la mémoire et l'histoire

« Adam trivino HGGSP La mŽmoire et lÕhistoire sont deux choses diffŽrentes mais ont toutes les deux un lien avec le passŽ, la mŽmoire peut quant ˆ elle tre collective ou individuelle, cÕest a dire que la mŽmoire collective est la reprŽsentation sŽlective dՎvŽnements qui participent ˆ la dŽÞnition de lÕidentitŽ dÕun groupe.

Alors que le mŽmoire individuelle est constituŽ est faite seulement de souvenirs dÕune mme et unique personne, ainsi un tri de souvenir est effectuŽ par cette dernire.

Alors lÕhistoire, elle est une science.

CÕest un processus du passŽ visant ˆ une comprŽhension, une interprŽtation du passŽ, fondŽ sur lÕanalyse de traces de toutes sortes laissŽes par lÕactivitŽ humaine.

Donc cÕest a dire que lÕhistoire va rechercher ses sources dans la mŽmoire des acteurs, donc archives et tŽmoignages cependant parfois les conßits de mŽmoires peuvent empcher la crŽation dÕhistoire, ou tout simplement un conßit entre la mŽmoire individuelle est un historien.

Cependant pour que les deux soient Žtablis clairement quelque chose est mit en place, cÕest la justice.

En effet les diffŽrentes forment de justices permettent, de certiÞer, dÕofficialiser certaines ŽvŽnements, avec par exemples les lois mŽmoriels, permettant ainsi de crŽer lÕhistoire.

de plus la justice, permet aussi de reconnnaitre la mŽmoires de victimes avec leurs interventions et autres, mettant en place la crŽation de la mŽmoire, mais une mŽmoire ainsi collective.

Ainsi tous les ŽlŽments se compltent pour la crŽation de notre humanitŽ, cependant cela est fait sous plusieurs Žchelles mettent en place diffŽrents systmes Ainsi nous avons voir comment la justice permet-elle l'Žtablissement d'une mŽmoire personnelle et collective en parallle avec des travaux historiques ˆ diffŽrentes Žchelles? Pour rŽpondre a cela nous allons voir dans un premier temps en quoi la judicature aux niveaux local et national est un ŽlŽment de la construction de la mŽmoire personnelle et collective .

Puis ensuite dans un second temps, en quoi la justice internationale est devenu un processus essentiel ˆ lÕavancement Dans cette partie nous verrons la justice sous plusieurs Žchelles, notamment locale et nationale.

LÕexemple parfait pour cela sont les tribunaux gacaca au Rwanda.

En.

Effet suite a un gŽnocide violent de 100 jours du 7 avril au 7 juillet 1994, le pays est incapable de juger les centaines de milliers de criminels qui hŽbergent dans les prisons.

Alors des tribunaux populaires nommŽs Gacaca sont mis en place Rwanda en 2005, notamment inspirŽ des assemblŽes traditionnelles, tout cela se passe a toit ouvert.

On assistera alors ˆ la mise en place de environ 12 000 gacacas Lors du dŽbut des annŽes 90 un guerre Žclate au sein du pays opposant alors le FPR ( font patriotique rwandais ) composŽ de tutsis anciens exilŽs, et et les forces armŽs du prŽsident Hutu.

Un accord a tentŽ dՐtre mit en place pour inclure les tutsis dans la population rwandaise, mais cela Žchoue, cÕest alors que le 6 avril 1994 lÕavion prŽsidentiel est touchŽ par un missile.

Directement les extrŽmistes Hutus accusent le FPR dÕavoir commit cet attentat, et directement des le lendemain les milices des Hutus commencent un massacres qui va durŽ 100 jours du 7 avril AU 7 juillet 1994.

Les principaux touchŽs par ce gŽnocide sont les tutsis, ainsi que des Hutus modŽrŽ et opposants Hutus.

Les crimes ont commencŽ depuis un moment, mais cÕest seulement le 22 juin que lÕONU a le droit dÕintervenir, une opŽration franaise est alors mise en place du nom de lÕoperation Ç TURQUOISE È, gr‰ce a a une zone de refuge est mise en place , et aidant ainsi a la crŽation dÕun gouvernement dÕunion nationale mettant Þn aux tueries de masse, en effet on compte 800 000 victimes.

Ainsi des 1994, lÕONU voulait mettre en place un tribunal international pour le Rwanda, mais face aux 120 000 arrtŽs qui sont trop nombreux et qui sÕentacent dans les prisons rwandaise, le gouvernement rŽactivŽ dÕanciennes. »