Databac

Khôlle n°2 Philosophie Résumé de texte : Jean-Claude Michea « L’enseignement de l’ignorance »

Publié le 30/03/2022

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Khôlle n°2 Philosophie Résumé de texte : Jean-Claude Michea « L’enseignement de l’ignorance ». Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Philosophie.

« Khôlle n°2 Philosophie Résumé de texte : Jean-Claude Michea « L’enseignement de l’ignorance » De nos jours, capitalisme et communisme semblent être ancrées dans nos sociétés modernes.

Le philosophe et enseignant Michea pense lui que le projet philosophique libéral s’accomplit dans le « monde sans âme du capitalisme ».

Ainsi il écrit ce livre suite aux nombreuses transformations de notre société qui conduisent à un déclin de l’intelligence et du sens du langage dans nos sociétés modernes.

L’auteur dans ce texte défend la thèse selon laquelle les sociétés modernes se basent sur un programme philosophiques développés du 17 ème au 18 ème siècle, le capitalisme.

Comment le capitalisme s’est développé pour devenir un acteur de nos sociétés modernes ? Dans une première partie, de la ligne 1 à la ligne 7, nous verrons que Marx, pionnier du communisme, caractérise notre société de capitaliste.

Dans une seconde partie de la ligne 8 à la ligne 27 nous verrons que la naissance du capitalisme ne peut être déterminé avec exactitude.

Pour finir, nous verrons le développement du capitalisme et sa mise en œuvre.

(à revoir pour le plan et la problématique et la thèse). La première phrase du Capital de Karl Marx (philosophe allemand et pionnier du communisme) caractérise l'essence du capitalisme : « La richesse des sociétés dans lesquelles règne le mode de production capitaliste s'annonce comme une immense accumulation de marchandises.

L'analyse de la marchandise, forme élémentaire de cette richesse, sera par conséquent le point de départ de nos recherches.

» La marchandise est un produit de l’activité humaine destiné à être échangé sur un marché via de l’achat de la vente, c’est un objet extérieur qui par ses propriétés satisfait des besoins humains.

Toute chose utile comme le fer, le papier, etc… peut ainsi être considérée comme une marchandise, son utilité définit sa « valeur d’usage ».

Une fois produite, la marchandise est ensuite vendue au moyen de la monnaie sur la base d’un prix, c’est sa « valeur d’échange », elle est le reflet du temps de travail socialement nécessaire pour la produire, avec des variations liés à la loi de l’offre et la demande.

Si certains pensent que la production est organisée pour répondre aux besoins sociaux, notamment depuis Adam Smith, il est certain que les publicités tende à adapter nos besoins à ce que les capitalistes désirent écouler.

Ainsi le capitalisme peut croître en soumettant toutes les activités humaines à son profit pour des échanges marchands.

C’est pourquoi dans notre société nous voyons la privatisation de services tels que la santé, l’éducation, l’électricité ou l’eau, ou encore on peut voir le développement de la notion d’offre et de demande, notamment avec la bourse et les actions qui s’échangent en permanence à travers le monde.

Avec le temps, tout est donc devenu marchandise, on observe donc un phénomène de marchandisation qui est profitable au capitalisme et à son développement.

Marx définit le capitalisme comme ayant deux caractéristiques principales : (1-) des « capitalistes » ayant la propriété privée des moyens de production et des prolétaires n'ayant que leur force de travail à proposer ; (2-) une dynamique animée par les capitalistes, fondée sur l'accumulation de leur capital productif et guidée par la recherche du profit.

De ce fait, le capitalisme se caractérise ensuite par le développement continu des techniques qui permettent de produire de plus en plus, afin de faire diminuer les prix et de ne garder que les entreprises qui sont les plus rentables.

Ainsi de plus en plus de personnes se retrouvent dans la classe prolétarienne, une classe qui à du mal à acheter les marchandises produites par le système, alors que la concentration du capital réside dans un petit nombre de mains.

Aujourd’hui, il est facile de voir que notre société, du moins occidentale, repose sur la notion de biens privées, et les entreprises ne cherchent bien qu’une chose avant tout, le profit afin de rester rentable et de pouvoir exister sur le marché.

Tout le développement de la bourse et des biens immatériels laissent penser. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles