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Texte Alain

Publié le 17/05/2020

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« Estelle 26/11/12 Koch TL1 Explication de texte Cet extrait est écrit par Alain, philosophe du XXème siècle.

Ici, Alain s'interroge sur un certain type d'homme qui risquent leur vie pour sauver l'honneur ou pour défendre une pensée : ceux sont les héros.

Le philosophe nous explique que cette pensée est fanatique, et que donc elle n'est pas réelle, c'est une passion.

Ainsi, comment Alain traite-t-il la notion d'héroïsme dans son texte ? Il introduit dans un premier temps la doxa du héro.

Ensuite il réfute la doxa en énoncant sa thèseet en analysant la pensée de ces hommes engagés.

Enfin, Alain nous donne la conclusion de cette analyse. Tout d'abord, Alain introduit la doxa du héro.

Il met en évdence au travers de son texte que "nous" ne pouvons nous empêcher de ressentir de l'estime, c'est à dire une valeur morale, pour ces hommes qui mettent leur vie en danger : "un fond d'estime [...] une secrète admiration" (l.1).

C'est un sentiment que nous tenons à garder secret comme nous le montre l'adjection "secrète" (l.1), que nous ne pouvons contrôler.

Ainsi, nous avons de l'admiration "pour des homme qui mettent en jeu leur propre vie sans espérer aucun avantage" (l.1-2), c'est à dire des hommes qui risquent de mourrir sans n'attendre rien en retour.

De plus le philosophe met en avant l'idée de l'unique et du personnel engagement qu'on pris ces héros avec l'adjectif "propre" (l.2) et l'expression "sans espérer aucun avantage" (l.2) rajoute d'autant plus de vertu à cet engagement.

Alain fait ensuite une comparaison entre "nous" (l.2) et ces héros qui est mis en évidence par la forme "des hommes qui" (l.1).

En effet, nous admirons d'autant plus ces hommes parce que nous éprouvons un sentiment de culpabilité, de lâcheté qui est confirmé avec l'expression "nous ne sommes point fiers" (l.2).

Nous, les hommes ordinaires, sommes inférieurs à eux (les héros) car nous ne risquons pas notre vie, ce sentiment eest exprimé dans le texte avec la répétition de "si peu"(l.3).

Alain définit par la suite ce que ces héros défendent en utilisant le verbe "croyons" (l.3) et non le verbe "penser" ce qui montre que ces héros qui risquent leur vie ne la risque que pour ce qu'ils croient et non pas pour ce qu'il pense (au sens stricte).

Ainsi, nous pourrions qualifier ces héros d'impulsifs car ils n'ont pas de réelle réflexion avant de défendre leur croyance dont nous pourrions douter.

Puis, Alain fait une concession en employant le connecteur logique "Certes"(l.3) et le pronom personnel "je"(l.3).

Il écrit que les héros possèdent des "vertus rares"(l.4) et que quelques uns de la "volonté"(l.4), c'est à dire d'humbles qualités, mais il souligne tout de même qu'ils ne sont pas désintéresser et libre avec le verbe "veulent".

Enfin, la doxa du héro est que nous les admirons et nous nous sentons inférieurs face à eux mais que malgré qu'ils se revendiquent désinterresser, il n'en ai rien et que ces héros sont impulsifs car ils n'ont pas penser (au sens strict) aux croyances qu'ils défendent. Ensuite, Alain réfute la doxa avec l'objection "mais",il énonce sa thèse et analyse la pensée du héro.

L'admiration pour un homme passe avant tout par la pensée et non par les actes.

Et c'est cette pensée que Alain va définir.

Si le philophe accorde un certain respect pour les vertus et la volonté des héros, il s'interrèsse davantage à ce qu'ils les poussent à défendre corps et âmes ce en quoi ils croivent.Alain marque la distinction de la pensée des héro avec l'article démonstratif "cette".

L'auteur décrit cette "pensée fanatique"(l.8) comme "raidie qui se limite"(l.5), c'est à dire qu'elle est tendue et fermé, comme une pensée "qui ne voit qu'un côté", c'est à dire qu'elle est bornée, unilatérale, partiale et orientée vers une seule direction, comme une pensée "qui ne. »

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