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Philo, chapitre sur la morale

Publié le 21/06/2025

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« Chapitre 3 : La responsabilité morale Notion : Morale/Liberté, Droit/Justice La responsabilité suppose que je suis la seule origine de mes actes, donc je ne suis pas soumis à un déterminisme.

Car si l’homme n’est pas libre alors il n’est pas responsable. Un petit garçon qui vole une pomme, ne sera pas puni car il ne connaît pas le concept de « voler » (Dans la justice, on appelle circonstance atténuante → permet de dire que la personne n’est pas totalement responsable. Jusque où sommes nous responsables de nos actes ? I.

La liberté morale Kant (1724-1804).

Réussit à concilier déterminisme et liberté morale. Comment on agit ? L’homme est un être de la nature (mammifère, omnivore…) Volonté : Libre Être de la nature Être de raison Raison : Sensibilité : Appétits / désirs (nous dicte nos interets particuliers) Déterminés (faculté libre, nous dicte des lois Morales universelles) Libres Pour Kant la volonté est la faculté d’agir, elle est libre.

Ainsi elle peut suivre nos inclinaisons/préférences ou notre raison.

Lorsque elle suis nos envies elle est dite « mauvaise », car le sujet est égoiste.

Elle est donc intéréssé . Si elle suit le bien commun elle est dite bonne, et donc désinterrésée. C’est la raison qui dicte les lois morales. Agir moralement est agir à l’encontre de nos désirs.

Même si cela s’oppose à notre bonheur.

C’est aussi ne pas faire quelque chose car ça m’est utile mais plutot de manière désintéréssée. Pour Kant nos actions sont morale que si elle est animée par le soussi du respect de la loi morale. Volonté : Libre Bonne volonté Intérets égoistes La morale universelle Kant estime que la loi universelle est plus importante que les intérêts (si par exemple tu devais cacher un ami car il se fait chercher par des mauvaises personnes qui lui veulent du mal.

Même dans ce genre de cas extrêmes la morale te dicte de dire la vérité et non de mentir pour le cacher, même si cela le mettrait en danger.) La raison dicte la morale. Quand j’agis il faut que je me dise que je veux que tout le monde le fasse. (Ex : si je ment.

Est ce que je peux vouloir que tout le monde mente tout le temps ? → La parole n’aurait plus de sens et on aurait confiance en personne.

Donc je dois dire la vérité. (Ex : Si je vole alors j’admets par conséquent que tout le monde vole → La propriété privé n’existerait plus, tout ce qui est à moi tout le monde peut le prendre. Quand j’agis, je dois bien vouloir que tout le monde fasse la même chose que moi. (Ex : Si je jette quelque chose par terre.

Soit j’admets que le sol est une poubelle, soit que quelqu’un va passer derrière moi.

Donc j’admets l’esclavage.) « Après moi le déluge » → Après ma mort je m’en fous si le monde ce fini. Et cette loi morale s’énonce sous la forme d’un impératif catégorique.

Première formulation : « Agis de telle sorte que la maxime de ton action puisse être érigée en loi universelle de la raison.

» -Kant (loi moral kantienne) . → Principe d’universalisation de l’action : je dois vouloir que tout le monde fasse comme moi. (Ex : vol/mensonge, pour Kant) Critique de la raison pratique : (« Que dois-je faire » → question du devoir) Seul l’intention compte (intention pure) Morale de principe, de l’intention Morale du devoir : morale déontologique Marx Weber l’appelle, éthique de conviction (les devoirs et les interdits→ dans le christianisme le bien et le mal) Kant distingue entre l’impératif catégorique et d’autres formes d’actions.

