12 résultats pour "endormis"

• Les Belles endormies de Yasunari Kawabata

  Les Belles endormies de Yasunari Kawabata (1899-1972) Roman, Japon, 1960 Résumé Sur les conseils d'un vieil ami, Egushi franchit pour la première fois le seuil des « belles endormies », par curiosité. Dans cette maison, connue des seulsinitiés et dont la porte ne s'ouvre que si l'on a atteint un âge vénérable, il est donné de passer la nuit au côté d'une jeune fille endormie. Ces vieillards « detout repos », qui ont cessé d'être des hommes, s'adonnent, et Egushi en est persuadé, au plaisir malsa...

• ENDORMIR, v.

• John Singer SARGENT:FEMME ET PETIT GARÇON ENDORMIS.

  John Singer SARGENT FEMME ET PETIT GARÇON ENDORMIS Dans le Paris des années 1880, l'atelier de Sargent, homme fin et cultivé est devenu le rendez-vous de la haute société. Délaissant les portraits mondains qui font sa renommée, il s'attache ici à un sujet d'inspiration impressionniste. A la fin du siècle, l'Europe accue ille de nom­ breux peintre américains; Whistler, Mary Cas­ satt ou Sargent sont de ceux-là . Mais Sargent n'est pas né...

• CARRIER-BELLEUSE, Albert-Ernest (1824-1887)Sculpteur, il acquiert sa renommée avec l'Hébé endormie (1869).

  CARRIER-BELLEUSE, Albert-Ernest (1824-1887) Sculpteur, il acquiert sa renommée avec l' Hébé endormie (1869). Décorateur le plus célèbre sous le Second Empire et de la Troisième République, il exécute des cariatides pour l'Opéra Garnier et l'Hôtel de Ville. Nommé directeur à la Manufacture de Sèvres, il se consacre essentiellement aux arts industriels.

• Son regard s'arrêta sur le corps endormi de la femme, sur son beau visage tordu par un rictus de douleur. Joël Champetier, la Taupe et le Dragon, Québec Amérique

• Edme Bouchardon1698-1762Élève de Guillaume Coustou, il resta neuf ans à Rome (Faune endormi, au Louvre, quiobtint à Rome un grand succès).

  Edme Bouchardon 1698-1762 Élève de Guillaume Coustou, il resta neuf ans à Rome ( Faune endormi , au Louvre, qui obtint à Rome un grand succès). De retour à Paris (1732), il obtint, grâce à l'appui de Caylus, plusieurs commandes oficelles : la Fontaine des Saisons de la rue de Grenelle (17391745), la statue de l' Amour taillant son arc dans la massue d'Hercule , commandée par le surintendant Ph. Orry (1739-1750) et précédée d'un millier de dessins préparatoires (Louvre), enfin la Statue équest...

• Jean CocteauJe n'aime pas dormir quand ta figure habite, La nuit, contre mon cou ;Car je pense à la mort laquelle vient si viteNous endormir beaucoup.

  Jean Cocteau Je n'aime pas dormir quand ta figure habite, La nuit, contre mon cou ; Car je pense à la mort laquelle vient si vite Nous endormir beaucoup. Je mourrai, tu vivras et c'est ce qui m'éveille ! Est-il une autre peur ? Un jour ne plus entendre auprès de mon oreille Ton haleine et ton c œ ur. Quoi, ce timide oiseau, replié par le songe Déserterait son nid, Son nid d'où notre corps à deux têtes s'allonge Par quatre pieds fini. Puisse durer toujours une si grande joie Qui cesse le matin,...

• Plain-chantJe n'aime pas dormir quand ta figure habite,La nuit, contre mon cou ;Car je pense à la mort laquelle vient trop vite,Nous endormir beaucoup.

  Plain-chant Jean Cocteau Je n'aime pas dormir quand ta figure habite, La nuit, contre mon cou ; Car je pense à la mort laquelle vient trop vite, Nous endormir beaucoup. Je mourrai, tu vivras et c'est ce qui m'éveille ! Est-il une autre peur ? Un jour ne plus entendre auprès de mon oreille Ton haleine et ton c œur. Quoi, ce timide oiseau replié par le songe Déserterait son nid ! Son nid d'où notre corps à deux têtes s'allonge Par quatre pieds fini. Puisse durer toujours une si grande joie Qui...

• REVERDY, Pierre (1889-1960)Poète français, il s'illustre à la fin de la Première Guerre mondiale avec la publication de la revue Nord-Sud et la Guitare endormie comme un précurseur du surréalisme, sans pour autant se joindre au mouvement.

  REVERDY, Pierre (1889-1960) Poète français, il s’illustre à la fin de la Première Guerre mondiale avec la publication de la revue Nord-Sud et la Guitare endormie comme un précurseur du surréalisme, sans pour autant se joindre au mouvement. Homme profondément solitaire, il se retire en 1926 près de l’abbaye de Solesmes et poursuit dans l’isolement sa carrière poétique.

• Charles PERRAULT, Contes. Commentaire

  (Les hasards de la chasse viennent de conduire le fils du roi près du château où la princesse est endormie depuis maintenant cent ans.) A peine s'avança-t-il vers le bois, que tous èes grands arbres, ces ronces et .ces épines s'écartèrent d'elles-mêmes pour le laisser passer. Il marche vers le château qu'il voyait au bout d'une grande avenue où il

• Jean GIONO, Que ma Joie demeure. Nocturne

  Nocturne Dehors, pas de bruit. La lune glissait le long des monta­ gnes de l'ouest. Les loutres étaient parties. Un chat­ huant guettait sans bruit sur la poulie du grenier. De temps en temps il ouvrait ses yeux rouges. L'étang suçait doucement les sables de ses petites plages. Les champs étaient noirs. La terre labourée ne se laisse pas éclairer par la lune. Seuls luisaient les talus d'herbe. La brume s'était fondue. Sous un amandier fleuri, le renard...

• Préface d'un anthologie poétique

  Préface d'un anthologie poétique Pendant iongtemps, il n'y eut �e poèmes que musicaux. Jusqu'au XVI" siècle, on n'imaginait pas de réciter des vers sans accompa­ gnement musical. La poésie et la musique allaient de pair. Elles se· séparère11t alors pour suivre chacune sa voie propre, sans pour autant renoncer à renouer, au passage et au gré des inspirations, certains " liens intimes. Longtemps, chacune dans leur domaine, elles évoluèrent du même...