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Faut-il savoir vivre au présent ?

Publié le 22/02/2022

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« Fanny ABRAHAM T°G PHILOSOPHIE Il ressort souvent que « savoir vivre dans le présent » serait la réponse à la principale quête de l’Homme, soit l’atteinte au bonheurs.

Le présent fait alors parti des trois grandes séquences qui compose cette continuité indéfini qu’est le temps.

Le présent est alors entouré par, l’avant, soit le passé et l’après, soit le futur et d’un point de vu plus logique, le présent est alors l’unique moment on nous pouvons vivre car voyager dans le temps n’est encore qu’un fantasme, la question ne se pose donc pas.

Cependant ici c’est l’aspect spirituel qu’y est abordé et donc le fait de ne vivre que dans le présent sans avoir l’esprit bloqué dans le passé ou focalisé sur les éventualités du futur.

Alors est-il nécessaire d’apprendre à se focaliser sur le présent en faisant abstraction des autres notions du temps ? Nous verrons dans un premier temps que vivre dans le présent semble en effet pourvoir à un certain bonheurs puis nous verrons cependant qu’il semble y avoir des aspects négatifs à cella et enfin nous nous demanderons si il est véritablement possible d’ignorer ce qui entoure le présent. Dans un premier temps, dès lors que nous venons au monde n otre temps est compté car ici le temps n’est pas cette continuité indéfini en effet l’Homme étant mortel, à tout moment la ligne de notre temps est en capacité de se rompre.

Ê tre toujours dans ses pensées à revivre le passé semble alors illogique car de cette façon on perd le peu de temps qu’on nous accorde.

La mémoire est un poids lourd à porter et surtout lorsque l’on s’enferme dans nos souvenirs nous ne pouvons pas envisager notre présent.

De plus le passé ne recueil pas uniquement des bons souvenirs et si le cerveau prends parfois de lui même initiative d’effacer quelques traumatismes, une majorité de ceux si restent en mémoire.

Mais nous nous affligeons ce « devoir de mémoire » pour les actes atroces commis sous nos yeux en silence, comme si, garder à l’esprit la présence de l’horreur pouvait nous empêche de la laisser se produire à nouveau.

Cependant, lorsque le traumatisme empêche de vivre pleinement n’est-il pas préférable de savoir oublier et de vivre l’instant présent ? Le présent est le seul temps qui est véritablement à nous et le passé à ce caractère immobile et inviolable alors se triturer l’esprit en imaginant par exemple ce que l’on aurait ou non dû faire ou dire dans un moment qui ne nous appartient plus est presque de l’ordre de la torture.

Alors ressasser ainsi le passer est un frein qui nous empêche de vivre notre présent et qui nous crée alors un futur passé tout aussi gorgé de souffrance.

Deuxièmement, comme dirait Daniel Pennac « Le pire dans le pire, c’est l’attente du pire ».

L’homme a tendance à être obsédé par ce qui l’attend, car le futur est quelque chose d’insaisissable, bien trop dans l’ailleurs pour s’y attarder.. »

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