Dissertation: Autrui peut-il savoir qui je suis ?

« Huja Philosophie Denisa T°2 Autrui peut- il savoir qui je suis ? Selon Sarte, autrui est un autre moi-même, c’est-à-dire celui qui est à la fois comme moi et autre que moi, un moi qui n’est pas moi.

Autrui est définit comme l’autre soi-même, un l’alter ego c’est-à-dire à la fois mon semblable et un autre que moi.

Il est un autre sujet, une autre conscience. Je suis u n individu, une personne à part entière, je suis un sujet et je possède une conscience propre.

Pour qu’autrui puisse me connaître, savoir qui je suis nous devons rencontrer autrui, savoir qu'il existe et qu’autrui sache que j’existe.

Il doit se mettre à ma place et voir les choses de mon point de vue.Autrui peut me connaître car, étant une autre personne que moi il peut avoir la distance nécessaire à la connaisse.

Or il est difficile pour autrui de me connaître car le monde extérieur est douteux car il est perçu par nos sens qui sont douteux.

La connaissance qu’autrui a de moi peut être douteuse, incertaine.

Autrui peux également se tromper sur moi car il ne perçois que mon comportement et mes paroles.

Il est donc nécessaire de ce demander dans quelle mesure autrui peut- il savoir qui je suis.

Dans une première partie nous verrons comment autrui peut il me connaître puis dans une seconde partie nous verrons pourquoi autrui ne peut t- il pas savoir qui je suis. Autrui peut me connaître car il est mon semblable.

Autrui a une conscience de sois comme moi, ont a des points communs donc des ressemblances.

Il peut me connaître extérieurement mais il ne peut directement me connaître intérieurement, c’est à dire accéder à mes pensées et à ma conscience.

Nous sommes les mêmes physiquement et nous avons grandis et vivons dans la même société, sous les mêmes règles sociales.

Autrui peut donc s’identifier à moi.

La connaissance de l’autre ce fait par l’ expérience et les relations sociales qui permettent de communiquer avec autrui.

Par le liens des relations amicales ou amoureuses nous trouvons nos semblables.

Autrui peut me connaître par le langage, si nous nous comprenons, un dialogue peut ce faire il est donc possible pour autrui de connaître ce que je pense et ce que je ressens.

Ainsi par le langage j’ouvre mon intérieur à autrui, ce qu’il ne peut pas connaître de lui même, je lui expose mes idées, mes sentiments et mes émotions.

Autrui peut donc trouver des similitudes avec moi mais aussi des différences, mes idées peuvent êtres différentes , mes centres d’intérêt, mes priorités.

Il est mon semblable mais nous ne sommes pas identiques.

A travers la connaissance de ma personne, autrui peut mieux ce connaître lui-même.

Il est difficile de reconnaître ses défauts, ses faiblesses, il faut donc un point de vue extérieur, une comparaison avec un autre sujet pour en avoir connaissance.

On ne peut ce connaître directement, autrui a donc besoin de moi, d’un intermédiaire afin de parvenir à sa véritable identité.

Je suis donc un passage entre autrui et sa véritable personne, entre ce qu’il pense être et ce qu’il est vraiment.

Mais pour cela je doit être neutre envers autrui pour que la connaissance qu’il aura de lui soit objective.

Grace au regard autrui ce découvre à travers moi, je suis donc comme un miroir pour autrui qui ce reflète en moi.

Autrui doit donc ce mettre à ma place et ce voir comme moi je le voit pour pouvoir former quelconque jugement sur lui-même.

Je suis donc indispensable à la découverte de la conscience propre d’autrui.

Or cette ressemblance qu’autrui prend en compte pour me connaître peut être formelle ce qui rend difficile pour autrui de me connaître.

En réalité, je suis différent d’autrui.

Il est mon semblable mais nous sommes pas identique, il me ressemble mais il n’est pas moi.

Nous sommes tous unique en notre genre.

Ma conscience est différente de celle d’autrui et donc mes pensées sont différentes des siennes aussi.

Autrui ne peut pas véritablement me connaître, il ne peut pas vraiment savoir ce que je pense si je ne m’exprime pas.

Je me connais mieux qu’il me connaît car je me connaît de l’intérieur et lui de l’extérieur.

Je. »