Databac

Reseaux sociaux

Publié le 22/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Reseaux sociaux Ce document contient 301 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Politique.

« P { margin-bottom: 0.21cm; }A:link { } Le 18 décembre 2010, un jour après l'immolation de Mohamed Bouazizi, le site d'opposition nawaat.org publie deux vidéos prises avec des téléphones mobiles montrant la contestation à Sidibouzid.

Ce site reporte l'immolation de Bouazizi et publie également un statut Facebook de ce dernier, où, s'adressant à sa mère, il exprime son dégoût de la vie misérable qu'il mène.

Ceci est en quelque sorte la première interaction de ce réseau social avec la révolution tunisienne.

Mais il va surtout servir de relais à l'information via notamment les vidéos montrant les manifestations.   Au début des années 2000, l'opposition tunisienne profitait déjà de cette nouvelle technologie qu'était Internet. Les leaders politiques de l'opposition, tel que l'actuel président de la république Moncef Marzouki, se sont donc mis à utiliser ce nouvel outil pour diffuser leurs idées.

Le cyber-activisme tunisien s'est ensuite étendu sur un peu plus d'une décennie.

Petit à petit, l'opposition et la société civile tunisienne vont se montrer leaders dans le monde arabe en matière d'organisation et d'utilisation d'Internet.

  Des cyber-activistes téléchargeaient des vidéos sur Facebook et Twitter en contactant des médias étrangers : l'information est ainsi devenue virale, poussant des milliers d'individus de part le monde à se mobiliser contre Ben Ali.

Ainsi, le 5 janvier 2012, le groupe Anonymous a postée une vidéo sur Internet dans laquelle il déclarait son soutien à la révolution tunisienne et le lancement de la campagne « opération Tunisia ».

Cette opération visait à attaquer plusieurs sites du gouvernement tunisien en réponse à l'opression du régime et au phishing de Gmail et de Facebook que le gouvernement n'a cessé de faire en janvier 2012.

Le 7 janvier suivant, soupçonnés d'être membres d'Anonymous, Slim Amamou et Aziz Amami, membres organisateurs d'une manifestation quelques mois avant se sont fait arrêtés par la police.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles