La conscience

« Vendredi 30 Septembre 2016 GATARD Noëlia Terminale L Dissertation de philosophie Le sujet ici, est « Pourquoi refuse-t-on la conscience à l’animal ? ». A travers celui-ci, on peut s’apercevoir qu’il y a une réflexion précise, c'est-à-dire que le « pourquoi », suscite une interrogation sur la cause ou le but.

On peut voir également, que le « refus » montre une non-acceptation de la conscience à l’animal.

Le « on », se traduit par un groupe de personnes ou le plus souvent quelque chose qui n’est pas déterminé, comme une personne, un insecte ou encore un meuble... Mais par ailleurs, cela montre qu’il y a une adéquation avec la notion de refus et donc avec le but rechercher.

Ensuite « l’animal », est désigné comme étant un être vivant doué de mobilité mais qui est cependant en opposition total avec l’homme et qui est dépourvu de langage. Nous pourrons donc répondre à ses interrogations, à l’aire de la problématique suivante, y’a-t- il un degré de conscience chez l’animal semblable à celui de l’homme ? Ainsi que, grâce au plan : en première partie la conscience et en seconde partie la pensée de Descartes par rapport à la conscience animal La conscience se défini par une certaine capacité à se percevoir, à s’identifier, à penser et à se comporter de manière adaptée selon l’environnement qui entoure l’homme.

Elle est une représentation claire de l’existence de la réalité. Néanmoins, dans la conscience, il faut distinguer, la conscience morale, la conscience spontanée et la conscience réfléchie, car elles ne signifient pas la même chose. La conscience morale, est la capacité que l’homme possède, à pouvoir analyser ses propres actions en bien comme en mal, ce qui apporte un jugement sur soi-même.. »