TEXTE 7 : Victor Hugo, Les Misérables Chapitre 3 du livre II du tome I

« TEXTE 7 : Victor Hugo, Les Misérables Introduction : Le romantisme est apparu qu’au début du XIX siècle en France.

Ce nouveau genre se caractérise par l’expression des tourments de cœur et de l’âme.

Victor Hugo, qui est un poète, dramaturge et romancier français du XIX siècle connu pour ses romans tels que Les Misérables et Notre-Dame de Paris, est lui courant romantique français.

Il est également un des plus importants écrivains de la langue française et de la littérature mondiale.

Il publie Les Misérables en 1862, l’un des plus vastes et des plus notables de la littérature du XIXème siècle.

Il décrit la vie de pauvres gens dans Paris et la France provinciale du premier tiers du XIXe siècle.

Ce roman a donné lieu à de nombreuses adaptions, au cinéma Situation de l’extrait : On est au Chapitre 3 du livre II du tome I.

Jean Valjean était un ancien bagnard, condamné pour le vol d’un morceau de pain pendant 19 ans, cherche un endroit pour dormir.

Il va donc chez un évêque. LIRE TEXTE Mouvement du texte : 1) Ligne 1à 4 : arrivé de Jean Valjean de « L’évêque fixait » à « une voix haute » 2) Ligne 5 à 19 : le discours de Jean Valjean « Voici » à « que je reste ? » 3) Ligne 20 : la réponse de l’évêque Projet de lecture : Jean Valjean un projet en marge ? Analyse linéaire : 1er mouvement : Tout d’abord, nous avons la réaction de L’évêque face à l’arrivée de cette « homme », il le « fixait », c’est une action qui dure avec l’emploi de l’imparfait.

Dès le début, le nom de cet homme n’est pas donné, il est remplacé donc par le nom homme, qui est également réutilisé dans la seconde phrase. Cela montre qu’il n’a pas d’identité, à part l’identité sexuelle.

On sait que c’est un homme.

Durant cette scène, cet homme s’impose dans la pièce, on sent une présence physique comme le montre très bien la ligne 2 et 3 : « nouveau venu » « appuya ses deux mains à la fois », « promena ses yeux », il scrute la pièce. La fin de la phrase introduit le discours de cet homme qui coupe même l’élan de l’évêque qui allait parler. 2eme mouvement : Le second mouvement début donc par un discours direct : le dialogue de Jean Valjean.

Il commence directement par se présenter en donnant son identité « Jean Valjean ».

Il donne l’impression qu’on a de la pitié avec le mot « galérien ».

On retrouve une succession de phrase courte sans laisser échapper d’émotion, qui donne des informations sur cet homme.

Il parle de son passé : qu’il a passé des années au bagne « 19 ans » et qu « ’il vient d’être libéré depuis 4 jours » et que ça fait « 4 jours » qu’il marche.

Il répète « 4 jours » deux fois en peu de temps pour éprouver de l’empathie/ compassion pour ce personnage.

Les compléments circonstanciels de temps « aujourd’hui » et « ce soir » donne un contraste et insiste sur cette longue marche qu’il a effectué qui est également renforcée par «12 lieues à pied ».

Il emploi le passé composé « j’ai été » pour citer tous les lieux où il a été avant d’arriver jusqu’à chez l’évêque, et que à chaque fois il a été rejeté. D’abord par une première auberge qui la renvoyé par son papier d’identité « jaune » qui appuie sur une personne rejetée. Ensuite par deuxième une auberge où on lui a dit « Vas-t-en ! ».

Ici ce n’est pas J-V qui parle, il.... »