur de vérité. ■ Citation « C'est de cette manière que l'étude de la logique de�3(@U l'étude centrale de la philosophie.

Elle donne une méthode de recherche à la philosophie, exactement comme les mathématiques à la phy­ sique.

Et comme la physique, qui ne fit aucun progrès depuis Platon jusqu'à la Renaissance, demeura obscure et superstitieuse, pour de�(@5r une science grâce aux obser�U3A@Q nou�(. »

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