Alain, Manuscrits inédits,1928

« La conscience est-elle médiate ou immédiate ? Telle est la nature de l'interrogation à laquelle se livre Alain en remarquant que la conscience nécessite une certaine réflexion avant de sa faire « entendre », elle n'est pas saisit directement. C'est ainsi que dans un premier temps ( ligne 1 à 3 ), que Alain nous propose sa définition de la conscience avec l'exemple du sommeil.Pour ensuite dans un second temps ( ligne 3 à 7 ) nous donner une définiton du moi en et il définitit la conscience comme quelque chose qui évolue au court du temps.

Et dans la suite du texte ( ligne 8 à jusqu'à la fin ) il va plus loin et montre que la passé a des impacts sur la personne que nous sommes actuellement. Dans les premieres lignes du texte il définit la conscience , qui est d'un côté psychologique la capacité de chaque induvidu à se représenter ses actes et ses pensées et d'un côté morale c'est une sorte de juge intérieur en chaque être humain qui lui permet de statuer sur le bien et le mal.

Ainsi lorsqu'on dit qu'un Homme est conscient c'est qu'il se sait en relation avec une réalité extérieur par l'intermédiaire du corps, des sens, sa conscinece lui permet de saisir des objets qui l'entourent.

Et il perçoit aussi une réalité intérieur, subjective celle de ses états d'âme, de ses désirs, de ses souhaits.

D'ailleurs il dit bien que la conscience n'est pas immédiate car la conscience nécessite un intermédiaire.

Elle passe par des étapes pour pouvoir atteindre son objet qui en terme générique désigne n'importe quelle chose , être vivant ou non.

Pour mieux comprendre le sujet qui agit exerce son action sur un objet comme par exemple « le ballon dans lequel il frappe » le sujet qui réfléchit applique sa réfléxion à un objet.

Pour nous défnir tout ça il utilse l'exemple du sommeil qui est en faite un contre exemple puisque quand on dort on est en état d'inconscience.Puis que quand on dort on ne pense pas, en tout cas on ne s'en souvient pas ça c'est sur.

Il s'agit d'un concept forgé par la psychanalyse désignant l'ensemble de phénomène psychiques inaccessible à la conscience mais qui influent largement sur elle.

On peut ainsi parler, plus largement, d'inconscience pour désigner une conduite irresponsable mais aussi pour désigner ce dont une personne ne se rend pas compte comme lorsqu'on dort.

Le deuxième temps de réflexion ( ligne 3 à 7 ) , Alain insiste sur le Moi avec 3 répétions « Moi et le monde » « Moi et ma sensation » « Moi et mon idée » «Moi et ma sensation ».

Il cherche a faire un lien entre le moi de l'identité personnel et la conscience. Cela nous renvoie au « Je pense donc je suis » de Descartes.

D'apres. »