14 résultats pour "ang"
-
Li T'ai-po701-762Li T'ai-po, " le poète immortel ", vécut à l'époque T'ang, la plus féconde de l'histoire deslettres chinoises.
Li T'ai-po 701-762 Li T'ai-po, “ le poète immortel ”, vécut à l'époque T'ang, la plus féconde de l'histoire des lettres chinoises. C'était un artiste vagabond, aimant l'exubérance et le vin, la vie délicate de la cour et les “ longues conversations entre amis dans la solitude des campagnes ”. Son œ uvre atteignit une telle perfection, fixa d'une manière si définitive les formes de la poésie chinoise que les générations qui suivirent se contentèrent de l'imiter sans avoir jamais l'espoir d'égale...
-
Sou Tsong711-762Fils de Hiuan Tsong à qui il succède en 756 comme septième empereur de la dynastieT'ang.
Sou Tsong 711-762 Fils de Hiuan Tsong à qui il succède en 756 comme septième empereur de la dynastie T'ang. Actif et de bonne volonté, il eut à reconquérir la Chine sur les rebelles Ngan Lou-chan et Che Sseu-ming et il y consacra tout son règne. Il fut aidé dans cette tache par un grand soldat : Kouo Tseu-yi. Pour avoir des renforts, l'empereur dut s'adresser aux Turcs qui, depuis T'aï Tsong, avaient beaucoup de considération pour la dynastie T'ang. Les Ouïghours, la plus puissante tribu turque...
-
Li K'o-yong852-908Chef de la horde turque des Cha-t'o, originaire du désert de Gobi mais vivant sous lesT'ang, dans la boucle des Ordos.
Li K'o-yong 852-908 Chef de la horde turque des Cha-t'o, originaire du désert de Gobi mais vivant sous les T'ang, dans la boucle des Ordos. Quand les T'ang font appel à lui, il n'a que vingt-huit ans. Sa bravoure et sa loyauté contrastent avec les tares de ceux qui font appel à lui. Il descend du Chan-si sur tch'ang-ngan avec ses cavaliers, appelés les “ corbeaux de Li K'o-yong ” du fait de leur uniforme noir. Ses guerriers n'eurent pas de mal à venir à bout des “ jacques ” de Houang Tch'ao et,...
-
K'ang Yeou-Wei1858-1927Né dans une famille de fonctionnaires du Kouang-tong, il devint le premier grand théoricienpolitique de la Chine moderne, sous la double influence de la pensée occidentale et desinterprètes hétérodoxes de Confucius.
K'ang Yeou-Wei 1858-1927 Né dans une famille de fonctionnaires du Kouang-tong, il devint le premier grand théoricien politique de la Chine moderne, sous la double influence de la pensée occidentale et des interprètes hétérodoxes de Confucius. 1300 candidats à l'examen du doctorat se joignirent à lui pour signer une pétition à l'empereur. Elle ne fut pas transmise. Un mois plus tard, une autre requête arriva sous les yeux du souverain. En 1898, K'ang obtint une entrevue, au cours de laquelle il r...
-
Tso Tsong-T'ang (1812-1885)
Tso Tsong-T'ang 1812-1885 Il était du Hou-nan, un genre de Cincinnatus. En 1850. il quitte la vie rustique et ses vers à soie pour l'état-major des armées impériales qui essaient en vain d'écraser les soulèvements qui mena œ nt l'État de toutes parts. Il organise la répression contre les T'ai-p'ing dans les provinces du Centre. De 1866 à 1868, il anéantit les Nien, les “ bandits à cheval ”, au Chen-si et au Kan-sou. Sa gloire est d'avoir conservé à l'empire les territoires d'Asie centrale, en s...
-
Hiuan Tsong810-859Fils de Hien Tsong, il est le seizième empereur de la dynastie T'ang.
Hiuan Tsong 810-859 Fils de Hien Tsong, il est le seizième empereur de la dynastie T'ang. Il fut mis sur le trône en 846, bien que Wou Tsong ait laissé un jeune fils. Intelligent, juste, économe et acceptant les critiques monarque zélé et aimant son peuple, il s'adjugea le titre de “ nouveau T'aï Tsong ”, second Li Che-min. Il détestait les eunuques, mais ne put se dégager de leur emprise. Son règne fut calme et il mourut, comme son frère, d'avoir pris des doses excessives d'élixir de longue vie...
-
Kao Tsong628-683Fils de T'ai Tsong à qui il succède en 650 comme troisième empereur de la dynastie T'ang.
Kao Tsong 628-683 Fils de T'ai Tsong à qui il succède en 650 comme troisième empereur de la dynastie T'ang. De caractère bienveillant et appliqué, quoique faible, il protégea toutes les religions en Chine. Au début de son règne et grâce aux vétérans de son père, l'expansion continua : de 660 à 668, toute la péninsule coréenne entre dans l'orbite de la Chine, et il contrôle les tribus turques occidentales. Puis la situation changea : les Turcs se révoltèrent définitivement, les Tibétains ravirent...
-
Jouei-Tsong662-716Frère cadet de Tchong Tsong à qui il succède en 710 comme cinquième empereur de ladynastie T'ang.
Jouei-Tsong 662-716 Frère cadet de Tchong Tsong à qui il succède en 710 comme cinquième empereur de la dynastie T'ang. Il possédait de grandes qualités morales, mais non pas la vigueur nécessaire pour gouverner un pays dont la situation était aussi précaire. Un philosophe taoïste l'encouragea à pratiquer le non-agir. En 713, il abdiqua donc en faveur de son fils Li Long-ki, qui l'avait mis sur le trône après avoir mis à mort l'impératrice Wei Heou.
-
-
Tchong Tsong656-710Fils de Kao Tsong, à qui il succède en 684 comme quatrième empereur de la dynastieT'ang, il fut presque aussitôt écarté du pouvoir par l'impératrice Wou Heou, jusqu'en 705,date à laquelle il fut remis sur le trône.
Tchong Tsong 656-710 Fils de Kao Tsong, à qui il succède en 684 comme quatrième empereur de la dynastie T'ang, il fut presque aussitôt écarté du pouvoir par l'impératrice Wou Heou, jusqu'en 705, date à laquelle il fut remis sur le trône. Il avait la bonté et la faiblesse de son père, et se plaisait surtout à s'entretenir avec le moine bouddhiste Yi-tsing, voire à collaborer à ses travaux de traduction en chinois des Écritures sanscrites. Sa femme, la jeune impératrice Wei, avait par contre une c...
-
Tso Tsong-T'ang
Tso Tsong-T'ang1812-1885 Il était du Hou-nan, un genre de Cincinnatus. En 1850. il quitte la vie rustique et ses vers à soie pour l'état-majordes armées impériales qui essaient en vain d'écraser les soulèvements qui menaœnt l'État de toutes parts. Ilorganise la répression contre les T'ai-p'ing dans les provinces du Centre. De 1866 à 1868, il anéantit les Nien, les"bandits à cheval", au Chen-si et au Kan-sou. Sa gloire est d'avoir conservé à l'empire les territoires d'Asie centrale,en subjuguant...
-
Yang Kouei-Fei par Etiemble Non loin de Si Ngan-fou, parmi les hauts lieux de la civilisation chinoise (laville des Han, le tombeau de Ts'in che houang-ti), le voyageur ne manquejamais d'aller voir le Houa ts'ing tch'e, le Marly, ou le Trianon des princesT'ang.
Yang Kouei-Fei
- angélique.
- ddddd
- moliere