« Je ne ment pas car c’est mauvais » et « je ne ment pas car je serais puni » (ex : les religieux qui agissent bien pour avoir accès aux paradis, ce ne sont pas des actes moraux mais intéressés .) même si j’ai fais quelque chose morale, dès le moment où je me dis « j’ai bien agis » mon intention devient égotiste. (Ex : Chrétiens et les dividendes à l’église pour acheter sa place au paradis.) Une action où l’on cherche une récompense : par peur de la punition, par intérêt, pour plaire, etc. C’est à dire agir pour servir son intérêt. = impératif hypothétique ( pour obtenir quelque chose).

C’est à dire.

Si tu veux alors tu dois… Un devoir qui est conditionné par la récompense. Kant est pessimiste et pense que le mal est radical (la racine) .

L’homme n’agit donc que pour recevoir quelque chose en retour.

Même quand on agit bien on sert nos propres intérêts.

Nos intentions sont jamais pures. (Un marchant qui rattrape une cliente qui à oubliée son argents, ne lui rend pas cet argent juste pour lui rendre mais plutôt pour la fidéliser.) Jankélévitch pense que la bonté existe mais qu’elle est instantané .

Dans instantanéité la morale existe.

(ex : quelqu’un qui tombe à vélo) mais lorsque l’événement est fini.

On s’ auto satisfait et la moral devient égoïsme.

La bonne volonté devient mauvaise. (l’enfant commence à obéir car il a peur des punitions, puis pour être accepté par les autres puis plus grand il prends connaissance ce la loi moral et y adhère.) Kant pose la question du malheur. (parenthèse sur la charité : en principe acte gratuit et désintéressé qui n’attend rien en retour.

La logique du don (M.MAUSS : donner sans rien attendre en retour). La charité est humiliante, elle laisse celui à qui on donne une position d’infériorité.

Il faudrait que cette « charité » soit accompagnée d’un échange verbale ou autre, mais de cette manière celui qui donne reçoit quelque chose ne retour : de la reconnaissance, de la fierté. Ainsi il faut instauré une relation, car le dont met l’autre en position d’obligé, donc le dont nécessite un contre dont.

(ex : Le potlatch est un type de festin pratiqué par les peuples autochtones de la côte nord-ouest du Pacifique au Canada et aux États-Unis1, au cours duquel de nombreux cadeaux sont donnés des uns aux autres.

sert également de régime strict de gestion des ressources, où les peuples de la côte discutent, négocient et affirment les droits et les usages concernant des territoires et des ressources spécifiques) Le potlatch renvoie en philosophie à la notion de dépense pure (cf.

Georges Bataille et Marcel Mauss).

C'est un processus placé sous le signe de la rivalité : il faut dépasser les autres dons.) II La responsabilité pénal Problème du droit criminel lorsqu’un crime est commis (situation de la personne qui ayant commis une infraction, crime ou délit, doit en rendre compte.) 1832 on pose la question : jusqu’où l’auteur est responsable de ce qu’il fait ? Il n’y a t’il pas derrière du déterminisme ? Agit-il pas à cause d’une démence même passagère ? On prend en compte les circonstances atténuantes.

(ce sont des experts qui l’étudient) Faits (Actes) problème du mal Responsabilité (liberté ou non) Culpabilité (la faute) III La banalité du mal Généralité : les crimes contre l’humanité WWII, on constate que 80% de la population à été dans la collaboration active.

Comment est-ce possible d’étendre le mal à toute une population. Adolf Eichmman était un haut dignitaire nazi chargé de la logistique et donc chargé des transports juifs.

Il est partit en Argentine et est retrouvé en 1960 et à été jugé à Jérusalem au tribunal international et transmit en toutes les langues.

Une philosophe Hannah Arendt à été envoyée par les NY Times.

Elle aura écrit L’origine du totalitarisme elle soutien la thèse de la « banalité du mal ». Elle pense que les gens qui ont perpétué le mal du nazisme, ne l’ont pas fait par haine, ni parce que se sont des monstres, mais étaient des personnes normales, ordinaires, comme vous et moi. Hannah Arendt : 1906-1975 l’homme peut commettre.... »

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