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Suis-je responsable de mon bonheur ?

Publié le 29/05/2021

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« Bonheur et désir : Chapitre 4 Suis-je responsable de mon bonheur ? INTRO Centre de la question philosophique : Aristote fonde une tradition philosophique par rapport au bonheur : résume de ce que pense les philosophes antiques. Le bonheur pour lui c’est le souverain bien ; c’est à dire une finalité de toutes les finalités donc pour Aristote, le bonheur n’est pas un élément parmi d’autres mais le but ultime de toutes existences. Tous ce que l’on cherche à la fin, c’est le bonheur. On définit en fait l’ensemble des autres actions comme étant le moyen d’atteindre le bonheur. L’exercice de la raison vise que le bonheur Concept flou de la philosophie mais pas indéfinissable.

Il se distingue du plaisir, de la joie, du désir.

La définition spontanée du bonheur serait de dire qu’il est un état stable et durable de satisfaction. Cela implique qu’il se différencie de la joie, du plaisir car instable, ce qui nous fais plaisir peut ne plus nous faire plaisir demain. Il a une profondeur existentielle.

Durable aussi se distingue du plaisir car il a pour caractéristique d’être locale et éphémère.

Une réflexion existentielle.

Le bonheur, être heureux serait d’atteindre ce souverain bien. Être heureux : personne n’y renonce, on le vise, fin ultime de nos actions pour lequel l’être humain ne ferait que tendre la question pourquoi vouloir être heureux ne se pose pas car Le bonheur n’est pas une possibilité parmi d’autre.

Il est une fin qui se justifie par elle même. Tous les désirs viseraient à la fin un état de satisfaction qu’on espère stable.

Mais vision déceptive. DESIRER = DESIDERO, le désir fondamentalement c’est déplorer la perte, c’est le sentiment d’une absence, il me manque quelque chose donc je tends vers une réponse qu’apporterait le sujet vers ce manque.

On ne désir jamais que ce qui nous manque .

Le sentiment subjectif que je ne suis pas complet Le bonheur est le désir de tous les désirs, donc c’est quelque chose que l’on n’a pas.

L’absence du bonheur.

Même dans un état de joie momentanée, on a à horizon une perspective idéale d’une stabilité pus grande qui serait le bonheur.

Le désir est au cœur de la réflexion. Si le désir est l’aspiration d’un être vers quelque chose quil juge bon, alors le désir est le moteir de l’action.

Il est dans notre existence, la justification de nos actions.

A la base, le désir est l’essence de nos actions donc un lien évident entre bonheur et désir. Le désir est le moteur local, et le bonheur le moteur global. Le bonheur est un idéal qui nous pousse à agir. Dès lors comment y parvenir ? Si le bonheur est l’horizon de notre existence et le désir un moyen local d’y parvenir, comment on fait pour être heureux ? Question fondamentale de la philosophie antique. Synthèse entre bonheur et désir : je désir donc j’agis, l’action m’apporte de la satisfaction en comblant l’absence de mes désirs alors je serais heureux.

Mais la réalisation du désir pose pb.

Schéma simple le désir est au cœur d’un problème philosophique qui est : l’état de satisfaction qui résulte de la réalisation d’un désir n’est pas durable.

Il manque l’aspect durable du bonheur. La réalisation du plaisir peut finalement amener à du déplaisir qui vient de la nature propre du désir car ce dernier n’est jamais autre chose qu’une représentation de l’objet désiré.

Ce que l’on désir n’est jamais l’objet réel mais toujours l’idée que l’on se fait de la chose : l’objet du désir n’est pas ailleurs que dans notre esprit, cela implique e désir appartient à la sphère imaginative. Le désir c’est se représenter le réel et s’en faire une certaine image.

Il faut pour désir avoir la faculté de penser ce qui nous manque.

Donc négativement, lorsqu’on a ce désir, on constate que le réel n’est pas à la hauteur de notre désir.

Certitude, l’image mental que l’on se fait ne peut par définition correspondre à la réalité : le désir est donc de nature deceptive car décalage entre notre désir et le réel.

Le désir ne peut par conséquent pas être entierement comblé en raison de cette nature.

Le désir n’est donc ni durable, ni stable. Bonheur et désir articulation logique mais La forme de satisfaction que vise le désir et celle qu’espère le bonheur ne sont pas les mêmes. Ainsi, est ce que la meilleure manière d’être heureux, c’est de satisfaire tous ses désirs donc l’hédonisme, cad par le plaisir et l’accumulation de plaisir que l’on est heureux ou alors va t-il falloir réussir à maîtriser ses désirs pour atteindre un bonheur relativement stable en évitant les désirs décèptifs ou encore pire, le désir n’est il pas un frein au bonheur et va t-il falloir trouver une autre articulation que le désir pour atteindre le bonheur ? Paradoxalement, alors même que le désir apparaît comme étant le moteur de mes actions, il semble aussi que le désir rend le bonheur humain impossible à obtenir . Si on peut être heureux, mon désir ne me prive pas de ce bonheur ? Quelle est la signification du bonheur et quel est le sens du désir ?. »

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