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Le dieu bleu

Publié le 23/05/2020

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« Le sacre du Printemps 1913 Anne journo est une Danseuse professionnelle depuis plus de 20 ans, elle partage depuis 12 ans réflexions et créations avec Clara Cornil en tant qu’interprète.Elle travaille avec les metteuses en scène Léa Dant et Laurence Andréini, et participe à différentes performances avec des plasticiennes et des musiciens.

Elle mène de façon régulière des ateliers dans les crèches, les maternelles, les lycées… Elle propose également des ateliers d’improvisations dans un esprit de recherche permanente où elle développe une écoute au coeur de la sensibilité de chacun et permet de laisser émerger sa relation au mouvement, aux sons, à l’espace, au rythme en écoutant profondément l’instant présent.

Elle enseigne également le yoga.

Dans les bâtiments de la coursive, scène national de La Rochelle , elle nous a transmit durant les mois de septembre et octobre 2019 , les différents corps du sacre du Printemps de 1913. Présentation de l’œuvre collective (reception, archive) : « La belle époque » , c'est ainsi que l'on nomme les année d'avant guerre qui traduise la modernité de l’œuvre.

En effet cette période se construit sur des progrès social (premier salon de peinture , sculpture,développement médecine , tourisme) , des progrès économique , politique et technologique (automobile, aéroplane , cinéma, photo).

En somme c'est une vraie période d’expansion et de modernité , on crois au progrès. A Paris les ballets original s'affaiblissent, des chorégraphes s'en vont en Russie pour les renouveler (Marius petit pas). Le sacre du Printemps est un ballet composé par Stravinski et chorégraphié par nijinsky entre 1910 et 1913 pour le fondateur des ballet russe , Serge de Diaghuilève (1872-1929). Celui si est un agitateur , il met a mal les conservateurs dans la mise en place d'idée novatrice.La composition de l’œuvre se fonde sur un rite sacral païen, les vieux sages, assis en cercle, et observant la danse à la mort d'une jeune fille, qu'ils sacrifient pour leur rendre propice le dieu du printemps.C'est une série de cérémonie de l'ancienne Russie.

On vois des danseurs dans un corps contraint vêtue de tenue traditionnelles.

Les déplacements ce font en groupe, en cercle, ou en farandole comme pour symboliser une communautés.

Le sacre à provoqué un scandale artistique du fait premièrement de la musique , le rythme qui se qualifié comme un chahut ou un vacarme est un élément principale de l’œuvre(agrégat sonore) .Stravinsky introduit une rupture fondamentale , il juxtapose de façon dissonante des éléments variés.

Il tranche le tissu sonore, lorsqu’une section s’interrompt, une autre de nature très différente apparaît, sans transition.

Pierre Boulez parle d’une barbarie très élaborée.

On constate donc l’avènement d'une autre conception du temps musical fragmenté, discontinu.

Sa musique est fondée sur le rythme et non plus sur la mélodie.

.Le Sacre du printemps en 1913 apparaîtra comme une rupture dans les codes de la représentation des corps en vigueur dans la danse de l’époque.

Nijinsky élabore une danse à la mesure de l'ambiance musical ,pieds en dedans, têtes penchées, épaules décalées à l’opposé de la technique de l’élévation par la danse classique, les petits sauts répétitifs, piétinements renvoient à la terre, aux éléments naturels .

Cela donne l'impression d’un corps désarticulé animé d’impulsions qui brisent tout déploiement des gestes .Cette danse donne naissance à un corps inédit, segmenté, le danseur n’est plus obligé de mettre du liant dans ses gestes successifs .Cela révèle la nature sauvage et est perçue par le public comme une barbarie.« Le Sacre rejette toute séduction, toute grâce. »

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