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EMC LES RESEAUX SOCIAUX DOIVENT-ILS SUBSTITUER FACE A LA JUSTICE

Publié le 17/05/2022

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« EMC LES RESEAUX SOCIAUX DOIVENT-ILS SUBSTITUER FACE A LA JUSTICE Introduction : Depuis plusieurs années, les réseaux sociaux sont de plus en plus utilisés pour tout ce qui concerne les accusations envers des personnes populaires ou même ordinaires.

Nous pouvons citer plusieurs hashtag qui ont permis (et permettent encore) aux victimes de raconter leur agression sur internet.

Il y a par exemple le hashtag MeToo ou Balance Ton Porc pour les plus connus.

En e et, dans la majorité des cas, ce sont des agressions sexuelles ou des viols qui sont dénoncés.

Ces hashtag prennent de telles ampleurs que des marches ont été e ectuées à plusieurs reprises en brandissant des pancartes avec ces derniers.

Néanmoins, la Justice n’est pas uniquement faite pour les agressions sexuelles.

D’autres types de victimes ne peuvent pas exposer leur problème à travers les réseaux sociaux.

Il est donc impératif qu’il y ait une di érenciation entre la vraie justice et celle faite sur les réseaux sociaux.

Cependant, pour certaines victimes la Justice ne fait pas assez pour elles.

C’est pour cela qu’elles décident de se tourner vers la communication de leur problème sur les réseaux sociaux, le plus souvent à travers des tweets, qui deviennent généralement viraux.

Les réseaux doivent-ils se substituer à la Justice ? Nous répondrons à cette question grâce à un plan dialectique, dans un premier temps en a rmant que les réseaux sociaux peuvent et doivent se substituer à la Justice.

Dans une deuxième partie, nous allons contrer ces arguments en expliquant comment une seule vraie Justice doit perpétuer.

En n, nous opposerons ces deux parties grâce à la troisième partie. I] ff ff ff fi ff fi fi ff ffi ff ff ff Tout d’abord, nous pouvons dire que oui, les réseaux sociaux doivent se substituer à la justice. Car les réseaux sociaux sont des moyens de dénoncer plus facilement des actes et des faits. En e et, les réseaux sociaux nous permettent de connaître l’existence d'actes à travers le monde entier, a n d’avertir, de témoigner et de se renseigner.

Le fait de pouvoir donner son avis sur les sujets mondiaux peut aussi aider l’administration de la justice.

Car une énormité d’avis sur sur une cause peut amener à revoir une enquête policière et judiciaire .

Ainsi, des sites Web comme « balance ton porc.com » , ont vu le jour grâce à la journaliste Sandra Muller en 2017.

En e et, tout a commencé quand la journaliste Sandra Muller a invité des femmes, via les réseaux sociaux, à donner sous le « #Balancetonporc » Le nombre de personnes ayant puis harcelé sexuellement dans leur travail.

En disant que 95 % des femmes qui dénoncent des violences au travail perdent leur emploi.

Et que la peur de changer de camp… ».

Elle vient dénoncer elle-même son agresseur avec ce hashtag.

Le hashtag ayant subi un grand succès autour du monde, s’est vu ouvrir un site Web a n de déposer des témoignages en anonyme, sur des agressions et violences sexuelles. Di érents hashtag ont été créés depuis et permettent des mouvements de solidarité contre des causes bien précises comme les mouvements lgbt, le black-out tuesday contre le racisme le 2 juin 2020 et d’autres.. Aussi, nous pouvons trouver plusieurs autres exemples comme les dénonciations face aux violences policières.

Des vidéos de policiers s’attaquant à des civils sans défense et pour aucune raison, ont circulé sur les réseaux sociaux.

Avec les partages, les nombres de vues ont explosé et ont permis des jugements de ces policiers jusqu’à des arrestations et des mises en détention car ils n’étaient pas dans leur droit.

Comme l’a aire d’août 2013 en Indre-et-Loire , un policier s’en est pris à une femme volontairement et ce policier s’est fait arrêter, le préfet de l’Indre et Loire avait dit à l’époque qu’ « il n'y a pas de place dans la police pour de la violence ». Nous pouvons donc dire que les réseaux sociaux sont des moyens de communication mais aussi de justice car elle permet aussi de retrouver des personnes disparues, des agresseurs et d’autres recherchés par la justice plus rapidement et permettent aussi d’avoir plusieurs versions de témoignages.

Donc, les réseaux sociaux nous permettent une vraie justice et une autonomie face à la justice, sans le besoin d’avocat le plus souvent et cette justice peut être aussi plus rapide sur des a aires judiciaires.. »

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