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Une pièce comique: Fin de partie de Beckett
Une pièce comique Voir dans Rn de parti e une pi èce corn ique peut surprendre. Son sujet et ses personnages inciteraient plut ôt à la considérer comme une pi èce tragique. P ourtant, comme le d it Nell, « rien n'est plus drôle que le malheur»: « c'est la chose la plus comique au monde. [ . .. ] Et nous en rions, nous en r ions, d e bo n cœur ». Du mo ins, « les premiers temps» (p. 3 1-32), pr écise-t-elle. C hez Beckett, en effe t, co miqu...
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ROUSSEAU, L'Émile: les faits décrits dans l'histoire (commentaire)
TEXTE Dégagez l'intérft philosophique du te xte suivant à partir de s on étud e o rdonnée : cl l s' en faut bi en que l es fa its décrit s dans l'hi stoire ne soient l a pe inture exacte des mêmes faits t els qu' ils s ont a rrivés. Ils changent d e forme dans la tê te de l'histotien, ils se m oulent sur ses i ntér êts, ils pre nnent l a t einte d e ses pr éjugés. Oui est-
- RELIGION: Ptah
- IRIS
- Courante
- METONYMIE
- Claude Burdin
- William Harvey
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- Passacaille
- antisémitisme
- HCR
- Salvatore Rosa
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Dénouement et épilogue - Commentaire de L'Ingénu de Voltaire
Dénouement et épilogue RÉSUMÉ Tous les personnages se trouvent rassemblés (sauf le bailli et son fils repartis en Bretagne). Cependant, la joie générale est ternie par la tristesse de M11 • de Saint-Yves. Aussi de somb�c pressentiments assaillent-ils !'Ingénu, d'autant plus que l'amie vient rappeler à la jeune fille ses promesses et lui rapporter les
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Résumé et repères pour la lecture: Fin de partie de Beckett
Résumé et repères pour la lecture
- MONNIER Henri
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Henry Miller écrit : « A quoi servent les livres, s'ils ne nous ramènent pas vers la vie ?... Notre espoir à tous, en prenant un livre, est de rencontrer un homme selon notre coeur, de vivre des tragédies et des joies que nous n'avons pas le courage de provoquer nous-mêmes, de rêver des rêves qui rendent la vie plus passionnante, peut-être aussi de découvrir une philosophie de l'existence qui nous rende plus capables d'affronter les problèmes et les épreuves qui nous assaillent. » En v
Sujet : Henry Miller écrit : « A quoi servent les livres, s'ils ne nous ramènent pas vers la vie ?... Notre espoir à tous, en prenant un livre, est de rencontrer un homme selon notre coeur, de vivre des tragédies et des joies que nous n'avons pas le courage de provoquer nous- mêmes, de rêver des rêves qui rendent la vie plus passionnante, peut-être aussi de découvrir une philosophie de l'existence qui nous rende plus capables d'affronter les problèmes et les épreuves qui nous assaillent. » En vo...
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- QUIRINUS
- Encyclopédie: personnification, allégorie (Français)
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L'Ouïe
L'Ouïe Nos oreilles perçoivent toutes sortes d'ondes sonores: des bruits, des paroles, de la musique. Elles les transmettent ensuite au cerveau , le seul capable d'analyser et d'interpréter ces vibrations qui se propagent dans l'air à une vitesse de 340 mètres par seconde! N ous entendons grâce à nos oreilles qui sont sensibles aux vibrations mécaniques transmises par l'air. Elles convertissent ces ondes sonores en impulsion...
- Henri Dunant
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Ben Gourion David (David Green, dit)
Ben Gourion David (David Green, dit) Homme politique israélien * 16.10.1886, Plonsk (Pologne) + 1.12.1973, Tel Aviv Convaincu par les idées sionistes de l'écrivain Theodor Herzl, Ben Gourion émigre en Palestine en 1906. Il participe alors à l'organisation et à la direction du Mouvement socialiste juif. Expulsé par le gouvernement osman, il revient en Palestine suite à la déclaration Balfour en 1917. Membre de la Jewish Legion britannique, il met en place le mouvement des kibboutz. Devenu Préside...
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Popper La falsifiabilité : « un système faisant partie de la science empirique doit pouvoir être réfuté par l'expérience»
Popper La falsifiabilité : « un système faisant partie de la science empirique doit pouvoir être réfuté par l'expérience» ■ Indications générales Karl Popper (1902-1994), logicien et philosophe des sciences, critique, dans La Logique de la découverte scientifique (1934), la « philosophie analytique» et le positivisme [voir Comte, Russell et Wittgenstein]: pour lui en effet, les énoncés métaphysiques sont loin d'être dénués de sens car, même s'ils ne sont pas sci...
- Henry Purcell
- Fernand Foureau
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- empire
- ICONOGRAPHIE.
