Le désir est-il un obstacle au bonheur ?

« Dissertation de philosophie Sujet : Le désir est-il un obstacle au bonheur ? De nos jour, nous pensons que le bonheur, c’est la satisfaction de tout les désirs.

Cependant, nous savons aussi que le désir peut engendrer de la frustration et de l’ennuie.

Épuisé de désirer en restant frustrer, nous serions alors tenté de suivre une des règles de vie de l’épicurisme, qui est de maîtriser ses désirs. D’où la question : le désir est-il un obstacle au bonheur ? Par « désir », nous comprendrons ici une « passion », les « passions » au sens classique sont un ensemble de sentiments qui surgissent en nous malgré nous.

« obstacle » signifie ici empêcher ou retarder une action, une progression.

Ici l’« obstacle » empêche la recherche du bonheur.

Le « bonheur » est d’aimer la vie qu’on mène. D’un côté les désir peuvent être bénéfique pour le bonheur, mais d’un autre côté ils peuvent être néfaste.

La réponse au sujet ouvre le débat suivant : Peut-on accéder au bonheur sans renoncer au désir ? Pour mener ce débat et répondre au sujet, on pourrait tout d’abord se demander si renoncer au désir mène-t-il au malheur ? Le bonheur est-il d’avoir ses désirs satisfaits ? Se pose alors cette deuxième question : Sommes-nous réellement satisfait par notre désir ? Le désir est-il source de souffrance ? Ce qui nous amène à cette dernière question : Faut-il renoncer au objet du désir ? Nous cherchons donc à répondre au sujet en suivant la suite de questions suivantes : Le désir nous permet-il d’accéder au bonheur ? Au contraire, le désir serait-il néfaste au bonheur ? Peut-on accéder au bonheur en maîtrisant son désir ? Le bonheur est la satisfaction de tout les désirs.

Il est difficile de dire que cette expression est fausse, on ne peut pas être heureux si on ne réalise pas notre désir. Le désir nous permet-il d’accéder au bonheur ? Renoncé au désir mène-t-il au malheur ? Pour Rousseau, le bonheur dans le désir satisfait est une erreur.

« Malheur à qui n’a plus rien à désirer ! », selon lui celui qui a réalisé tout ses désirs n’a alors « plus rien à désirer ».

Mais « Malheur » à qui ne connaît plus le désir.

Car encore une fois selon Rousseau perdre le désir ce serait tout perdre.

« Il perd pour ainsi dire tout ce qu’il possède.

», le désir est un moteur puissant et est. »