Cendrillon

« 4.

Observer l’image de la femme à travers ces deux contes.

Que veut-on signifier par les différences qu’elles manifestent ? Dans le conte de Maupassant La Parure , on voit très clairement que l’amour et l’égalité règne au saint de la famille Loisel contrairement à celle où demeure Cendrillon où tous les occupants de la maison sont plus munis que celle-ci.

On observe bien que la femme dans La Parure est aimée et respectée tandis que Cendrillon est ridiculisé et « mal traité ».

En effet, celle-ci est mal traitée car au quatrième paragraphe, on remarque ceci : «: c'était elle qui nettoyait la vaisselle et les montées, qui frottait la chambre de madame et celles de mesdemoiselles ses filles ; elle couchait tout au haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses sœurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu'à la tête».

Au niveau du conte La Parure , l’amour et l’égalité se traduit très bien par la phrase suivante : «Quand elle s'asseyait, pour dîner, devant la table ronde couverte d'une nappe de trois jours, en face de son mari qui découvrait la soupière en déclarant d'un air enchanté: « Ah ! Le bon pot-au- feu ! Je ne sais rien de meilleur que cela » .

Ce que nous pouvons remarquer ici, c’est que le mari aime profondément sa femme.

Évidement, ce n’est pas écris à la lettre près, mais on voit bien qu’il l’aime même s’ils ne sont pas riche et même si elle ne prépare pas les dîner (souper) de rêve.

On remarque aussi qu’ils sont en parfaite égalité, aucun des deux n’a plus de luxe que l’autre comparativement à Cendrillon et à ses sœurs « luxueuses ».

5.

Quelles caractéristiques du naturalisme peut-on identifier dans le texte de Maupassant? Justifier. Dans le texte de Maupassant, on voit très bien que tout semble anodin.

Tous les petits agissements sont tout à fait communs et quotidien pour une famille.

La vie est représenter telle qu’elle est, sans embellissement ni exagération.. »