Explication de texte Hegel propédeutique philosophique

« Philosophie : Explication de texte Nota bene :Les citations sont en gras pour mieux vous repérer Sujet : Texte de Hegel Ce texte de Hegel, un philosophe allemand du XIXè siècle, mène une réflexion sur la volonté humaine.

Il porte principalement sur cette dernière ainsi que les facteurs qui la déterminent.

Il s’interroge sur le rôle que jouent les circonstances et les aléas sur la volonté.

S'il est possible d'affirmer que les actions humaine sont le résultat de circonstances et que l’on les subit, Hegel lui, défend au contraire la thèse selon laquelle l’homme a le choix d’être passif, ou actif vis à vis de ces circonstances. Tout d’abord comment l’auteur expose deux opinions, l’une après l’autre, sur la volonté humaine ? Ensuite de quelle manière explique-t-il sa thèse ? Quel exemple utilise-t-il pour démontrer sa thèse ? Enfin, comment conclue-t-il ? Pour commencer, Hegel fait le constat suivant : « On dit volontiers : ma volonté a été déterminé par ces mobiles, circonstances, excitations et impulsions » .

Ici, en disant « on dit » l’auteur ne fait qu’exposer une opinion qui est générale, courante.

Il va donc analyser et critiquer cette dernière.

Dans cette première phrase, le philosophe aborde l’idée du « vouloir », c’est-à-dire notre volonté.

La volonté humaine est la faculté se déterminer et d'exécuter les actions que l’on a décidé.

Hegel reprend donc l’idée répandue selon laquelle notre volonté est déterminée par toutes sortes de facteurs.

Parmi eux, il cite : les « mobiles » (c’est-à-dire les raisons qui nous pousserait à agir) et les « circonstances », qui, selon la croyance, influenceraient, provoqueraient notre volonté et donc nos actions.

Ainsi, ce seraient ces pulsions, ces excitations, comme Hegel les cite, qui nous pousseraient à agir de telle ou telle manière. Hegel poursuit en ajoutant : « Cette formule implique que je me suis comporté de façon passive » .

Il explique ici, que si notre vouloir a été déterminé par des circonstances, cela signifie que nous n’agissons pas et ainsi que nous « subissons » les actions extérieure.

Il parle d’une. »