4 résultats pour "ariste"
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Super ova et aristas pendenti gradu incidere
1 / 3 703. Super ova et aristas pendenti gradu incidere Marcher sur des œufs et des épines d'un pas chancelant Saint Jérôme (Adversus Johannem Hierosolymitanum, PL 23, 40) désigne par cette locution une conduite prudente et avisée, comme si chaque pas et chaque mouvement étaient extrêmement risqués. L'expression Super aristas gradi, > est égale ment utilisée par saint Jérôme (Ep., 82, 5), mais dans l'Apologia adver sus libros Ruflni (PL...
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A la fin de la première partie de Psyché, deux des « Quatre Amis » dont La Fontaine nous rapporte les propos, engagent un déb,at sur les mérites respectifs de la tragédie et de la comédie.
A Ariste qui affirme que « la comédie touche moins les esprits que la tragédie », Gélaste finit par répondre : « Comme la tragédie ne nous représente que des aventures extraordinaires et qui, vraisemblablement, ne nous arriveront jamais, nous n'y prenons point de part et nous sommes froids, à moins q
SUJET A la fin de la prennere partie de Psyché, deux des « Quatre Amis � dont La Fontaine nous rapporte les propos, engagent un déb,at sur les mérites respectifs de la tragédie et de la comédie. A Ariste qui affirme que « la comédie touche moins les esprits que la tragédie � Gélaste finit par répondre : « Comme la tragédie ne nous représente que des aven tures extraordinaires et qui, vraisemblablement, ne nous arriveront jamais, nous n'y prenons po...
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À la fin de la première partie de Psyché, deux des quatre amis, dont La Fontaine nous rapporte les propos, engagent un débat sur les mérites respectifs de la comédie et de la tragédie : Ariste affirme que « la comédie touche moins les esprits que la tragédie », Gélaste finit par répondre : « comme la tragédie ne nous représente que des aventures extraordinaires et qui, vraisemblablement, ne nous arriveront jamais, nous n'y prenons point de part et nous sommes froids, à moins que l'ouvr
À la fin de la première partie de Psyché , deux des quatre amis, dont La Fontaine nous rapporte les propos, engagent un débat sur les mérites respectifs de la comédie et de la tragédie : Ariste affirme que « la comédie touche moins les esprits que la tragédie », Gélaste finit par répondre : « comme la tragédie ne nous représente que des aventures extraordinaires et qui, vraisemblablement, ne nous arriveront jamais, nous n'y prenons point de part et nous sommes froids, à moins que l'ouvrage ne s...
- moliere