Doit-on apprendre a devenir soi-même ?

« Dm de philo Puisqu’il faut tout apprendre pour être sur de tout connaitre, doit-on apprendre à devenir soi- même ? Apprendre signifie chercher à acquérir un ensemble de connaissances par un travail intellectuel ou par l'expérience et l’expérience s’acquière avec le temps.

L'interrogation " doit- on " a plusieurs sens : avoir l'intention de, être destiné à, être contraint à, obligé de, en vertu de normes.

Ce sont tous des obligations morales, considérée en elle-même.

Le terme devenir est le fait de passer d'un état à un autre, commencer à être ce qu'on n'était pas.

Ou bien cela signifie être dans un état dans le sens d’avoir un sort ou un résultat.

C’est une évolution qu’on travail avec le temps.

Quant au terme « soi-même » Appliqué à la personne le terme soi renvoie à l'individu, à la distinction de celui-ci, ou à la conscience qu'il peut avoir de lui-même.

Si on doit apprendre par l’expérience, c’est l’expérience qui pourrait nous faire devenir nous-mêmes.

Cela met en jeu un certain effort et oppose donc la nature et la culture car « nature » signifie que nous n’avons pas besoin de l’apprendre car ont l’est depuis notre naissance et la culture renvoi a au terme inverse.

Tout comme devenir « soi-même » qui sous entend qu’on ne l’est pas des qu’on née mais qu’on le devient plus tard.

On essaye alors de se chercher une personnalité ou bien de ce connaitre sans être influencée.

Si « doit- on» est juste une nécessité cela veut dire que nous somme capable de devenir nous-mêmes sans apprendre .Mais si c’est logique cela signifie que si on n’apprend pas on n’est pas nous-mêmes.

En revanche si c’est une obligation cela nous renvoi alors a un sujet moral.

Au final ce reviens à nous demander quand est-ce que nous somme véritablement nous- mêmes ?et avons réellement besoin de l’être ? Dans une première parti nous verrons qu’on est déjà soi-même Dans une second qu’on l’est en travaillant à se connaître.

Et enfin dans une troisième partie, nous nous demanderons si l’on est « contrôler » par la société pour être un « soi » idéal. Tout d’abord, si l’on se dit que l’homme a été créé par un Dieu ce serait ce dernier qui a décidé son identité, ce ne serait donc pas à l’homme de vouloir devenir lui-même .L’homme suit son destin et est donc nécessairement lui-même en tant qu’être défini par ce Dieu.

On est déjà soi-même et on l’est dès notre naissance car «être soi-même» c’est avoir une personnalité .C’est inné et donc naturel, on l’est depuis notre naissance.

Ce qui nous renvoie a Descartes lorsqu’il dit « Je pense donc je suis ».Selon la thèse du conscient alisme, la vie psychique de l’homme se résume a sa conscience, sa capacité de représentation de lui-même.

L’homme connait donc toutes ses pensées et comme il se définit par sa pensée, il se connait lui-même.

Selon Descartes, être soi-même relève de la nature, et donc du déterminisme, et non de la culture, de l’apprentissage : l’on naît en étant soi-même et l’on meurt sans avoir changé, en étant resté le même.

C’est quelque chose qu’on ne peut pas contrôler comme nos réactions et nos émotions.

On le devient sans même sans rendre conte, pareil que notre caractère car il est encrée en nous et ce n’est pas nous qu’il l’avons choisi.

C’est inconscient.

Il est donc impossible de ne pas être soi parce que la conscience est notre manière d’exister et elle est présente en nous.

C’est la garantie de notre identité, si je me sens changer je suis consciente et pour sentir que quelque chose change en nous il faut que certaine chose ne change pas. Mais comment apprend-on à devenir soi-même Tout d’abord on apprend à devenir soi-même, en travaillant à se connaître, à s’accepter et à savoir qui on veut devenir.

C’est avec le temps qu’on crée notre personnalité comme dit Sartre « C’est un combat entre l’essence et la conscience ».Plus le temps passe plus notre personnalité se développe et évolue.

Sartre ajoute aussi « On ne peut jamais être soi-même car on évolue avec le temps ».D’une année a l’autre notre personnalité s’est nourrie de nos. »