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Henryk Sienkiewicz: Quo vadis ? (Résumé & Analyse)

Publié le 15/05/2020

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« Paru en 1895, ce livre eut un succès foudroyant ; en un an, la version anglaise se vendit à huit cent milleexemplaires.

Il a été traduit en une trentaine de langues et on en a tiré une pièce de théâtre, un opéra et troisfilms, dont une supeiproduction américaine, en 1951.

L'auteur a reçu le prix Nobel de littérature en 1905. A Rome, les premiers chrétiens vont subir les persécutions de Néron. « Le sermon le plus persuasif du siècle » (Mgr Baudrillart) Rorne tremble sous le cruel Néron ; la belle Lygie, fille du roi des Lygiens, est otage de Rome ; elle a été confiée àPomponia, convertie au culte de Chrestos (le Christ), et est enlevée par Néron, qui la veut en son palais ; sonintention est de lui faire épouser le patricien Vinicius, qui est fou amoureux de la jeune fille, lui a dit son favori lepoète Pétrone.

Le colosse Ursus, fidèle esclave de la princesse, réussit à la délivrer ; Lygie se réfugie dans unecommunauté chrétienne clandestine.

Vinicius retrouve sa trace et se sent attiré par cette religion.

Rome brûle ;Néron, l'incendiaire, accuse les chrétiens du crime et va les livrer aux fauves.

Lygie est condamnée à cette horriblefin ; les jeux du cirque battent leur plein, lorsque Ursus surgit dans l'arène et réussit à libérer sa maîtresse qu'onavait attachée entre les cornes d'un buffle.

Sous la pression de la foule, Néron est obligé de les gracier tous deux.Vinicius retrouve sa fiancée et se convertit à la religion chrétienne. « Une Sienkiewite aiguë » C'est la lecture des Annales de Tacite et un séjour à Rome qui incitent Sienkiewicz à situer son roman dans la Ville éternelle ; avant d'aborder son œuvre, il se livre à de sérieuses recherches sur l'aube du christianisme et lespersécutions.

Une inscription à demi effacée sur la pierre d'une chapelle romaine lui donne son titre.

La légende veutque l'apôtre Pierre, fuyant les sbires de Néron, ait rencontré le Christ et, l'interrogeant : « Quo vadis, Domine ? » («Où vas-tu, Seigneur ? ») se soit entendu répondre : « Puisque tu abandonnes tes brebis, je retourne à Rome pourêtre crucifié à nouveau.

» Paru en France en 1900, Quo vadis ? fut salué avec enthousiasme par le public.

Le romancier Henry Bordeaux note : « Paris souffre d'une Sienkiewite aiguë.

» Anatole France y voit « l'expressionstupide du néochristianisme polonais » ; Léon Daudet trouve que « les chrétiens y sont aussi vides et fantoches queleurs persécuteurs ».

Cette fresque à grand spectacle respecte les normes du roman populaire, qui mêle amour etcrime.. »

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