Montserrat de Emmanuel Roblès (fiche de lecture)

« Montserrat Montserrat est une pièce de théâtre écrite en 1948 par Emmanuel Roblès.

Elle parle de la guerre civile au Venezuela.

Elle est à la fois polémique et tragique. Personnages Montserrat : officier espagnol, il à trahi son pays en prévenant Bolivar du plan qui de sa capture.

Il est d’uncourage incontestable quand il s‘agit de sauver la liberté du peuple Vénézuélien tout entier. Bolivar : chef des révolutionnaires, il se bat contre les Espagnols pour la libération de la Venezuela.

Il parvint às’enfuir grâce à Montserrat. Izquierdo : premier lieutenant du capitaine général Monteverde, animé par un sentiment de vengeance enversles Vénézuéliens, il essayera en vain de faire parler Montserrat et espère se marier avec Elena.

Le père Coronil : moine capucin, chapelain de Monteverde favorable au massacre des Vénézuéliens. Zuazola : officier espagnol. Moralès : officier espagnol. Antonanzas : officier espagnol. La mère : otage, elle supplie jusqu’au bout Montserrat de la sauver au moins pour ces deux enfants dont leplus jeune âgé de cinq mois. Elena: otage, adolescente prête à mourir pour sauver les Vénézuéliens et pour échapper à Izquierdo. Juan Salcedo : otage, comédien ayant joué devant Izquierdo. Salas Ina : otage, riche marchand comblé par la vie. Arnal Luhan : otage, potier très talentueux de jarres pleureuses. Ricardo : otage, adolescent ayant perdu son père à cause des massacres Espagnols, il est donc prêt à mourirpour la cause que défend Montserrat. Résumé Acte I Trois officiers espagnols (Zuazola, Moralès et Antonanzas) évoquent la trahison qui a permis à Bolivar, le chef desnationalistes vénézuéliens, de s’enfuir.

Après un long récit exprimant les atrocités de cette guerres entre lesoppressants Espagnols et les oppresser Vénézuéliens ; ces officiers nous font part de leurs soupçons convaincusd’un traitre dans l’un d’entre eux.

Bolivar en effet à put être prévenu que par un officier en connaissance des plansqui se préparaient contre lui.

Les officiers décident donc de procéder par élimination pour démasquer le traitre etarrivent finalement à la conclusion que le seul qui a eut l’occasion de prévenir Bolivar est sans aucun doutesMontserrat.

De plus leurs soupçons sont vite vérifiés grâce à Montserrat qui confirme sa trahison de lui même.

Il vamême jusqu’à exprimer ouvertement son dégoût total devant la violence de la répression espagnole.

Mais il n’arrive àconvaincre ni les officiers, ni même le père Coronil qui défend obstinément le combat des Espagnols contre lesrebelles qui est pour lui un combat contre le Mal se qui justifie crimes des Espagnols.. »