- Chapitre ix (Pierre et Jean, page 217): commentaire (Maupassant)
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La fin des Indes britanniques
La fin des Indes britanniques Déclaration de Clément Attlee 1. Depuis longtemps, la politique des gouvernements britanniques successifs a été de tra�:@@)r à la réalisation du self-government dans l'Inde. En fonction de cette politique, une responsabilité croissante a été dé�F@U) aux Indiens et, aujourd'hui, l'administration civile et les forces armées indiennes sont dans une large mesure aux mains de fonctionnaires et d'officiers indiens. En matière constitut...
- COURBE
- DEMY, Jacques
- Thomas Edison
- Animation
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Amérique du Nord, juin 2005, L, LV1: Nach Julia Schneider-Landvogt, Freundin, 4.8.2004.
Sujet 1 ♦ Amérique du Nord, juin 2005, L, LVI Die Geschichte meines Lebens Neugier auf das Leben hinter den Kulissen, vielleicht ein paar bose Bemerkungen über ,,Rivalen" im Showbiz -warum Promi-Biografien 1 so boomen, ist klar. Ob man sie lesen muss, ist eine andere Frage. Doch die Grundidee, eine bleibende Erinnerung für sich und seine Kinder und Kindeskinder zu schaffen, ist gut. Und deshalb boomen jetzt auch Privatbiogra...
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Rosemary's baby
Rosemary's baby Film américain de Roman Polanski, réalisé en 1968.Scénario, dialogues, adaptation : Roman Polanski, d'après le roman d'Ira LevinMusique : Christopher KomedaDurée : 2 h 15Récompense : oscar du meilleur second rôle féminin Distribution - Mia Farrow (Rosemary Woodhouse) ;- John Cassavetes (Guy Woodhouse) ;- Ruth Gordon (Minnie Castevet) ;- Sidney Blackmer (Roman Castevet) ;- Maurice Evans (Hutch). Résumé Guy Woodhouse et sa jeune femme s'installent dans un vieil immeuble de New York...
- Le syllogisme
- Nombre
- Mode
- LEGS
- HERMÉTISME.
- Claude Debussy
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- spoutnik
- Corporate farm
- Bibliothèque
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QUATRIÈME ACTE - Le Mariage de Figaro de Beaumarchais
QUATRIÈME ACTE Un dénouement apparent Au début de l'acte IV, il semble que le dénouement soit arrivé : la question du mariage de Figaro, soulevée dans les trois premiers actes, apparaît comme résolue. En effet, la reconnaissance du troisième acte a levé le principal obstacle, qui résidait dans les prétentions de Marce line, soutenue par le Comte. Bartholo ayant fini par accepter d'épou ser Marceline, le dernier obstacle, que con...
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Les Fleurs du Mal - Spleen et idéal de Baudelaire: Chant d'automne (I) (commentaire)
Chant d, automne (I) Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres; Adieu, vive clarté de nos étés trop courts ! J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres Le bois retentissant sur le pavé des cours. 5 Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon cœur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. J'écoute en frémissant chaq...
- Samarkand
- Eau-forte
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Le mélange des genres - Commentaire de L'Ingénu de Voltaire
Le mélange des ge nres L�INGÉNU ET LE CONTE PHILOSOPHIQUE 1 Le conte avant Voltaire Le terme de « conte » recouvre diverses réalités qu'il importe de préciser afin de voir ce que Voltaire emprunte à chacune d'elles pour créer ce genre qui lui est propre : le conte philosophique. Le conte populaire merveilleux Il nous est parvenu à travers la tradition orale grâce aux folkloristes et aux premiers d'entre eux, les frères Grimm. Son univers se carac t...
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NIZAN Paul
1 / 2 NIZAN Paul 1905-1940 Romancier et essayiste, né à Tours; mort pendant la guerre, à Dun kerque. Ce communiste militant devait rompre, au début de la guerre, avec le Parti ; aussi bien, honni désormais par les deux extrêmes à la fois, dut-il à l'opiniâtre fidélité de Sartre, son camarade de !'École nor male, d'être tiré de l'oubli. Il avait débuté par deux pamphlets, Aden Arabie (1931, réédité par Sartre avec une célèbre préface en 1960) et Les...
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SCÈVE Maurice: vie et oeuvre
5 C È VE Maurice 1501- vers 1562 Poète, né à Lyon. Fils d'un échevin, il s'éprend de Pernette du Guillet, poète comme lui, mais de vingt ans sa cadette. Amour orageux sans aucun doute, mais, au total, heureux, qu'il chantera dans La Délie, son chef-d'œuvre (1544). L'année qui suit la publication de ce poème, la jeune femme meurt. Scève, alors, se retire du monde et compose La Saulsaye, églogue de la vie solitaire (1547). Dans les dernières années de sa...