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Beneficium accipere, libertatem est vendere / Accepter un bienfait, c'est vendre sa liberté

Publié le 02/01/2022

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Benejicium accipere, libertatem est vendere Accepter un bienfait, c'est vendre sa liberté Il s'agit d'une sentence de Publilius Syrus (B 5), reprise par Albertano de Brescia (De amore et dilectione ..

2, 19) et par Jean de Salisbury (Ep., 252 [Pl 199, 296d] ; Policratique, PL 199, 565a) ..

qui la com ...

mente avec humour dans un autre passage de son œuvre en cf.

Ep., 259 (PL 199, 301 c : Amicos enim colere est satius quam se in servituten, acceptis muneribus ob/igare, > ).

Dans I 'Apologie de Socrate, Xénophon (16) se dit libre parce qu'il n'accepte aucun cadeau ; et la traduction de notre adage latin est devenue proverbiale dans plusieurs de nos langues européennes (cf.

Arthaber 446) et dans de nombreux dialectes (cf.

en italien Chi dono prende libertà vende, en piémontais Chi aceta di regai.

a vend soa libertà); une variante ita­ lienne affi11,,e avec humour Dove entra dote esce libertà ; pour d'autres versions en dialecte italien, cf.

Schwamenthal-Straniero 2395). 2 / 2. »

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